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ACTUALITES - des femmes parfaites et de leurs victimes en 2018
Attention : cette page-ci est tenue sur un ton sarcastique. Nous y traitons l'actualité avec ironie, dérision, caricature et donc humour (forcément de mauvais goût pour celles et ceux qui ne les conçoivent qu'à géométries variables). Avec ces moyens d'expression nous y poussons donc l'exagération à l'extrême, au point qu'il ne puisse échapper à personne de sensé qu'il s'agit effectivement d'exagération. Notre objectif : expliquer qu'à nos yeux le néo-féminisme extrémiste tient un discours stigmatisant, haineux et discriminant basé sur des clichés sexistes misandres, et que l'actualité quotidienne la plus dramatique démontre qu'il est incohérent.
Au cinéma, au JT de 20h, dans la bouche des associations féministes les plus extrémistes et celle de nos politiciens préférés, l'homme est un méchant pervers sadique brutal obsédé sexuel, sans coeur, sans-âme, dénué de compassion qui n'attend qu'une occasion pour sauter sur une femme et la frapper en n'oubliant pas de la violer au passage parce que sinon ce n'est pas drôle. Quant à la femme, elle est forcément gentille, une pure sainte fragile innocente vierge incapable de faire le moindre mal parce que génétiquement programmée pour être une victime et faire le bien sur Terre. Manque de bol, lorsqu'on va au delà de ces clichés sexistes on se rend compte que dans la vraie vie ça ne se passe pas tout à fait comme ça.
Au delà de ce manichéisme misandre institutionnalisé qui infantilise la population, voici au long cours l'actualité de gentilles et saintes femmes qui volent, escroquent, battent, violent et torturent forcément toujours avec tact, grâce et innocence, et celle de leurs victimes, compagnes, gros vilains méchants conjoints et enfants qui l'ont donc forcément bien cherché.
Vous pouvez aussi découvrir l'actu copieuse des femmes parfaites et de leurs victimes en
2023
,
2022
,
2021
,
2020
,
2019
,
2018
et
décembre 2017.
28 décembre
2018, Bruay-la-Buissière : Au commissariat, cette mère règle ses comptes à coups de couteau.
En septembre dernier sa fille avait porté plainte au commissariat de Bruay-la-Buissière contre deux adolescents pour de prétendus faits d'attouchement. Quelques jours plus tard une confrontation aura lieu entre la jeune fille et les garçons, confrontation qui permettra de dégonfler l'affaire. Mais l'issu ne plaira pas à la mère de la plaignante : alors qu'elle croise la maman d'un des jeunes hommes au commissariat, elle sort un couteau de son sac et poignarde la maman.
La victime sera légèrement blessée au flanc.
Verdict : 18 mois de prison dont 10 avec sursis.
Source :
La Voix du Nord
18 décembre
2018, Pas-de-Calais : elle avait attaché son bracelet électronique au cou de son chat.
Condamnée à une peine de prison pour conduite sans permis, elle avait obtenu un aménagement lui permettant de purger sa peine à domicile. Sauf qu'elle avait détaché son bracelet électronique qui avait été mal posé et l'avait attaché autours du cou de son chat " pour rigoler".
Une photo d'elle sans bracelet avait mené la police à se rendre à son domicile. Elle a depuis été placée en détention.
Encouru : 6 mois de prison.
Source :
FranceTVInfo
13 décembre
2018, Pau : Elle harcelait les pompiers, pour la cinquième fois.
Elle avait déjà été condamnée pour avoir harcelé au téléphone la police municipale, le centre psychiatrique, le commissariat de police, et le Service Départemental d'Incendie et de Secour (SDIS) qui fut victimes de 1950 appels indélicats de sa part depuis 2015.
Cet été elle avait remis le couvert en saturant à plusieurs reprises le standard d'appel d'urgence des Pompiers au 18.
Verdict : 4 mois de prison ferme.
Source :
FranceTVInfo
5 décembre
2018, Rodez : Maman frappait son fils avec une tapette à mouche.
Elle reconnaitra avoir ascenné de "petits coups sur les épaules" avec le manche d'une tapette à mouche, mais une expertise médicale mettra en évidence un hématome sur l'épaule. Pour se défendre, dans des explications confuses la prévenue prétendra être tombée sur son fils... Celui-ci dira que c'était la première fois qu'il était corrigé par sa mère, son grand frère soutiendra que les coups n'étaient pas violents.
la victime demandra que sa mère ne soit pas condamnée.
Verdict : 500 Euros d'amende avec sursi.
Source :
LaDépêche.fr
4 décembre
2018, Lille : pour sortir, elle attachait ses enfants par la cheville avec une corde...
... Et à la barre elle tentera d'accuser le père dont elle était séparée depuis 14 mois.
Sauf que la justice démontrera que le papa s'était rendu à deux reprise chez sa femme, trouvant porte close. La seconde fois il entendra les pleurs de sa fillette et de son frère à travers la porte : « maman est partie ». La police se rendra sur les lieux et découvrira les deux enfants attachés par la cheville au canapé avec une corde dont la prucureure notera qu'elle « était si serrée que les policiers ont dû les détacher avec des ciseaux ».
Sur les photos présentées à l'audience « On voit de la nourriture pourrissant par terre, des tas de linge sale... » « Le petit garçon avait été malade. Les policiers l'ont trouvé, assis au milieu de ses excréments et de son vomi ».
Verdict : 1 an de prison dont 6 mois avec sursis, mise à l'épreuve pendant 2 ans, elle pourra voir ses enfants uniquement en présence de l'Aide sociale à l'enfance.
Source :
La Voix du Nord
22 novembre
2018, Mâcon : Elle s'était prétendue victime de 261 viols et 12 faits de violence...
... Sauf que tout était faux. Tout avait commencé en 2014 par une lettre reçue par le parquet de Mâcon de la part d'une professeur de cette élève. La jeune fille racontait à qui voulait l'entendre avoir été violée depuis 2010 par un voisin chez qui elle effectuait du babysitting. Elle maintiendra ses accusations aux différentes auditions tenues entre 2014 et 2017 en précisant que les agressions continueraient pendant l'instruction, comptabilisant pas moins de 261 viols imaginaires. Depuis devenue majeure, à 21 ans elle persistera dans ses allégations mensongères jusqu'à la barre pendant son propre procès.
Heureusement pour l'homme accusé à tort, la procédure démontrera que tout était inventé, il bénéficiera d'un non-lieu en mars 2018. Par l'intermédiaire de son avocat il se déclarera satisfait « d'être reconnu comme une victime ».
Verdict : 1 mois de prison avec sursis assorti d'une mise à l'épreuve de 18 mois avec obligation de soin, de travail et 3000 euros de dommages et intérêts à la victime en réparation du préjudice moral.
Source :
Le Figaro
21 novembre
2018, Quimper : par jalousie elle envoie son amant tuer son mari ?
En instance de divorce, l'épouse s'était trouvé un nouveau compagnon... Mais, possessive, elle aurait été jalouse maladive que son mari boulanger ait lui aussi trouvée une nouvelle compagne. Elle aurait donc organisée l'exécution de son mari avec l'aide de... son amant et d'un associé de ce dernier.
Dépêchés par la femme jalouse, les deux hommes se seraient rendus chez le mari et auraient patienté qu'il sorte de chez lui. L'associé aurait alors tiré une première fois, blessant le boulanger, puis se serait rendu dans la maison dans laquelle la victime et sa compagne se seraient réfugiés. Il aurait alors achevé le boulanger de deux balles dans la tête et aurait blessée sa compagne.
Notre opinion : amener deux personnes dont son propre amant à tuer un mari, ceci uniquement par jalousie, voilà de bien étranges circonstances. En revanche il est beaucoup moins étrange qu'un assassinat crapuleux mène le commanditaire à invoquer le mobile passionnel sachant qu'il est généralement condamné avec beaucoup moins de sévérité que l'assassinat pour motif crapuleux.
Etrange aussi que ce-même néo-féminisme qui se gargarise de la théorie d'un patriarcat soumettant les femmes aux hommes, soit frappé d'un éclatant mutisme lorsque l'actualité montre que les femmes savent tout autant soumettre les hommes à leurs volontés même les plus perverses et sanglantes.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Source :
FranceTVInfo
17 novembre
2018, Tulle : Sérena 2 ans domiciliée dans le coffre d'une 307.
Elle aura vécu les deux premières années de sa vie dans le coffre d'une 307, au milieu des larves de mouche et des excréments, baignant dans son urine.
Evidemment la défense de la mère sautera sur l'occasion pour brandir l'excuse du déni de grossesse servie de longue date aux magistrats à toutes les sauces pour justifier toutes les horreurs possibles commises par une mère sur son enfant... Mais les juges ne sont désormais plus dupes et la mayonnaise ne prendra pas : la mère ne pouvait nier l'existance de l'enfant vu qu'elle la nourissait depuis deux ans.
Qu'à celà ne tienne, pour l'occasion il aura donc fallu trouver une nouvelle excuse inédite pour justifier la maltraitance d'un enfant par sa pauvre mère forcément innocente parce que née avec un sexe féminin : c'est sorti tout droit des cartons du néo-féminisme victimaire, ça s'appelle le déni d'enfant. Nous gageons qu'une fois encore seules les criminelles de sexe féminin pourront l'invoquer, une discrimination justifiée toujours au nom du cliché systémique et sexiste misandre franco-français qui voudrait que « femme = forcément gentille, homme = forcément méchant ».
En France, l'Egalité femmes-hommes est hélas un concept à géométrie variable suivant les objectifs de ceux qui l'invoquent, hélas trop souvent aussi en fonction de leur sexe.
Verdict en première instance : 2 ans de prison ferme et 3 ans de prison avec sursis. Appel interjeté par le parquet.
Source :
L'Obs
7 novembre
2018, Dunkerque : elle menace de faire sauter le CHU de Dunkerque.
Les extrémistes féministes rejoignent ceux islamistes lorsqu'il s'agit de présenter les femmes dangereuses comme des saintes. Celle-ci se sera présentée aujourd'hui au CHU de Dunkerque armée de deux valises qu'elle prétendait remplies d'explosifs qu'elle allait faire exploser. Le périmètre sera bouclé, le RAID sera dépêché sur place pour finalement s'apercevoir que les valises ne contenaient que des vêtements.
Encouru : 3 ans de prison et 45 000 euros d'amende.
Source :
LCI
2 novembre
2018, Montlouis : Elle s'était automutilée pour inventer une agression.
