Halte au Sexisme

« Parce que les hommes et LGBTQ+ battus d’aujourd’hui vivent le calvaire des femmes battues d’hier. »

 

 

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :

les oubliés de la France

 

1 homme sur 4 est victime de harcèlement sexuel au travail *.

1 600 000 hommes victimes d’un stress post-traumatique (SPT) à la suite d’un viol ou d’une tentative de viol subi dans leur vie *.

146 000 hommes victimes par an de violences conjugales tous types confondus *.

26 000 hommes victimes par an de violences sexuelles commises par leur conjoint.e ou ex-conjoint.e *.

67 500 hommes victimes chaque année de violences sexuelles physiques au travail *.

 

Et vous ? Quelle victime de la France misandre êtes vous ?

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :
la France de la honte !

 

0 plaquette informative de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 page Internet de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 précision de l’État pour dire que des structures prennent aussi en charge les hommes victimes.

0 structure d’État spécifiquement dédiée aux hommes victimes.

3 communications de l’État qui précisent qu’un homme a aussi droit au statut de victime ( 1, 2, 3 ).

99.7% communications de l’État qui suggèrent un sexe masculin pour évoquer un agresseur, mais  JAMAIS il n’y est suggéré qu’une victime puisse être un homme.

 

À la maison,

vous aussi ?

Appelez le 3919

(7j/7, de 8h à 22h)



Votre enfant,

risque ça ?

Appelez le
01 47 70 25 34

(7j/7, 24h/24)

ACTUALITES - Faits divers du féminisme de la honte

 

Trop de personnes se réclament d'une cause de justesse mais s'autorisent quelques libertés on ne peut plus discutables. Lorsqu'il ne s'agit pas de violer carément la loi, certaines de ces personnes ont un peu de mal à s'appliquer à elles-mêmes les règles qu'elles imposent aux autres.

Voici donc ces affaires qui font honte au féminisme, celles de personnes qui s'expriment au nom de cette cause mais dont les actes semblent poser un petit problème de cohérence.



 

18 mars 2021  : #UNEF, racisme et sexisme : État complice ?

Face à Sonia Mabrouk sur Europe 1, sans le moindre complexe la présidente UNEF le syndicat étudiant, Mélanie Luce, aura expliqué que des discriminations de sexe et de couleur de peau étaient opérées dans la sélection des participants à certaines des réunions de son syndicat.

Nouvelle preuve, s'il en était encore besoin, que sexisme et racisme ne sont fonction ni d'un sexe, ni d'une couleur de peau, ni d'une religion. Nous notons aussi que TOUS vos médias et politiciens occultent consciemment la moitié du propos tenu devant les caméras. Ainsi tous s'offusquent évidemment des mots racialistes, mais TOUS ferment les yeux sur le propos misandre tenu à l'antenne exactement dans les même termes.

Minimiser une des formes de haine sociale au nom du politiquement correct, n'est-ce pas s'en rendre complice ? Que fait donc l’État ? Que fait la police ?

Notons enfin que le propos tenu permettrait de qualifier le délit d'une discrimination fondée sur une caractéristique génétique visant à refuser la fourniture d'un bien ou d'un service à une personne physique. Cela relève de l'article 225-2 du Code Pénal et puni de 3 ans de prison et 45000 € d'amende.



 

2 novembre 2018  : #NousToutes réinvente le ghetto ?

Parce que nous sommes stupides, mais pas trop, nous savons que la vidéo (à expertiser) de cette femme présentée comme ayant été attouchée dans le métro, ainsi que la récente agression d'une femme homosexuelle défigurée, vont toutes deux permettre de lancer le fameux mouvement #NousToutes auquel en juillet on nous avait proposé de participer pour novembre. Nous sommes en novembre, nous nous doutons donc que c'est le moment pour les mouvements ultra-féministes d'instrumentaliser les drames vécus par les victimes pour chauffer l'opinion publique, d'autant plus si ces victimes sont des femmes, tout ceci pour légitimer ce mouvement prévu de longue date... Une instrumentalisation du malheur dont sont devenues expertes les personnes responsables des groupuscules ultra-féministes, quitte au passage à berner quelques responsables d'autres causes un peu plus légitimes, telle celle de la lutte contre les violences sur les personnes homosexuelles.

Nous souhaitons donc confirmer la réponse que nous avions faite dès juillet à #NousToutes, réponse que voici :

« Nous aurions grandement aimé pouvoir relayer une action de lutte contre ces abominations que sont les violences sexistes et sexuelles que subissent quotidiennement nombre de victimes hommes et femmes. Toutefois il nous est apparu que le nom choisi du hashtag #NousToutes dans sa construction exclusivement au féminin est susceptible d'exclure de son champ de représentativité et de bienveillance sociale toute personne engagée dans un tel combat à partir du moment où il s'agit d'un homme. La cause féministe de bonne foi et la cause hoministe luttent avec une même finalité : l'égalité de bienveillance sociale et de considération de notre société envers femmes et hommes. Nous ne comprenons donc pas pourquoi dans sa forme ce mouvement opère une discrimination basée sur le sexe. Nous craignons qu'hélas il ait pour objectif d'accentuer un clivage social entre hommes et femmes en amplifiant le cliché dit "patriarcal" de la femme forcément idiote, gourde, soumise, incapable de se défendre, et de l'homme forcément violent, obsédé sexuel, dénué d'émotions bienveillantes et incapable d'empathie et d'altruisme.

