Halte au Sexisme

« Parce que les hommes et LGBTQ+ battus d’aujourd’hui vivent le calvaire des femmes battues d’hier. »

 

 

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :

les oubliés de la France

 

1 homme sur 4 est victime de harcèlement sexuel au travail *.

1 600 000 hommes victimes d’un stress post-traumatique (SPT) à la suite d’un viol ou d’une tentative de viol subi dans leur vie *.

146 000 hommes victimes par an de violences conjugales tous types confondus *.

26 000 hommes victimes par an de violences sexuelles commises par leur conjoint.e ou ex-conjoint.e *.

67 500 hommes victimes chaque année de violences sexuelles physiques au travail *.

 

Et vous ? Quelle victime de la France misandre êtes vous ?

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :
la France de la honte !

 

0 plaquette informative de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 page Internet de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 précision de l’État pour dire que des structures prennent aussi en charge les hommes victimes.

0 structure d’État spécifiquement dédiée aux hommes victimes.

3 communications de l’État qui précisent qu’un homme a aussi droit au statut de victime ( 1, 2, 3 ).

99.7% communications de l’État qui suggèrent un sexe masculin pour évoquer un agresseur, mais  JAMAIS il n’y est suggéré qu’une victime puisse être un homme.

 

À la maison,

vous aussi ?

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SEXISME, médias & manipulation : pourquoi l’État ment.

 


Les chiffres de l'ONDRP.

En 2016 les chiffres des procédures judiciaires intentées pour violences conjugales ont largement été médiatisés : 74 628 victimes femmes et 10 796 victimes hommes. Un autre chiffre de l'ONDRP datant de 2014 a été très largement médiatisé : 10,6% des victimes femmes osent se tourner vers la justice. Par un simple calcul ce taux permet d'estimer le nombre réel de femmes victimes de violences conjugales pour l'année 2016. Le calcul est à la portée d'un élève d'école primaire : 74 628 multiplié par 100 divisé par 10,6 = 704 038.

Un autre taux existe, et il n'a pas vraiment trouvé écho auprès de l’État et des médias. Il s'agit du taux estimé d'hommes victimes ayant le courage de se tourner vers la justice. L'ONDRP nous apprend qu'en 2014 il est de 2,8%. La raison du silence qui l'entoure provient probablement du fait que par le même calcul que celui expliqué plus haut, il permet d'estimer le nombre réel d'hommes victimes de violences conjugales : 385 571.

Là où l’État ne cesse de faire rimer le terme « violences conjugales » avec le cliché de l'homme violent et de la femme victime, ce nombre permet d'estimer à 35,4% la part des hommes dans le nombre total réel des victimes de violences conjugales.

C'est à dire que plus d'1 victime sur 3 de violences conjugales est un homme. Ce taux sera confirmé par le rapport « Victimisation » transmis en 2017 par l'ONDRP, page 154.


Un taux d'hommes victimes probablement plus élevé encore.

Et ce taux de victimes hommes réels par rapport aux victimes femmes réelles pourrait être bien supérieur si l'on se base sur l'analyse comportementale dévoilée par le statisticien Denis Laroche :

« Le seuil à partir duquel certains actes tendent à être identifiés spontanément par les femmes comme de la violence commence à un niveau de sévérité significativement moins élevé que ce n’est le cas chez les hommes. Il peut en résulter des écarts considérables dans les taux de prévalence de la violence conjugale (ce qui traduit le fait que dans les études statistiques ESG outre-atlantique on n’applique pas la même échelle de mesure définie uniformément à la violence subie par les hommes et à celle subie par les femmes. NDLR). Si le concept de « violence physique » est défini de manière plus large pour les femmes, il ne faut pas s’étonner qu’on observe dans leur cas des taux de prévalence plus élevés. »

Ainsi il n'est pas dénué de bon sens de penser qu'une femme uniquement saisie par le bras, ou poussée, bousculée, sera plus susceptible de porter plainte pour violences conjugales là où un homme ayant subi exactement les mêmes faits ne le fera pas. Ceci pourrait donc aussi expliquer pourquoi nombre de plaintes déposées en France par des plaignantes pour violences conjugales sont classées sans suite.


La stratégie étatique de ghettoïsation.

En fait, le silence qui entoure cette triste réalité s'inscrit au cœur d'une stratégie de discrimination misandre qui consiste à opposer les victimes entre elles selon leur sexe. Cette stratégie, promue par les associations ultra-féministes auprès des décideurs du pays, prend ses sources dans une logique que Marguerite Yourcenar qualifiait courageusement de « ghettoïsation » : un fait de violence conjugale subi par un homme ferait obstruction à deux faits de violences conjugales subies par des femmes. Oui vous avez bien lu : pour ces féministes de l'extrême une femme vaudrait deux hommes. Car aux yeux de l'ultra-féminisme, selon son sexe un être humain serait susceptible d'avoir moins de valeur sociale qu'un autre, parce que sa souffrance et la violence des coups qu'il reçoit au quotidien seraient proportionnelles au nombre d'autres victimes du même sexe endurant le même calvaire. En somme, la souffrance des hommes victimes se devrait d'être tue parce qu'elle masquerait celle de femmes plus nombreuses à vivre exactement le même calvaire.

On trouve là l'explication de ce qui relève d'un comportement misandre de la part de plusieurs organes de Pouvoir et d'organismes satellites. Cela donne un gouvernement qui ne parle de violences conjugales qu'en termes de victimes féminines alors qu'une victime sur trois est un homme. On trouve dans cette même posture un secrétariat gouvernemental qui ose se parer des vertus de la lutte pour l'égalité entre les individus quels que soit leur sexe, mais uniquement lorsque cette égalité est à porter au bénéfice des femmes. Une égalité qui n'en porte donc que le nom et qui se veut surtout servir une politique du paraître et de l'esbroufe.


Et les victimes dans tout ça ?

Hommes et femmes victimes sont hélas perçus par ces associations extrémistes et par le gouvernement comme des pions. Des objets dont le sexe et la souffrance au quotidien servent d'arguments inespérés autant par ces associations extrémistes obsédées par leur budget et par leurs nombrils reproducteurs, que par tous ces décideurs plus soucieux de la pérennité de leur postérieur posé sur un siège d’esthète que du bien-être de dizaines de millions d'administrés.



 

 

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