Pour le néo-féminisme, des blessures sur le corps une femme qui déclare avoir été violentée sont la preuve qu'elle l'a été, surtout si les agresseurs sont de sexe masculin ! « Salauds de mecs ! »
Sauf que cette automobiliste-ci avait tout inventé, pire même : « il apparaît que cette femme s'est elle-même administrées des gifles pour avoir des ecchymoses sur le visage. Elle s'est également faite une blessure au couteau à une jambe. Les bijoux, prétendument volés, ont en fait été retrouvés dans un fossé près de la déchetterie de Montlouis-sur-Loire » déclarera France-Bleu Touraine.
Des incohérences dans son récit ont mené la gendarmerie à douter de l'état psychiatrique de la plaignante et de la réalité de sa prétendue agression. Cela nous mène à nous interroger sur le nombre de plaignantes s'étant à se jour auto-infligées des mutilations, et dont l'état psychiatrique est plus sain au point d'utiliser ce genre de méthode pour accuser de violences une tierce personne, un conjoint par exemple (encore mieux s'il meurt malencontreusement de trois balles de fusils dans le dos et qu'il ne peut donc plus se défendre), avec un récit mieux construit.
Encouru : 6 mois de prison et 7 500 euros d'amende.
Source :
France-Soir
1er novembre
2018, Paris : Mamie volait puis revendait sur le Net.
C'est bien connu : les vols dans les magasin seraient le fait de jeunes gens, des hommes, d'autant plus si ensuite ils s'adonnent à tout revendre sur Internet. Sauf que là c'est une dame de 72 ans avait passé ces dernières années à voler régulièrement des objets, principalement des jouets, dans les magasins de la capitale, objets qu'elle revendait sur des sites de revente d'objets d'occasions.
Plus de 1000 de ces objets dérobés ont été retrouvé chez elle, ainsi qu'une somme de 40 000 Euros. Discrète, la dame refusait que quiconque, même ses proches, ne vienne chez elle.
Encouru : 5 ans de prison et 375 000 euros d'amende.
Source :
France-Info
30 octobre
2018, Perpignan : Elle tue sa mère puis frappe un passant et menace d'incendier la maison.
A l'époque des faits elle avait 17 ans et se rendait chez son copain qui voulait rompre. Elle croise sa mère en voiture qui s'arrête et qui sort du véhicule, elle se met au volant et la tue en la percutant. Puis elle descend et frappe un passant qui s'était mis à la réprimander. Elle remontera dans le véhicule et se rendra chez le père du copain qui la voyant couverte de sang refusera de la faire entrer ce qui la mènera à le menacer d'incendier la maison.
L’expertise psychiatrique ne relèvera aucun trouble psychologique et notera une "dangerosité criminologique". Elle était sous l'emprise de cannabis.
Encouru : 3 ans de prison et 45 000 euros d'amende.
Source :
L'Indépendant
26 octobre
2018, Limay : Elle poignarde sa rivale enceinte pour lui « prendre son enfant ».
Le néo-féminisme aime désigner les hormones masculines comme responsables des crimes passionnels. Sauf qu'aujourd'hui c'est une femme de 38 ans qui s'est s'est rendue armée d'un couteau de cuisine chez sa rivale enceinte avant de la poignarder à 7 reprises à la gorge et au ventre. Le foetus de 8 mois ne survivra pas. Un enfant de 2 ans sera aussi grièvement blessé pendant l'assaut.
L'agresseuse, ancienne compagne du papa, a reconnu devant les policiers avoir voulu « prendre son enfant » à sa rivale. Une difficulté juridique liée au statut du foetus a mené les magistrats à la poursuivre pour tentative d'assassinat sur la mère.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Source :
Le Parisien
16 octobre
2018, Nevers : maman l'avait frappée à coups de ceinture.
La petite fille de 8 ans avait pris un paquet de gâteau dans un placard sans en demander l'autorisation. Cachée derrière une porte cette maman avait donc attendu le retour de sa fille puis avait surgi pour la frapper à plusieurs reprises avec une ceinture. Bilan médical : plusieurs hématomes aux fesses et sur la cuisse gauche, des ecchymoses sur le bras droit, plusieurs lésions dans le dos. 8 jours d'incapacité totale de travail (ITT) seront prononcés par les médecins.
Pour qualifier la violence de la mère, à la barre l'avocat de la partie civile parlera de « colère froide sans aucune limite ». La mère se défendra en invoquant une IVG et de la fatigue...
Verdict : 4 mois de prison avec sursis, 2000 Euros en réparation du préjudice à la partie civile.
Source :
Le Journal du Centre
16 octobre
2018, Evry : Les expertises démontrent le syndrôme du bébé secoué.
Le bébé de 8 mois était, selon la mère, tombé du clic-clac. Il décèdera à l'hopital. Le père rentré en urgence à la maison tentera de faire porter la responsabilité du décès à l'équipe soignante. Sauf que...
... Les expertises démontreront que la thèse de la chute est impossible : pas de fracture, pas d'hématome ni de bosse, rien. En revanche les 6 experts sont tous d'accord pour conclure que les constatations médico-légales matchent avec le syndrôme du bébé secoué. Qu'a donc fait cette mère parfaite ce jour là ?
Encouru : 20 ans de réclusion criminelle
Source :
Le Parisien
15 octobre
2018, Gueret : A toute allure elle avait poursuivi un piéton puis l'avait percuté.
Le tort de sa victime, un trentenaire : s'être bagarré avec son fils de 17 ans. Furieuse, la mère bondit dans sa voiture et se lance dans une véritabl chasse à l'homme. Le procureur notera que « J’ai visionné les images de vidéo-surveillance où l’on voit la voiture poursuivre le jeune homme qui court. Elle roulait très vite ». Elle réussira finalement à le rattraper et le percutera. Blessé, il réussira à s'enfuir.
Une ITT de 21 jours sera prononcée le lendemain pour une entorse à la cheville, des hématomes à la cuisse, une douleur à la hanche, des plaies au visage et des morsures.
Celle que le néo-féminisme qualifiera certainement de mère exemplaire était connue de la justice qui l'avait déjà condamnée à 6 reprises, dont 2 fois pour des violences.
Verdict : 18 mois de prison dont 9 mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans.
Source :
La Montagne
14 octobre
2018, Castelnaudary : La belle-mère aurait poignardée sa petite fille de 11 ans.
L'enfant retrouvée par la police dans son lit décèdera plus tard de ses blessures.
Selon les dires de la belle-mère les coups auraient été portés après une dispute avec le père : c'est bien connu qu'en France une dispute avec un père justifie qu'une femme puisse ensuite poignarder un enfant... Alors pourquoi ne pas tenter ce moyen de défense ? Toutes les femmes n'y sont-elles pas considérées comme des saintes incapables du moindre mal ?
Au delà de l'enquête qui établira les faits, on se demande surtout ce que les adeptes de l'ultra-féminisme trouveront cette fois-ci comme jolie fable à faire gober aux médias et à l'opinion publique pour bien rejeter la faute sur le père et déculpabiliser la douce et gentille parfaite belle-mère première victime d'avoir probablement tuée sa petite fille...
Encouru : 20 ans de réclusion criminelle
Source :
20 minutes
12 octobre
2018, Paris : consciente que son fils était dans le lave-linge, elle avait laissé la machine tourner.
Pour le punir de mauvais comportements à l'école, le petit Bastien, 3 ans, avait été enfermé dans la machine à laver le linge par son père. La machine avait ensuite été mise en route puis la mère s'était lancée dans une partie de puzzle avec sa fille Maud pour éviter que celle-ci n'agisse pour sauver son frère.
Le petit Bastien décèdera pendant les 30 à 60 minutes de rotations et de coups de battoir du lave-linge.
La défense de la mère consistait évidemment à prétendre s'être opposée au père (il sera condamné à 20 ans de prison en première instance). Or non seulement l'avocat général précisera que la maman n'avait pas fait oeuvre « d'opposition au placement de Bastien dans la machine à laver », mais de plus le jury concluera que la mère s'était livrée à un « détournement conscient » de l'attention de la soeur de Bastien « pendant la phase cruciale du crime », l'empêchant ainsi de réagir.
Verdict pour la mère : 15 ans de réclusion criminelle
Source :
RTL
9 octobre
2018, Blois : Elle violente sa fille pour accuser le père.
Via les médias ou la bouche des politiciens qu'elles soudoient, les ultra-féministes propagent le cliché de l'homme forcément violent sadique pervers et immoral, et de la femme forcément douce innocente parfaite sainte. C'est justement ce cliché qu'une jeune mère de 19 ans a voulu exploiter pour tenter de retirer le droit de visite au père de son enfant.
La tactique consista à faire une photo du dos rouge de l'enfant, puis à se rendre chez le médecin pour lui affirmer que le père était à l'origine de la rougeur, photo à l'appui. Sauf que le professionnel de santé a tout de suite remarqué que le rougeoiment présent sur la photo ne correspondait pas aux blessures de l'enfant face à lui en consultation. Mise face à ses contradictions, la mère abandonnera l'idée d'accuser le père pour tenter de faire croire à un accident avec une trotinette, puis ce sera un meuble qui sera accusé... Sans compter la tentative de justifier ses mensonges en utilisant un autre cliché : celui du forcément méchant policier. Elle finira par avouer avoir elle-même griffé l'enfant avec comme objectif d'accuser le père et mener à lui retirer son droit de visite.
Verdict : 7 mois de prison avec sursis.
Source :
La Nouvelle République
3 octobre
2018, Rouen : Elle introduisait des objets dans l'anus de sa fille et la privait de ses médicaments.
L'ultra-féminisme qualifiera probablement cette mère de parfaite, sauf qu'elle était poursuivie pour « privation de soins » et « actes de torture ou de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».
Concernant les objets insérés dans l'anus de la fille de 21 mois le médecin légiste notera que « ce sont des actes répétés car on observe une béance à cet endroit qui ne peut être la conséquence d’un seul acte ».
Les médicaments dont cette mère privait sa fille avaient pour objet de traiter une grave maladie cardiaque. Les experts légistes ont déterminé que la mort de l'enfant était due aux actes de pénétrations sexuelles subis un mois avant son décès ainsi qu'à une défaillance dans l'administration des médicaments. Elle avait été admise au CHU de Rouen dans un état critique et n'avait pas survécu, c'était la quatorzième fois depuis sa naissance que l'enfant était amenée à l'hôpital.
Verdict : 15 ans de réclusion criminelle, ainsi qu’un suivi socio-judiciaire de 5 ans à sa sortie de détention.
Source :
Paris-Normandie
19 septembre
2018, Drancy : Cette mère avait mis son fils de 22 mois dans la machine à laver.