Ainsi nous souhaiterions évidemment relayer cette action ! Mais l'expérience nous mène à craindre avoir à faire à une énième manifestation dont le but serait d'attiser les haines entre les femmes et les hommes via un manichéisme entretenu sur les violences, le sexe de leurs victimes, celui de leurs auteurs. Cette manifestation se doit d'accueillir et de soutenir toutes les victimes de violences sexistes et sexuelles, sans distinction de sexe.

Nous vous proposons donc dans l'urgence de modifier votre hastag #NousToutes par exemple en #NousTout.e.s, ou #NousVictimes, pour que dans la forme comme sur le fond elle ne tombe pas dans les travers de l'exclusion là où elle se doit d'être ouverte à toutes et tous. »



 

3 septembre 2018  : #NousToutesHarcèlement, du féminisme version chemise brune ?

Nous nous sommes rendu sur cette page Facebook crée par des prétendues "féministes" suite à la présumée agression de rue subie par Marie Laguerre.

Le nom genré de la page présume du contenu, et effectivement la discrimination et les clichés de genre et de sexisme ordinaire y sont bien au rendez-vous. La succession de posts sélectionnés qu'on y retrouve présente systématiquement la femme comme la victime et l'agresseur comme étant un homme. Sur cette page les profils sont parfaitement cadrés, exit donc à ce jour les hommes victimes de femmes, malgré le quotidien des rues et des transports publics. Aux commandes, il semblerait que ce soient encore les mêmes esprits égocentrés, toujours focalisés sur leurs nombrils procréateurs. Et comme d'habitude la cause de lutte pour l'égalité sert de prétexte pour promouvoir les à-priori de sexe et de genre, tout ceci au plus grand mépris des textes de loi de notre pays qui répriment ce genre de comportement d'incitation à la haine. En France l'impunité reste donc toujours la règle lorsqu'elle est teintée d'un sexe ou d'un genre très précis.

S'exprimant en toute impunité, le sexisme a donc décidément de beaux jours devant lui, le féminisme de façade continuant à oeuvrer activement pour défendre les fondements-même du patriarcat qu'il prétend combattre pour se donner bonne figure. Cela s'explique d'autant plus que l'on a récemment découvert que le harcèlement sexuel était aussi parfois à l'initiative de militantes prétendues féministes se cachant derrière cette cause pour commettre leurs méfaits criminels. Finalement, le harcèlement c'est comme le sexisme et la bêtise humaine ; ni sexe ni genre prédéfini, mais des rhizomes communs qui se développent sur un terreau aux couleurs de chemises brunes : celui de la haine de l' "autre".



 

19 août 2018  : Tête de proue de #MeToo, elle aurait acheté le silence de sa victime présumée.

Tête de proue du mouvement #MeToo, Asia Argento, aurait acheté le silence d'un jeune homme, Jimmy Bennett, qui l'accusait de l'avoir agressé sexuellement dans une chambre d'hôtel lorsqu'il était mineur. Selon le quotidien The New York Time l'actrice lui aurait ainsi versé 380 000 dollars depuis avril dernier.

Acteur dans une vingtaine de films où il jouait essentiellement des rôles d'enfants, il avait notamment joué le rôle de son fils dans le film « Le Livre de Jérémie ». L'actrice y incarnait Sarah, jeune mère impulsive, insatiable et profondément perdue qui se prostitue pour des routiers sur des aires d’autoroute dans le Sud des États-Unis.

Fer de lance du mouvement #MeToo, l'actrice Asia Argento était surtout connue pour ses interventions tel qu'au dernier festival de Cannes où, remettant le prix de l'interprétation féminine, elle avait fanfaronné à l'attention des agresseurs : « Vous savez qui vous êtes mais, plus important encore, nous savons qui vous êtes. Et nous ne vous permettrons pas de vivre dans l'impunité ».

L'agression sexuelle dont il est question aurait eu lieu le 9 mai 2013 dans une chambre d'hôtel en Californie alors que le jeune homme avait 17 ans, elle en avait 38. Une photo prise dans la chambre et authentifiées par deux sources proches du dossiers montrent l'adolescent et son agresseuse dans un lit. L'homme victime décrit l'acte sexuel qu'il a subit comme une véritable trahison qui, depuis, l'aurait précipité dans une spirale émotionnelle et une profonde détresse. Son avocat déclare que pour se reconstruire « Jimmy continuera à faire ce qu'il a fait ces derniers mois et années, en se concentrant sur sa musique. »

Une source : Le Monde



 

13 août 2018  : Philosophe féministe, elle est reconnue coupable de harcèlement sexuel.

Le 13 août 2018, le quotidien The New York Time révèle qu'en mai 2018 l'université de New-York a reconnu la philosophe féministe Avital Ronell coupable de harcèlement sexuel sur un de ses élèves, Nimrod Reitman. Cette condamnation fait suite à une enquête de onze mois diligentée par l'université dans le cadre du Title IX, un amendement qui impose aux universités d'enquêter sur les harcèlement sexuels qui ont lieu dans leurs établissements.

Le journal titre son article « qu'advient-il de #MeToo lorsque l'accusée est une féministe ? » et note que pour défendre l'agresseuse présumée, nombre de soutiens utiliseraient les mêmes techniques que celles dénoncées par le courant féministe : intimidation de la victime, remise en cause de sa parole, minimisation de la gravité de l'acte reproché, mise en avant des conséquences d'une plainte sur la carrière de l'auteur(e) de l'agression. Il est aussi reproché à la victime d'utiliser contre la militante féministe le Title IX qui est considéré comme un outil féministe.

Une source : Le Figaro



 

 

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