Elle est jugée aujourd'hui pour le meurtre de l'enfant, les propos reportés par l'enquêteur à la barre du tribunal glacent le sang : « A la deuxième audition, elle m’a dit Maintenant je vais vous le dire, [sa chute dans] l’escalier, c’est pas vrai, je lui ai mis des gifles, des coups, des patates, et elle mime le fait de boxer. Dans la chambre, elle l’a jeté quatre ou cinq fois dans son lit et sur le sol, a pris une ceinture dans l’armoire pour le frapper, elle dit qu’elle l’a mis ensuite dans la machine à laver. »
Un second policier sera entendu avec ces propos : « A son retour d’Avicenne, quand son fils pleure, elle fait une crise, le frappe, le déshabille, le lave dans le bac à douche, le rhabille, lui donne un yaourt à goûter mais elle le trouve raplapla. Puis elle a une deuxième crise, elle le redéshabille et le met dans la machine à laver. » « Sur le cycle habituel, il est nu, mais comme ça lui fait mal au cœur, elle pousse la porte de la salle de bains et tente de s’occuper, difficilement, pendant le cycle. En le sortant, elle le trouve mou, froid, d’une couleur bizarre mais pour elle il est encore en vie. »
Propos confirmé par l'expertise qui notera que l'enfant n'est pas mort dans le tambour de la machine à laver. Le légiste notera la présence de 80 hématomes sur le corp du bébé, la mort ayant été provoquée par une hémorragie cérébrale.
Verdict : 20 ans de réclusion criminelle dont deux tiers en période de sûreté, ainsi qu’un suivi socio-judiciaire de 5 ans à sa sortie de détention et le retrait de son autorité parentale sur son fils aîné de 8 ans lui aussi victime de sévices.
2 sources :
Procès : Le Parisien
Verdict : France Soir
6 septembre
2018, Paris : Elle avait laché son bébé de 10 mois du 7ème étage de l'immeuble.
Aux yeux du féminisme radical, toutes les mères que l'on croise sont forcément des êtres équilibrés, sensés etc. Sauf qu'à la barre cette mère aura déclaré : « J'ai eu envie de sauter avec mon bébé. Je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai écarté le bras, je l'ai laissé partir ».
La cours a reconnu une altération du discernement au moment de la commision des faits, cette mère ayant déja été traitée pour de lourds antécédents psychiatriques. Un expert psychiatre déclarera falloir « des années d'analyse après sa peine pour qu'elle découvre pourquoi elle a ainsi agi ».
Le bébé était issu d'une insémination procédée hors tout contexte médical après la mise en relation de la mère avec un géniteur homosexuel via un site spécialisé dans ce type de rencontres. Le bébé décédé était le second enfant que cette mère avait obtenu par ce procédé.
Verdict : 8 ans de prison, ainsi qu’un suivi socio-judiciaire de 5 ans à sa sortie de détention et le retrait de son autorité parentale sur son autre fils de 5 ans.
Sources : Actu-Orange
15 août
2018, Marseille : La cheffe de cuisine poignarde son compagnon.
Commises sous un état alcoolique avancé, les blessures rapportées par La Provence font froid dans le dos : « deux balafres à l'avant-bras, huit points de suture à la main, cinq autres à la tête, une balafre à la nuque ». Manque de chance pour les néo-féministes, cette fois-ci pas moyen de récupérer l'affaire en invitant la prévenue à broder une fable de pauvre femme sainte-parfaite-victime et de mari gros-vilain-violent : le mari il est toujours vivant et toujours autant amoureux de sa conjointe, même plusieurs coups de couteau reçus plus tard. Ainsi le quotidien marseillais rapporte ses mots : « Je ne souhaite pas que madame soit condamnée à une quelconque peine ». On se demande combien de maris trépassés auraient souhaité tenir ces mots d'amour. Par crainte de récidive la prévenue a été placée en détention provisoire. L'affaire sera jugée le 30 août.
Notons aussi qu'à ce jour seul le quotidien La Provence a eu le courage de mentionner cette affaire, brisant ainsi l'omerta sexiste misandre imposé par l'ultra-féminisme au monde des médias. Bravo à ce journal, espérons que les foudres folles de l'ultra-féminisme ne s'abattront pas sur lui.
Encouru : 3 ans de prison et 45 000 Euros d'amende.
Source : La Provence
13 août
2018, Toulon : Condamnée pour avoir imposé une fellation à son voisin.
L'occasion de rappeler aux ultra-féministes que prodiguer une fellation à un homme sans son consentement est un acte grave et lourd de conséquences. Il y a deux mois cette femme transgenre s'était trompée de porte en rentrant d'une soirée. Alcoolisée plus que de raisonnable elle s'était alors mise à pratiquer une fellation sur son voisin qui s'était endormi sur le canapé après avoir visionné un match de football. La présidente du tribunal s'étonnera : « Lorsque vous vous êtes rendu compte que vous vous étiez trompée d'appartement, vous auriez dû partir. Or là, non, vous restez et vous faites une fellation ». L'homme avait fini par se réveiller et, traumatisé, s'était mis à hurler ce qui avait fait fuir son agresseuse. La prévenue expliquera aujourd'hui à la barre ne pas avoir « réfléchi aux conséquences ».
Elle plaidera coupable d'atteinte sexuelle par violence, menace ou contrainte, et reconnaîtra l'intégralité des faits. La brésilienne expliquera être en vacances à Hyères et travailler comme escort-girl en France pour pouvoir financer ses opérations de chirurgie ésthétique.
N'oublions pas que dans quelques semaines l'acte d'infliger une fellation à un homme ou un petit garçon sera passible de cour d'assise. En effet, répondant à la demande des associations de victimes et des associations hoministes, l'article 222-23 du Code Pénal qualifiera bientôt de viol « tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui ou sur la personne de l'auteur par violence, contrainte ou surprise ».
Verdict : 15 mois de prison avec sursis et 2 000 Euros de dommages et intérêts à verser à la victime pour sa reconstruction psychologique.
Source : Var Matin
7 août
2018, Drancy : elle poignarde sa mère à mort.
Placée aujourd'hui en garde à vue, cette femme d'une trentaine d'années est souponnée d'avoir dans la nuit poignardé sa mère à 15 reprises avec un couteau dans l'appartement rue des Bois-de-Groslay où toutes les deux résidaient. Motif avancé : sa mère n'aurait cessé de la « rabaisser », et « Dieu lui aurait dit que celà ne pouvait plus durer ». La police a été contactée par une voisine qui aurait entendu des gémissements et vu la fille porter le couteau ensanglanté à la main.
Examinée par un expert psychiatrique, la fille sera déclarée fragile psychologiquement, son état ne nécessitant toutefois pas un placement en hôpital psychiatrique. Le Parquet a requis son placement en détention provisoire.
Verdict : Réclusion criminelle à perpétuité.
Deux sources :
Procès-Le Parisien
Verdict-Le Parisien
3 août
2018, Colmar : elle abandonne son bébé dans la voiture pour aller en boîte de nuit.
La nuit dernière, cette mère de 36 ans s'était rendue en voiture jusqu'à la boîte de nuit de Colmar et avait abandonnée sa petite fille de 2 ans de minuit à deux heures de matin dans le véhicule pour aller danser. Les cris du bébé ont alerté les passants qui se sont rendus auprès des vigiles de l'établissement. La mère a ensuite été contrôlée avec 1,6 gramme d'alcool dans le sang avant qu'elle ne reprenne le volant pour rentrer. L'enfant a été confié à un cousin de la famille pendant l'audition de la mère, celle-ci devra répondre de sa négligeance devant le tribunal correctionnel de Colmar le 22 novembre prochain.
Encouru : 5 ans de prison et 75 000 Euros d'amende.
Une source : Europe1
1er août
2018, Rouen : elle confie son neveu de 4 ans à une inconnue croisée dans la rue.
Placée hiers en garde à vue, cette femme d'une quarantaine d'année avait voulu confier son petit neveu à une parfaite inconnue croisée place du Maréchal Foch dans le centre-ville de Rouen. Son motif : un rendez-vous de quelques heures à honorer. Devant le refus de la passante, finalement elle lui laissera un numéro de téléphone avant de s'enfuir.
2 heures plus tards, ne voyant pas la femme revenir, la nounou improvisée tentera plusieurs fois de l'appeler au numéro confié, sans succès. Désespérée, elle décidera d'amener l'enfant au commissariat de police. Contactée dans l'après-midi par la police la tante sera placée en garde à vue, elle argumentera un rendez-vous qui se serait éternisé. Elle sera finalement relâchée le lendemain matin.
L'enfant a été confié au père.
Encouru : 5 ans de prison et 75 000 Euros d'amende.
Une source : Actu.fr
31 juillet
2018, Aix-en-Provence : Elle torturait son mari et l'avait ruiné.
Affaibli suite à une opération chirurgicale, à 73 ans il vivait sur un coquet héritage avant de rencontrer sa tortionnaire de 29 ans sa cadette grâce à un ami entremetteur, puis de se marier. Une épouse que le néo-féminisme qualifiera très certainement de femme parfaite car depuis leur mariage il y a quelques mois elle lui faisait subir différents sévices...
Le programme que cette sainte femme lui avait concocté était méthodique : vidage des comptes bancaires sous la contrainte, puis confiscation du téléphone, privation de sortie, séquestration dans la chambre, privations de nourriture et fréquents passages des testicules au fer à lisser. Objectif : le forcer à faire pression sur la banque pour obtenir les fonds restants que la banque avait eu l'intelligence de bloquer en constatant l'hémorragie financière. Finalement, il y a une semaine il réussira à s'enfuir du foyer conjugale quartier des Fenouillères et sera pris en charge par des passants qui le conduiront à l’hôpital. 14 jours d'ITT lui seront prescrits et on découvrira des brûlures sur d'autres parties du corps et des traces de coups que les voisins de la copropriété du Clos de l’Arc confirmeront aussi avoir constaté lorsqu'il pouvait encore sortir.
Un voisin dira : « C’est quelqu’un de gentil que je voyais souvent, mais je n’avais jamais rencontré sa femme ». « Ici, c’est un quartier calme et les gens sont très discrets. Cette affaire a choqué tout le monde. » « Les deux personnes qui ont été arrêtées et incarcérées sont des gens peu recommandables, qui connaissent d’autres personnes peu recommandables, affirmera un autre voisin. On préférerait éviter la publicité, c’est à la justice de jouer maintenant ».
Effectivement l’épouse a été interpellée et mise en examen pour « séquestration » et « actes de tortures et de barbarie ». L’ami de 49 ans qui les avait mené à se rencontrer est poursuivi pour « abstention d’empêchement de crime » et « non dénonciation de crime ». Tous deux ont été placés en détention provisoire.
Évidemment pas une association néo-féministe pour lever le petit doigt face à cette abomination : à leurs yeux il n'est probablement pas porteur du sexe de toutes les vertus, à moins que celles-ci considèrent qu'en tant qu'homme il n'a fait que subir le sort que tout homme mérite.
Encouru par l'épouse : 15 ans de réclusion criminelle.
Une source : Nice Matin
18 juillet
2018, Nantes : Elle avait ébouillanté son bébé de 16 mois.
Brûlé grièvement sur plus de 20 % de la surface du corps, le bébé qui était surnommé « Kirikou » à la crèche sera hospitalisé en urgence au CHU et réussira à survivre après avoir été placé sous assistance respiratoire et avoir reçu plusieurs greffes au niveau des membres inférieurs. Il lui sera notifée une ITT de 900 jours, soit plus de 73 mois. Sa mère de 24 ans l'avait immergé dans une baignoire d'eau brûlante dans sa résidence du quartier Bottière, à Nantes.
A la barre différentes versions seront évoquées, l'une d'elle voyant la mère tenter de rejeter la faute sur un jeune homme présent dans le foyer à cet instant. Toutefois il sera démontré que ce fut elle qui avait commis l'acte.
Aujourd’hui, soit plus d'un an après les faits, le petit garçon porte encore les stigmates du drame. « Il marche, certes, mais avec des bas de contention », fera savoir Maître Emmanuel Geoffroy, avocat de la partie civile. « Toute sa vie est impactée ».
Verdict : 5 ans de prison dont 2 avec sursi, déchéance de l'autorité parentale de la mère.
Une source : Presse Océan
16 juillet
2018, Canne : Elle donne des coups de pieds à deux chiots de 1 mois enfermés dans un sac.
Nouvelle preuve que la cruauté humaine ne porte pas de sexe prédéfini. Cette femme tabassait ces deux petits chiots à la gare de Canne la Bocca, avec à ses côtés un chien golden retriever âgé de 7 ans très mal en point, deshydraté, le vétérinaire établissant pas la suite qu'il était abreuvé à l'eau de mer. Il décèdera dans la nuit. Soignés, les deux chiots sont désormais en bonne santé et serjournent au refuge de Mougins.
Encouru : 2 ans de prison et 30 000 Euros d'amende.
Une source : Nice Matin
13 juillet
2018, Reims : Elle abandonne ses enfants de 6 et 8 ans et part à Miami.
A la barre elle dira « Je pensais que la famille de mon ex-mari, ses frères, s'occuperaient de mes enfants. » Sauf qu'il sera démontré qu'elle n'avait prévenu personne de son départ. L'expert évoquera un burn-out, la mère confiera aux juges « ne pas être faite pour être mère au foyer. »
Verdict : 2 mois de prisons avec sursi avec mise à l'épreuve et obligations de soin
Une source : France Info
10 juillet
2018, Dunkerque : Elle infligeait des fellations à son fils de 13 ans « pour le calmer ».
Un garçon qui de plus eut droit à assister couramment aux ébats sexuels de ses parents. A la barre la mère reconnaîtra les faits ainsi que d'avoir régulièrement pratiqué des attouchements sur son fils, lui avoir caressé le sexe.
Verdict : 2 ans de prisons, 2 ans de suivi socio-judiciaire, retrait de l'autorité parentale, 7500 Euros de préjudice moral à verser à son fils.
Une source : Delta FM
3 juillet
2018, Marly-la-Ville : Elle pratiquait la manipulation mentale à 12 000 Euros la séance mystique.
Ses autres tarifs : 100 000 euros pour une rupture sentimentale, 200 000 euros pour des problèmes sentimentaux et immobiliers, 81 000 euros pour des problèmes de travail ou encore 100 000 euros pour des problèmes de couple. L'emprise psychologogique dont cette femme savait faire preuve en se faisant passer pour une prêtresse vaudou avait affecté pas moins de 200 victimes, certaines avaient eu droit aux sacrifices de poulets et aspersion de sang sur leur visage depuis 20 ans, et avaient dû s'endetter ou vendre leur maison pour payer la gourou. Seulement 14 auront eu le courage de porter plainte, 28 avaient témoigné d'une emprise totale de leur gourou surnommée « maman ».
Verdict en appel : 4 ans de prison dont 2 ans avec sursis et mise à l’épreuve pendant 3 ans.
Une source : Le Parisien
3 juillet
2018, Rennes : Elle avait ébouillanté le chat et frappait sa fille.
Nouvelle démonstration qu'en matière de stupidité et de cruauté, l'égalité femmes-hommes est parfaitement bien acquise. Cette mère de 34 ans, qui sera probablement qualifiée d' « exemplaire » par le néo-féminisme, était jugée aujourd'hui pour, en état d'ivresse, avoir frappé sa fille de 14 ans et avoir délibéréménent jeté leur chat dans une casserole d'eau bouillante.
Verdict : 6 mois de prison avec sursis, peine assortie d’une obligation de soins et d’une interdiction de posséder un animal domestique pendant 5 ans.
Une source : 20 Minutes
21 juin
2018, Saint-Brieuc : Une mère "parfaite" abandonnait ses enfants...
...Pour rejoindre son petit ami à Brest. L'avocate de l'association Sauvegarde de l'Enfance fera valoir que « Les enfants n’ont pas à manger. Ils manquent constamment l’école. Ils ont été vus à une fête foraine sans être accompagnés par des adultes. La situation est dramatique ».
Verdict : 5 mois de prison ferme.
Une source : Ouest France
20 juin
2018, Susville : elle avait tué son mari à coup de marteau.
Trois heures au préalable les gendarmes s'étaient rendu chez ce couple dont la femme prétendait avoir été frappée par son mari puis menacée d'un couteau. Le mari avait nié ces accusations et avait accepté de quitter le foyer conjugal. Trois heures plus tard la gendarmerie sera contactée par la même femme qui avouera avoir frappé son mari avec un marteau, évidemment en argumentant qu'il s'agissait pour elle de se défendre. Les associations ultra-féministes ne manqueront pas de broder sur ce point, sauf qu'aucune expertise médicale n'est venue corroborer cette allégation. L'homme sera retrouvé décédé dans le garage, baignant dans une mare de sang.
Verdict : 8 ans de prison.
Une source : Ouest France
19 juin
2018, Barsac : une mère jugée pour avoir abattu sa fille de 9 ans à coup de carabine.
Evidemment elle plaidera l'accident, sauf que...
...Sur un coup de tête, ce matin là cette mère décide d'abattre son père qui aurait abusé d'elle petite. Elle aurait donc décidé d'emmener sa fille Manon avec elle dans la voiture, ainsi qu'une carabine. Après être tombée en panne, elle sort de la voiture et se met à tirer sur les voitures pour tenter de stopper. Elle blessera un automobiliste. Elle se serait ensuite retournée vers sa fille avant que le coup ne parte. La petite Manon sera retrouvée inanimée au bord de la RD 113, la mère s'étant enfuie dans les vignes.
La thèse de l'accident ne tiendrait pas selon les expertises scientifiques.
Encouru : 5 ans de prison et 75 000 € d'amende si le tribunal retient comme circonstance aggravante la violation manifestement délibérée de l'obligation particulière de prudence et de sécurité imposée par la loi sur le maniement des armes à feu.
Une source : France Bleu
12 juin
2018, Cherbourg : alcoolisée, elle violentait ses enfants.
Ce seront ses propres garçons qui donneront l'alerte après avoir subit, eux et leurs soeurs, 3 années de sévices. Entre coups de poings de la part de leur mère, jets au visage de couteaux, fourchettes et divers autres ustensiles de cuisine, des claques, les cheveux tirés des filles et une tendance à les projetter à terre et contre les murs.
Aujourd'hui tous les enfants souffrent de stress post-traumatique.
L'avocate des enfants dira à la barre : « Il fallait que leur mère puisse entendre la souffrance de ses enfants pour qu’elle décide de se soigner. Ils ont tous envie de la retrouver, malgré leurs blessures psychologiques énormes. »
Verdict : 1 an de prison avec sursis, mise à l’épreuve pendant 2 ans.
Une source : Actu.fr
8 juin
2018, Saint-Genis-d’Hiersac : elle avait utilisé le déambulateur de son mari pour le tuer et faire croire à un accident.
Aujourd'hui la cours d'assise de Charente a condamnée une dame de 66 ans qui avait tué son mari en lui faisant subir divers sévices : étranglement avec un lacet, coups de poings, de balais et de déambulateur.
Le procureur précisera à l'audience qu'il s'agit d'« un meurtre presque parfait » étant donné que la prévenue voulait « faire passer les choses pour un accident. Tout était en place pour que la mort passe pour quasi naturelle, voire accidentelle » étant donné que son mari chutait très fréquemment à chacun de ses déplacements, « ce mari quasi grabataire qui ne tient plus debout » suite à un AVC.
Verdict : 20 ans de réclusion criminelle.
Une source : Le Parisien
2 juin
2018, Cahors : elle est jugée pour avoir abusé sexuellement d'un garçon adolescent.
La version de la femme quadragénaire jugée dans cette affaire : « Il m'a demandé un verre de whisky. Nous sommes sortis, il m'a dit que j'étais belle, qu'il aimait les femmes mûres. Je lui ai dit que je pouvais être sa mère (...) À deux heures du matin, il a tapé à ma porte. Il avait mal à la tête. J'étais dans les vapes : je prends des cachets, pour la dépression, les insomnies. Il m'a embrassé. Il y a eu une relation sexuelle, poursuit-elle, à l'époque, je faisais 40 kg de plus. Je ne me sentais pas bien. Je me suis sentie désirée. Il me parlait comme un homme, j'ai oublié mon âge. »
La version du garçon victime : « Nous avons pris l'apéro. Elle m'a dit de boire et encore boire, m'a servi plusieurs cocas whisky. Vers 10 h 30, elle m'a attrapé par le bras dans le couloir. Elle m'a embrassé et attiré dans sa chambre. Elle a fermé la porte à clef. Elle m'a déshabillé. Il y a eu une relation sexuelle. J'étais en état de sidération. Si je suis retourné les jours suivant, c'est parce qu'elle avait une emprise sur moi ».
Encouru : Une des réponses que le tribunal devra apporter porte le jour de commission de l'acte : celui de son 15ème aniversaire ou la veille ? Dans le premier cas la prévenue risque 5 ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende, dans le second cas elle encourt 3 ans d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende.
Une source : La Dépêche
31 mai
2018, Morbihan : elle avait tué son mari, puis conservé 3 ans son cadavre dans la salle de bain.
Le corps avait été retrouvé momifié enroulé dans un rideau de douche. Emilie Tobie avait tué son compagnon Yann Bachelot d'un coup de fusil de chasse après une violente dispute. Elle aura évidemment invoqué la légitime défense face à un mari présenté pour la circonstance comme violent, mais le tribunal ne sera pas dupe.
Verdict : 12 ans de prison.
Une source : Le Télégramme
4 mai
2018, Saint-Denis : Condamnée à 6 ans ferme pour avoir rendue sa fille polyhandicapée.
Plusieurs fractures au niveau des côtes, une hémorragie rétinienne et des lésions cérébrales, de nombreuses expertises médicales confirmeront que la petite fille alors âgée de 2 mois a bien été victime d'actes de violence qui se sont soldés par une infirmité permanante. Le déni de grossesse de la mère de 28 ans n'aura d'ailleurs pas plaidé en sa faveur, d'après les parties civiles. Moyen de défense de la mère : ce serait les médecins qui auraient été responsables des violences sur sa fille. Le tribunal ne sera pas dupe. La mère probablement modèle aux yeux du néo-féminisme dispose de 10 jours pour faire appel.
Verdict : 6 ans de prison, suivi socio-judiciaire obligatoire pendant 5 ans avec risque d'une peine complémentaire de 3 ans en cas de non respect de ses obligations.
Une source : L'Info.re
1er mai
2018, Bordeaux : Une serial-creveuse de pneus condamnée.
Durant plusieurs semaines en octobre 2017 puis quelques jours en décembre et janvier derniers, cette girondine de 50 ans, ancienne ingénieure en sûreté nucléaire, avait crevé les pneus d'une trentaine de véhicules de son quartier à Pessac. Elle était en proie à un fort alcoolisme et avait arrêté son traitement depuis 5 mois.
Verdict : 4 mois de prison avec sursis, 1844€ de dommages et intérêts aux victimes, avec obligation de soins.
Une source : Actu.fr
29 avril
2018, Dax : Elle tente d'égorger un ami à deux reprises.
Aujourd'hui au matin, après l'avoir menacé de mort, ce sont deux coups de couteau que cette femme de 29 ans a assené à la gorge d'un de ses amis âgé de 42 ans qui l'hébergeait. Transporté à l'hôpital de Dax, ses jours ne sont plus en danger. Il doit sa survie à l'intervention de la police prévenue par un témoin.
Encouru : 30 ans de réclusion criminelle.
Une source : France Bleu
28 avril
2018, Roubaix : Suspectée d'être à l'origine de la mort d'un agent municipal.
Maladresse, alcool ou autre ? Hier soir vers 20h une voiture aurait percuté plusieurs autres véhicules en stationnement et fauché un groupe de piétons avant de s'enfuir. Parmis les nombreuses victimes, Ali Bouras, un employé administratif de la mairie de Roubaix. Il décèdera vers 6h du matin au CHR de Lille. Une femme d'une quarantaine d'année a été placée en garde à vue.
Encouru : 3 ans de prison et 45 000 Euros d'amende.
Une source : La Voix du Nord
27 avril
2018, Evreux : Elle frappait sa fille de 11 ans avec une ceinture, une barre en métal et le cordon du téléphone.
Les coups que cette mère de famille de 39 ans a infligé à sa fille se sont soldés par 12 jours d’ITT. Interpellée mercredi 25 avril 2018 à son domicile de La Madeleine, elle a passé 48 heures en garde à vue avant d’être déférée. Jugée aujourd'hui en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel d’Évreux, la mère de famille a reconnu les faits.
Verdict : 3 mois de prison avec sursis, 2 ans de mise à l'épreuve, obligation de soins psychologique et stages de sensibilisation parentale.
Une source : Info Normandie
24 avril
2018, Villefranche-sur-Saône : Une directrice d'école et une éducatrice jugées pour violences sur enfants.
Les témoignages font mentions de cous étranglés, de cols tirés, de fessées, choses que les deux prévenues travaillant au sein d'une école privée hors contrat réfutent totalement. Par contre elle justifient d'autres éléments du dossiers qui leur son reprochés : une fillette contrainte à sept reprises de faire la sieste dans les WC sans fenêtre, porte fermée. « Une mesure d'adaptation » selon l'enseignante, qui parlera de « repas décalés » lorsque seront évoquées des privations.
Le Procureur dira des enseignantes qu'elles « ont été débordées, et, dans des situations d'énervement, ont pu se livrer à des brutalités sur des enfants très jeunes ». L'avocate de l'association Enfance et Partage, Me Karine Collomb, parlera de « gourou ». Verdict attendu le 22 juin.
Requis : 8 mois de prison avec sursis et interdiction d’exercer pendant 5 ans contre la directrice, 4 mois avec sursis et interdiction d’exercer pendant 3 ans contre l’éducatrice.
Une source : Actu Orange.fr
23 avril
2018, Rueil-Malmaison : Elle avait injurié et menacé de mort un couple homosexuel.
Les clichés populaires décrivent la personne homophobe comme étant forcément un homme aux origines forcément très « gauloises » ... Ce lundi c'est une femme aux origines d'Afrique du Nord qui est jugée pour avoir tenu des propos homophobes dans une grande surface de Rueil-Malmaison. Les propos tenus furent : « Vous les pédés vous n'avez pas le droit de vivre », « En Algérie les mecs comme vous on les égorge », « Oui je suis homophobe et j'assume ». A la barre, elle justifiera ses propos du fait qu'elle est enceinte... Les juges ne seront pas dupe.
S'il en fallait encore une, voici une nouvelle démonstration que l'égalité hommes-femmes est une chose parfaitement acquise dans nombre de domaines relevant de la bêtise humaine.
Verdict : 4 mois avec sursis, 1350 euros de dommage et intérêts pour préjudice moral à chacune des victimes, 1.500 euros à chacune des deux associations de lutte contre l'homophobie partie civile.
Une source : France Info
23 avril
2018, Calais : Suspectée d'avoir tué son conjoint, elle aurait ensuite tenté de se suicider.
Réel désir de mourir, ou subtile tentative de pression psychologique auprès des enquêteurs ? Le Procureur de Boulogne-sur-Mer explique que « Après une dispute de couple, elle se serait emparée d'un couteau et aurait tué son conjoint ». Les gendarmes n'auront pas eu le temps de l'interroger, son geste pour tenter de s'extraire de la Justice ayant eu lieu peu de temps après sa mise en garde à vue hier soir. Elle a été placée en hôpital psychiatrique.
Encouru (si reconnue responsable de ses actes) : 30 ans de réclusion criminelle.
Une source : Le Parisien
13 avril
2018, Gault-du-Perche : Une mère parfaite étrangle ses deux filles le jour de Pâque.
Elle a reconnu hier avoir étranglé dans leur lit ses deux filles Maeva âgée de 9 ans et Vaena agée de 4 ans, le jour de Pâque, avant de mettre le feu aux lits et au canapé au moyen d'alcool fort et d'allumettes. Suite à l'autopsie des deux corps, le procureur Frédéric Chevallier indiquera que les deux petites filles « étaient décédées avant l’incendie ». Elles n'auraient pas été droguées.
Âgée de 36 ans la mère était connue pour avoir des antécédents psychiatriques, elle a été présentée devant un juge d’instruction dans la soirée puis a été mise en examen pour homicides volontaires aggravés.
Encouru : 20 ans de réclusion criminelle.
Une source : La Nouvelle République
9 avril
2018, Montpellier : Elle traîne sur 500m une septuagénaire et déclare être fière d'aller en prison.
Aidée d'une complice, cette Sainte vierge immaculée aux yeux de l'ultra-féminisme avait forcée une septuagénaire à stopper son véhicule en argumentant un pneu crevé, puis lui avait dérobé son sac à main avant de s'enfuir en voiture. La victime restant agrippée à son sac elle fut traînée sur 500 mètres avant de chuter. Elle sera prise en charge à la clinique Saint-Roch pour des dermabrasions, brûlures, bleus et même morsures de la part de ses agresseuses. Un légiste évaluera les blessures à hauteur de 3 jours d'ITT.
A la barre, la prévenue justifiera ses actes en ces termes : « J'accepte tout, jugez moi, j'avais tapé de la cocaine depuis quatre jours, j'avais plus de neurones, j'ai voulu me prendre pour Scarface et voilà, ma copine m'a dit de le faire, elle fait pas la pute elle, elle est pickpocket et je suis influençable. C'est pas bien ce qu'on a fait à cette vieille, mais y avait pas 500€ mais 60€ dans le sac. C'est très bien que je sois en prison, si je peux rester trois ans pour faire une formation franchement ça m'arrange ».
Verdict : 3 ans de prison ferme.
Une source : Midi Libre
7 avril
2018, Paris : elles dépouillent leur ami parce qu'il les aurait harcelé.
Imaginez : vous vous retrouvez un petit matin ligoté, scotché, drogué sur la chaise de votre chambre, dépouillé de votre argent et de vos montres de valeur. Les souvenirs reviennent : il s'avère que vous avez fini la nuit avec deux demoiselles qui ont disparu. Après enquête vous arrivez à les identitifer, vous portez plainte. En garde à vue l'une d'elle avouera avoir voulu se venger de vous parce que vous auriez agressé son amie. Sachant que vous portez plainte contre elle, cette dernière portera ensuite plainte contre vous.
Inversons les rôles et mettons nous du point de vue d'une des deux demoiselles placées en garde à vue : vous finissez une soirée avec deux ami(e)s, et une fois dans la chambre vous observez l'un(e) de vos deux ami(e)s être harcelé(e) par l'autre. Que feriez-vous ? Appeler à l'aide, aller porter plainte fuir... Non : vous avez comme réflexe d'attendre que le harceleur soit drogué puis vous décidez de le dépouiller de 6 000 Euros en liquide et de deux montres valant 20 000 Euros au total.
Le néo-féminisme qualifiera probablement ceci de réflexe vénal post-traumatique...
Encouru : 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.
Une source : Gala
6 avril
2018, Mérignac : une mère parfaite souponnée du triple infanticide de ses enfants.
Infirmière au CHU de Pellegrin où elle travaillait, elle se serait procuré un puissant anesthésiant destiné au bloc opératoire, puis l'aurait administré à ses propres enfants avant de tenter de mettre fin à ses jours. Elle aurait fait connaître son malêtre et son désir d'en finir dans une lettre retrouvée par la police.
Les corps sans vie de ses deux garçons de 5 et 9 ans et de sa fillette de 8 ans retrouvés par leur père, sapeur-pompier professionnel, ont été autopsié. Le lendemain, plusieurs élèves de l'école Arnaud Lafond de Mérignac ont rendu mémoire à leurs petits camarades en accrochant trois roses blanches au portail de la maison où habitaient le couple et leurs trois enfants.
Encouru : 20 ans de réclusion criminelle.
Une source : France Bleu
4 avril
2018, Sathonay-Camp : Expédition punitive contre leur amant.
Quatre femmes parfaites, maîtresses du même amant, ont décidé de se venger des multiples conquêtes du Roméo de 27 ans en le faisant tomber dans un véritable traquenard. Ainsi, après s'être retrouvées à son domicile elles l'ont copieusement agressé verbalement puis lui ont brisé un vase sur la tête avant de le menacer de mort avec un ciseau. Secouru par les gendarmes et hospitalisé il s'est vu délivrer une Interruption Temporaire de Travail de 4 jours.
Les quatre saintes ont été placées en garde à vue et comparaîtront devant le tribunal le 17 septembre prochain pour « violences et vols en réunion ». Outre leur désir de se venger de leur amant collectif elles avaient entrepris de récupérer tous les cadeaux qu'elles lui avaient offerts.
Encouru : 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.
Une source : Le Progrès
3 avril
2018, Saint-Malo : Maman aide son fils à dealer de la drogue.
Une mère certainement parfaite aux yeux des ultra-féministes a été condamnée par le tribunal de Saint-Malo pour avoir prêté sa voiture à son fils pour qu'il puisse se rendre à Rennes pour se fournir en Cannabis et revenir le revendre. « C’est assez peu banal » lui lancera le président du tribunal auquel elle répondra « Oui, je n’ai pas réfléchi, j’ai voulu rendre service ». « C’est une bien curieuse façon d’éduquer ses enfants » concluera le Procureur de la République.
Verdict : 105 heures de travaux d'intérêts généraux, assorties de la confiscation définitive de la voiture.
Une source : Actu.fr
30 mars
2018, Caen : Condamnée à rembourser 22 333 € à la CAF.
Elle s'était présentée comme séparée de son mari depuis octobre 2009 ce qui lui avait permis de toucher de manière frauduleuse 17 000 euros d’allocation adulte handicapé (AAH), 4 658 euros d’allocation logement social et 674 euros d’allocation logement familial.
Un enquêteur de la CAF avait réussi à établir que la séparation du couple était fictive au moment des faits, les juges retenant qu'elle n'avait eu lieu que 2 ans après que la CAF ait demandé le remboursement des sommes indûment perçues. Moyen de défense apportée par la femme : des attestations émanant de proches. Les juges ne seront pas dupes et noteront que « Outre qu’elles ont été établies pour les besoins de la cause, ces attestations ne permettent de retenir au mieux qu’une absence de cohabitation impropre à caractériser une cessation de communauté d’intérêts entre les époux ». Enfin, la consultation du fichier national des comptes bancaires (Ficoba) avait fait ressortir que les époux avaient conservé l’usage d’un compte joint, la nouvelle adresse des titulaires étant identique tant sur ce compte que sur certains de leurs comptes personnels.
Verdict : Remboursement de 22 333 Euros à la CAF.
Une source : Actu.fr
27 mars
2018, Nantes : une femme jugée pour avoir appelé 4149 fois la gendarmerie sans raison.
Les faits s'étaient déroulés l'année dernière sur une période de 4 mois, les destinataires des appels nocturnes quasi-quotidiens étant les gendarmes de Bouguenais (Loire-Atlantique). Entendue aujourd'hui par le tribunal correctionnel, elle déclarera : « Je souffre de la solitude, mais c’est vrai que ce ne sont pas eux qui vont m’aider à régler mes problèmes ». L'expertise psychologique décrit une « personnalité hystérique accentuée par l’addiction à l’alcool ».
Encouru : 2 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.
Une source : Ouest France
26 mars
2018, Bordeaux : Elle noie sa fille dans la baignoire ?
Cette mère aurait-elle remis au goût du jour ce vieux supplice ? Elle appèlera elle-même les secours et s'accusera d'être à l'origine du décès, une tortionnaire que les milieux néo-féministes ne manqueront probablement pas de qualifier de sainte étant donné qu'il s'agit d'une femme, et qu'à leurs yeux les femmes ont toujours une raison valable de torturer et de tuer.
Les pompiers arriveront trop tard, l'enfant de 7 ans retrouvée inanimée décèdera à son arrivée à l'hôpital Pellegrin. La mère a été placée en garde à vue.
Encouru : 20 ans de réclusion criminelle.
Une source : France Bleu
23 mars
2018, Montpellier : « Tu ne dis à personne ce que je t'ai fait ! Même pas à ta maîtresse. »
Ce sont les paroles hallucinantes entendues par un étudiant montpelliérain dans le tram de la ligne 4, prononcée par une mère tirant violemment la capuche de son enfant. L'étudiant remarquera des traces de coups et des hématomes sur le visage du jeune garçon de 6 ans, notemment à l'arcade sourcilière. Se voyant surveillée la mère tentera de justifier ses gestes auprès de l'étudiant, qui descendra finalement du tram pour se rendre au commissariat et faire part de ses constatations.
L'enquête de police établiera que l'enfant était effectivement victime de maltraitances de la part de sa mère, certainement une Sainte aux yeux du néo-féminisme à la française. Agée de 39 ans elle a été internée dans un hôpital psychiatrique, son enfant a été placé en foyer d'accueil.
Encouru : si elle est reconnue responsable de ses actes alors cette mère encours 5 ans de prison et 75 000 €.
21 mars
2018, Saint-Lô : sa fille de 14 mois hospitalisée pour 3 fractures au crâne, 2 au tibia, et un hématome sous-durale...
45 jours d'ITT pour cette enfant dont la mère de 27 ans avouera d'abord s'être défoulée dessus en la projetant contre un lit, avant de se rétracter et d'accuser son conjoint de violence. Des néo-féministes extrémistes trouveront donc certainement en cette femme une sainte innocente martyre représentante de leur cause misandre, sauf que l'homme fut depuis mis hors de cause. La partie civile tentera d'initier un sursaut de conscience de la part de cette mère violente : « votre petite fille victime a pourtant droit à la vérité. Nier n’aidera pas à la reconstruction des uns et des autres », en vain.
Verdict : 2 ans de prison dont 1 ferme, mise à l'épreuve de 2 ans avec soins psychologiques, 13 166 Euros de préjudice à l'enfant victime.
20 mars
2018, Toulouse : elle coule le cadavre de son mari dans le béton et plaide l'accident...
... Et évidemment elle soutient que son mari la battait et qu'elle vivait un véritable calvaire etc. Son procès a débuté hier. Les faits : cette nuit du 6 août 2014 elle tire un coup de fusil dans la tête de son mari, tir qu'elle qualifiera d'accidentel. Elle avouera avoir ensuite enterré le corps de son mari dans le jardin, puis trois semaines plus tard avoir déterré le cadavre pour le porter dans le grenier pour l'y couler dans du béton. Elle dormira chaque nuit des mois suivants avec le corps de son mari au dessus de sa tête et l'odeur de son cadavre flottant dans une atmosphère qu'une policière décrira comme « pestilentielle ».
Pendant un mois elle invoquera plusieurs explications fantaisistes pour expliquer la disparition de son mari à la police ou à la famille : du « break conjugal » à la filière de drogue espagnol... Et ce sera sans compter les 700 SMS qu'elle échangera avec l'animateur du centre aéré de ses enfants un mois avant le crime. Des éléments qui mènent la partie civile à la qualifier d'« intelligence tactique » et qui entâche la version de la pauvre femme victime frêle et soumise. D'autant plus que plusieurs questions restent en suspens : par exemple comment expliquer que le coup de fusil fatal n'a pas réveillé les trois enfants qui dormaient dans la maison ?
Encouru : réclusion criminelle à perpétuité
18 mars
2018, Roubaix : 6 enfants abandonnés par leur mère trafiquante de drogue.
Cette mère, probablement exemplaire aux yeux des néo-féministes, fut arrêtée à l'aéroport de Cayenne avec 3 kilos de cocaïne dans ses bagages. La police ira perquisitionner son domicile à Roubaix et, surprise en entrant dans l'appartement, 6 enfants de 3 à 11 ans furent découverts abandonnés à eux-mêmes depuis plusieurs semaines.
Les enfants ont tous été placés en famille d'accueil et la mère en garde à vue.
Encouru :
- pour abandon d'enfant : 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.
- pour transport de drogue : 10 ans de prison et 7 500 000 Euros d'amende.
16 mars
2018, Sedan : une « serial-auteure » de plusieurs fausses alertes à la bombe ?
Voici probablement une nouvelle démonstration que l'égalité femmes-hommes est de longue date acquise en matière de stupidité. Ainsi, déjà soupçonnée d'être à l'origine d"une fausse alerte à la bombe à la mi-journée au centre commercial Leclerc de Sedan, cette gentille femme parfaite semble avoir remis le couvert dans l'après-midi même contre le centre commercial Carrefour de Charleville-Mézière.
Les alertes ont été levées dans la soirée, la douce vierge immaculée ayant finalement été arrêtée et placée en garde à vue au commissariat de Sedan.
Encouru : 2 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.
14 mars
2018, Bobigny : cette ADS avait volé deux armes et comptait quitter la police.
Pour les néo-féministes extrémistes les armes seraient à percevoir comme des extensions du pénis masculin, seulement cette fois-ci les armes de service étaient convoitées par une femme. Et pas n'importe laquelle : une adjointe de sécurité qui avait mis au point toute une opération pour s'en emparer. Ainsi, après avoir quitté sa guérite de service, elle s'était rendue dans l'armurerie de la Direction Départementale de Bobigny avec le code d'accès aux armes, elle avait ouvert le coffre et avait dérobé deux pistolets Sig Sauer SP2022 avec leurs chargeurs. Elle les avait ensuite remis à son petit frère complice en le faisant pénétrer dans le bâtiment sous prétexte qu'elle avait oublié d'emporter sa gamelle au travail.
Elle avait prévu se faire licencier pour faute grave et pour ce vol avait touché 300 Euros de la part de ses complices. L'enquête de l'IGPN a permis de démontrer que son petit frère avait ensuite revendu les deux armes pour 800 Euros à un caporal-chef du 152ème régiment d’infanterie de Colmar qui en avait revendu une à un trafiquant de stupéfiants.
L'adjointe de sécurité a été placée en détention provisoire en attente de son procès.
Encouru : 10 ans de prison.
10 mars
2018, Roanne : elle avait frappé la directrice de l'école de sa fille.
Son enfant était rentrée avec une bosse sur la tête, la mère en avait conclu à tort que c'était forcément l'enseignante directrice d"établissement qui la lui avait ascenée. Sentance prononcée à l'école par la mère devant les yeux médusés d'autres enfants et de leurs parents : cascade de gifles sur l'enseignante et crépage de sa queue de cheval. Verdict médical : 3 jours d'Interruption Totale de Travail pour la maîtresse.
Fait intéressant : à l'audience la prévenue tentera de faire croire que c'était elle qui avait été la victime de coups de la part de l'enseignante, propos démentis par les témoins. Probablement s'agit-il là d'un réflexe féminin de victimisation désormais acquis dans notre société, où dans toute situation de conflit avec violence une femme se devrait d'être forcément perçue comme une victime.
Verdict : 18 mois de prison dont 1 an ferme.
09 mars
2018, Cognac : une « Sainte » menace de mort un garçon de 12 ans.
Pour certaines féministes, comme il s'agit d'une femme alors forcément elle a de bonnes raisons d'agir ainsi, et puis de toutes façons ce ne peut pas être de sa faute car à leurs yeux une femme ne peut que commettre le bien sur Terre. Soit, prenons acte de cette perception des choses, en l'occurence le bien terrestre se caractérise surtout par un florilège d'insultes et de menaces de mort sur des voisins proférés par cette sainte vierge immaculée. Cela a duré plusieurs mois jusqu'au jour où ce fut un enfant de 12 ans qui y eut droit. Interpellée elle s'en est alors prise aux policiers et à leur tablette numérique qu'elle a détruit à coup de pieds. Rappelons que pour des ultra-féministes le gêne de la violence est uniquement porté par le chromosome Y, que seuls les hommes ont, des hommes donc forcément tous méchants de par leur nature.
Bien sûr, pas un mot de compassion pour l'enfant traumatisé de la part de nos chers politiciens français : pour y avoir droit il n'avait probablement qu'à naître avec un « saint » utérus.
Encouru : 6 mois d'emprisonnement et 7500 Euros d'amende.
09 mars
2018, Saint Victurnien : un (forcément) gros méchant monsieur tué à l'arme blanche, sa conjoint en garde à vue.
Considérés lui et sa conjointe comme gentils et normaux par plusieurs personnes qui les cotoyaient, il y aura bien une voisine pour déclarer qu'il « n’était pas tellement agréable, il fallait voir comment il “faisait” avec son chien lorsqu’il le sortait… ». Très probablement à ses yeux de quoi justifier sa mort.
La conjointe placée en garde à vue pourra éventuellement utiliser ce témoignage si elle est poursuivie : la fable manichéenne de la femme battue et du vilain conjoint marche plutôt pas mal ces temps-ci auprès des médias et des politiciens. Comme le grand public n'a pas accès au dossier d'enquête certains organes de Pouvoir pouraient être tentés de la lui faire gober ; rappelons que cela a parfaitement fonctionné dans l'Affaire Jacqueline Sauvage : une victime décédée ne peut pas témoigner...
Encouru : 30 ans de réclusion criminelle.
07 mars
2018, Versailles : Elle avait mordu le principal du collège de son fils.
Convoquée au sujet du comportement inapproprié de son fils au collège, cette mère de 45 ans croisera le principal dans l'établissement et devant les yeux des élèves se mettra à le frapper, le saisir par la cravate puis le mordre au niveau du coude. Elle est poursuivie pour « violences et outrage sur personne chargée de service public. »
Encouru : 3 ans de prison.
Evidemment pas un mot de soutient public de la part de l'État pour ce principal de collège : probablement ne porte-t-il pas le « bon » sexe de la victime, et son agresseuse ne porte-t-elle pas le « bon » sexe de l'agresseur pour être politiquement rentables.
05 mars
2018, Arras : elle aurait frappé, mordu, brûlé sa petite fille à la cigarette et au fer à lisser.
Une jeune belle-mère de 22 ans est soupçonnée d'avoir commis ces actes de maltraitance jeudi 1er mars 2018 sur la petite fille de 2 ans pendant que son papa était à son travail. Un examen médical a été commandé pour préciser l'étendu des blessures et donc la peine encourue. Les jours de la petite fille ne sont plus en danger.
Encouru : dépend des résultats de l'expertise médicale. Entre 5 ans de prison dans les cas les moins graves, 10 ans de prison en cas de blessures graves, 20 ans en cas d'infirmité permanente.
04 mars
2018, Nancy : une femme est condamnée pour la 3ème fois pour harcèlement.
Les extrémistes féministes iront certainement la qualifier de sainte et exiger qu'on lui décerne la Légion d'Honneur : elle est une femme donc à leurs yeux elle a forcément raison d'agir ainsi. Depuis 2010 et suite à leur séparation, cette sainte harcèle et menace son ex-mari, faisant fi des deux condamnations déjà prononcées contre elle en 2013 et 2016 pour les mêmes faits. Jets de cailloux dans les fenêtres, poursuites, rubans noirs posés sur les portes...
Evidemment pas le moindre mot de soutien ou de compassion de la part du gouvernement pour l'ex-mari.
Victime sans vagin, État sans chagrin.
Verdict : 9 mois de prison ferme assortis d'une interdiction d'approcher son mari, et l'obligation de soins psychiatriques.
27 février
2018, Dax : elle harcelait son ex-conjoint.
Après 18 années de vie commune, ce furent jusqu'à 20 appels téléphoniques par jour que cette sainte de 50 ans passa pour le menacer de mort, voire de « monter un commando » contre lui parce qu'il ne lui aurait pas rendue ses affaires. Pas de chance, il fut effectivement agressé à son domicile par deux hommes cagoulés qu'il réussit à mettre en fuite. La justice ne parviendra pas à relier les deux affaires.
Verdict : 2 mois de prison avec sursis avec versement de 400 euros à la victime, au titre du préjudice moral
23 février
2018, Villebois : elle incendiait des véhicules.
Cette jeune femme a reconnu avoir incendié deux véhicules garés devant la mairie de Villebois, ce 17 février vers 3 heures du matin. Les véhicules ont été complètement calcinés, un troisième a été légèrement dégradé. Les gendarmes ont déclaré que « les investigations sur place, les opérations de police technique et scientifique, l'enquête approfondie de voisinage et les vérifications qui ont suivi, ont conduit les enquêteurs vers une jeune femme qui a été placée en garde à vue mardi 20 février et a reconnu les faits. » La jeune femme sera jugée courant mars au tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse.
Encouru : 1 an de prison et 15 000 euros d'amende
20 février
2018, Coutance : elle empêche ses filles de voir leur père.
Elle avait employé divers stratagèmes pour empêcher l'exercice du droit de garde au père, qui pourtant lui avait fait part de son souhait de l'exercer suite à deux décisions de justice. Ainsi toujours dans le calcul, interrogée sur sa future volonté de respecter le droit de garde elle répondra « Ce sont mes filles qui vont décider ». Rompu à l'exercice et loin d'être dupe sur ce genre de stratégie de manipulation, le tribunal répondra : « Non, c'est une décision de justice à respecter. » Le ministère public ne pourra que constater une prévenue « bornée », faisant fi des décisions de justice.
Verdict : 2 mois de prison avec sursis assortis d'une mise à l'épreuve, avec obligation de respecter les droits de garde.
19 février
2018, Nanterre : elle avait réduit sa cousine à l'état d'esclave.
Une femme de 54 ans a été condamnée aujourd'hui pour avoir réduit en esclavage domestique sa cousine adolescente de 13 ans pendant cinq années dans un appartement de Châtenay-Malabry. L'avocate de la partie civile annoncera que l'adolescente « travaillait jusqu'à 18 heures par jour sans repos, n'a jamais été rémunérée et ses papiers d'identité lui ont été confisqués. Elle s'occupait de l'entretien du foyer qui pouvait compter jusqu'à neuf personnes et sortait uniquement pour aller chercher les enfants à l'école ou faire les courses. Elle dormait sur un matelas à même le sol et subissait régulièrement des violences physiques et psychiques ». Le procureur fera valoir que le travail forcé de la jeune victime est « incontestable » et que « au lieu de vivre comme une enfant, d'aller à l'école, d'avoir des amis, des loisirs, elle a fait le ménage ».
Parvenue à fuir du domicile, la jeune fille sera rapidement épaulée par le Comité contre l'esclavage moderne (CCEM) contre sa tortionnaire.
Verdict : 18 mois de prison et 60 000 euros de dommages et intérêts
16 février
2018, Vannes : sa fille aujourd'hui polyhandicapée, la mère annoncera à la barre « Je l’ai peut-être bercée trop fort »
Parlant de son bébé elle dira au juge : « il est arrivé sans doute trop tôt », ne supportant pas ses pleurs elle « portait un casque » et écoutait de la musique. A l'audience une employée de la crêche dira que l'enfant « présente un manque d’hygiène évident ». Une IRM sur le bébé concluera au syndrome de l’enfant secoué, âgé aujourd'hui de quinze mois la petite fille présente des troubles neurologiques, avec un retard de développement. En larmes sa mère se défendra : « Je l’ai peut-être bercée trop fort ». L'avocat de défense fera valoir que cette mère « a fait à sa fille ce qu’elle a subi toute sa vie », tourné en direction des parents de la jeune femme présents dans la salle.
Au yeux d'un certain féminisme voici donc probablement une pauvre mère victime de son vécu, certes. Mais ce même féminisme montrerait-il autant de compassion s'il avait été question d'un père reproduisant ces gestes sur son enfant dans les mêmes circonstances ? Nous en doutons fort.
Verdict : 30 mois de prison ferme, associé à une obligation de soins et au retrait total de l’autorité parentale de ses enfants. Elle est maintenue en détention et devra verser 20 000 € de provision à valoir sur les préjudices définitifs de sa fille.
14 février
2018, Nœux-lès-Auxi : un Valentin empoisonné à la méthadone ?
Une femme a été placée en garde à vue avec ses parents, soupçonnée d'avoir assassiné son conjoint de 29 ans le jour de la Saint Valentin en l'empoisonnant à la méthadone. Travaillant dans le bâtiment il aurait récemment perdu son permis de conduire et son emploi. Concernant la conjointe et ses parents, la gendarmerie déclara que « assez rapidement, on a remarqué des incohérences dans leurs déclarations ». On ne trouve cette information que sur quelques rares éditions régionales, mais évidemment pas un seul mot sur celles nationales. L'homme victime n'est probablement pas né avec le « bon » sexe pour en être digne.
Encouru : 30 ans de réclusion criminelle.
13 février
2018, Messac : accusée d’avoir étranglé son conjoint et d’avoir brûlé le cadavre.
Deux tribunaux l'avaient déjà condamnée à 15 ans de réclusion criminelle, mais une cour de cassation avait annulé la décision en appel. Elle est jugée aujourd'hui une troisième fois pour avoir étranglé son mari jusqu'à la mort avec une ceinture de kimono. Moyen de défense devenu désormais un standard bien commode pour attendrir des jurés : elle aurait subi des violences conjugales. Un moyen rejeté lors deux premiers procès étant donné le manque de pièces présentés pour étayer cette version, et le fait qu'elle ait fait brûler le cadavre de son conjoint pour éviter qu'il ne soit retrouvé...
Encouru : 30 ans de réclusion criminelle.
12 février
2018, Val d'Oise : « Non maman, pas le couteau. Ne chauffe pas l’eau. Non maman. Pitié. Arrête ! Arrête ! »
Les suppliques du garçon de 11 ans entendues par les voisins n'empêcheront pas sa mère de passer à l'acte, comme elle l'aura reconnu elle-même. Le tort de l'enfant : être rentré un peu trop tard. Sa punition : être ébouillanté à deux reprises avec de l'eau chauffée au micro-onde, être brûlé avec un couteau chauffé sur une plaque de cuisson de gazinière, sans oublier de le déshabiller, fait que les experts relèveront comme une volonté d’humiliation.
Retrouvé par les pompiers prostré contre la baignoire il sera relevé sur son corps plusieurs traces de brûlures au premier et second degré, des traces de coups de ceinturon et de possible lame de bois. Le procès a débuté aujourd'hui, aux côtés de l'enfant l’association Enfance et partage s’est constituée partie civile.
Encouru : 30 ans de réclusion criminelle.
10 février
2018, Le Puy-en-Velay : Procès Fiona
La fillette agée de 5 ans fut d'abord déclarée perdue par sa mère, puis avec son compagnon elle fait croire à un enlèvement avant d'avouer quatre mois plus tard que Fiona a été battue à mort avant d'être enterrée. Le corps de la fillette n'a jamais été retrouvé, les accusés ne se rappellant plus du lieu d'inhumation. L'experte-légiste venue témoigner au procès en appel privilégie l’hypothèse d’une mort consécutive à un traumatisme de l’abdomen, deuxième cause de mortalité dans les cas de maltraitance chez les enfants. Sans toutefois s'avancer sur les causes exactes de la mort, elle confirme que « l'enfant était victime de maltraitances ».
Rappellons qu'en France, une étude de 2015 de l'Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales basée sur l'exploitation des données du Casier Judiciaire a établi que 70 % des meurtres d'enfant sur la période de 1996-2015 ont été perpétrés par une femme, et que dans 72 % des cas l'enfant victime avait un lien familial avec son bourreau.
Verdict : 20 ans de réclusion criminelle.
6 février
2018, Dijon : frappé et violé la nuit dans la gare...
... par un demandeur d'asile d'une vingtaine d'année après une soirée un peu trop arrosée. L'agresseur a été interpellé et placé sous mandat de dépôt. « Les constatations médicales ont montré que la victime avait subi des violences et un viol », a confié le procureur de la République, Éric Mathais. L'affaire aurait fait scandale si ce n'est que la victime est un homme, donc aux yeux de certaines personnes ultra-féministes « forcément c'est moins grave ». Et si on leur précisait que ce monsieur victime est fragile psychologiquement, peut-être même qu'elles estimeraient ce viol « presque normal ».
Encouru : 15 ans de réclusion criminelle.
5 février
2018, Douai : maman « exemplaire » donne des gifles et des coups de ceinture à sa fille...
... et aussi des insultes telles que « salope » et « connasse »... C'est si beau l'amour maternel chez certaines personnes. Mais d'après cette mère forcément parfaite, c'était sa fille qui était la première à les employer contre elle. Et la maman ne faisait que les répéter dans un processus éducatif auquel elle était « attachée (sic) ». Evidemment les gifles et les coups de ceintures ne seraient que des allégations présentées par la fille à la police après que la famille du méchant papa les lui aient enseignées pour qu'elle les répète... Mais le tribunal correctionnel connait la musique et la fable ne passe pas.
Verdict : 10 mois de prison avec sursis, et 700 Euros de dommages et intérêts pour sa fille.
3 février
2018, Lyon : elle harcelait son mari, l'avait déjà frappé à coups de poings et lui avait lancé un couteau.
Décrite comme violente, possessive et jalouse, cette femme parfaite et vierge immaculée de toute mauvaise intention suspectait son mari de la tromper. Déjà condamnée l'an dernier à 3 mois de prison avec interdiction de retourner au domicile conjugal, elle s'y rendra pourtant à nouveau. Cette fois-ci pas de couteau à lancer sur son mari, mais le mobilier fera l'affaire pour le battre. Terrorisé, il trouvera refuge chez des voisins. Le procureur réclamera qu'elle soit « jugée comme un homme ».
Verdict : 4 mois de prison ferme.
Nous ne pouvons que féliciter ce procureur pour son sous-entendu, véritable appel à l'égalite de considération entre les hommes et les femmes. La subtilité de son propos démontre qu'il existe hélas en France deux manières de juger un même fait, en se basant uniquement en fonction du sexe du prévenu. En revanche, pas un seul mot de compassion pour ce mari battu de la part des politiciens et des autres Organes de Pouvoir. Probablement n’a-t-il pas eu la chance de naître avec le bon sexe pour y avoir droit. Pas un seul mot !
3 février
2018, Yvelines : 11 ans sous les coups et les
humiliations de sa femme, il la tue. Politiciens, médias : pas un mot de compassion envers lui.
Un pompier frappé
par sa femme pendant 11 ans, humilié lorsqu’elle
lui raconte quotidiennement ses ébats avec ses amants, parfois même en présence d'amis.
Ce jour là c’en est trop : l’après-midi fut une nouvelle fois
l’occasion d’entendre sa femme se vanter des performances sexuelles de son
amant, de la voir mimer l’orgasme… Dans la nuit du 10 au 11 juillet 2012 Marc Caillot pète
un câble, s’empare de son revolver à un coup .22 Long Rifle et abat de 10
coups sa femme, dont 7 à bout touchant. Leur fils de 17 ans aujourd'hui expliquera ne
rien avoir entendu, mais soulignera comprendre l’acte de son père battu et
rabaissé sans cesse depuis toutes ces années.
Verdict : 10 ans de prison. La
Défense ne compte pas faire appel.
Nous ne critiquons pas le verdict prononcé par un jury populaire qui,
contrairement à nous tous, a eu le dossier de l’affaire
entre les mains et a pu l’analyser en profondeur. Pas de légitime défense
possible (non concomitance de l’acte...), justice est donc faite. En revanche
nous trouvons scandaleux qu’aucun média, aucune association de défense des
victimes de violences conjugales, aucun politique n’ait prononcé un seul
mot de compassion envers ce père et son fils, à contrario de l’engouement qui
suivit l’affaire Jacqueline Sauvage.
Voici donc une nouvelle fois en France un
homme victime de violences conjugales, de tortures au quotidien, qui n’a pas
eu la chance de naître avec le bon sexe pour susciter ne serait-ce qu'un peu de pitié et de compassion de la part des Organes du Pouvoir. Nous n’osons pas un
seul instant penser que le Président de la République accordera la bienveillance d'une Grâce Présidentielle pour Marc Caillot , car rappelons que nous sommes en France : comme tout homme battu Marc
n'a pas le bon sexe pour y avoir droit.
1er février
2018, Manosque : elle se filmait en train de torturer son bébé.
Aux yeux d'une certaine frange du féminisme les femmes sont génétiquement toutes des saintes. Alors probablement que celle-ci obtiendrait de leur part le clitoris d'or. Jugez plutôt : pour se venger de son ex-compagnon, cette jeune femme de 27 ans s'était filmée en train d'arracher les cheveux de son bébé de 8 mois et de le secouer avec énergie. La vidéo avait ensuite été envoyée au papa accompagnée d'une jolie menace de mort concernant le bébé.
Immédiatement placée en garde à vue, cette jeune femme déjà connue des services de police a reconnu les faits et a été déférée devant un magistrat du parquet de Digne-les-Bains. Remise en liberté elle a toutefois été placée sous contrôle judiciaire strict en attendant son procès qui aura lieu en avril pour « violences volontaires sur mineur de moins de 15 ans sans incapacité par ascendant et menace de délit sur une personne par conjoint ou concubin » .
Encouru : 5 ans d’emprisonnement.
Evidemment pas un seul mot de soutien de la part de représentants de l'État pour cet enfant et ce papa victime d'une grave agression psychologique. Probablement n'a-t-il pas le bon sexe dans le pantalon pour être reconnu dans sa souffrance. Et puis l'agresseur est une femme, donc aux yeux des décideurs de notre pays elle a forcément raison de faire ce qu'elle fait, même lorsqu'elle torture un bébé.
29 janvier
2018, Melun : elle avait tenté de tuer son bébé à 4 reprises en l'étouffant.
En 2014 au Mée-sur-seine, cette mère avait utilisé un oreiller pour tenter à 4 reprises de tuer sa fille en l'étouffant. Aujourd'hui âgée de 4 ans la fillette est lourdement handicapée et suivie par la Fondation Hélène-Poidatz. Elle ne peut faire usage que de quelques mots et ne peut ni rester assise seule ni manger sans assistance. Elle souffre de fréquentes crise d'épylepsie. Selon l’avocate, l’accusée, « qui souhaitait un bébé, voulait en fait une poupée qu’elle a à moitié tuée. Le retour à la vie de l’enfant, qui était au bord de la mort, n’a été possible que grâce à sa vitalité et sa force intérieure ».
Verdict : 12 ans de réclusion criminelle, avec un suivi sociojudiciaire de 5 ans, assorti de l’obligation d’exercer une activité professionnelle et d’une injonction de soins. La mère devra en outre verser 100 000 € à sa fille, au titre du préjudice corporel et 80 000 € au père de l’enfant au titre du préjudice moral.
Et toujours pas un seul mot de la part de nos politiciens pour avoir un peu de compassion pour cette fille et son papa qui devra assumer seul les conséquences du choix de son ex-épouse. Probablement n’a-t-il pas
eu la chance de naître avec le bon sexe pour y avoir droit.
18 janvier
2018, Givors : elle frappe son mari, et à la barre lui reproche de s'être défendu.
Quatre années de tensions dans le couple, puis l'épouse décide de se défouler sur son mari : morsures, coups et gifles. A la barre elle osera utiliser le fameux argument devenu moyen de défense moderne de toute bonne épouse violente : il l'aurait agressé. Sauf qu'il sera démontré qu'il s'agissait de gestes de défenses de la part du mari pour se protéger des coups de sa femme.
Verdict : 2 mois de prison avec sursis. Une peine présentée comme devant servir d'électrochoc pour le couple.
Et toujours pas la moindre association de défense des
victimes de violences conjugales, pas un seul politicien pour avoir un peu de compassion pour ce monsieur. Probablement n’a-t-il pas
eu la chance de naître avec le bon sexe pour y avoir droit.
17 janvier
2018, Rennes : elle attaque son conjoint au couteau.
A 51 ans il sera touché de nombreuses fois au visage et au cou, défiguré sans que sa vie ne soit mise en danger. Placée en garde à vue sa conjointe reconnaîtra les faits en argumentant un « motif futile sur fond d'alcool » et une relation de couple conflictuelle débutée à peine deux mois auparavant. Il ne souhaitera pas porter plainte malgré une ITT de 15 jours.
12 janvier
2018, Mont-Saint-Aignan : elle noie son bébé dans un seau.
Pour une raison encore inconne, en début d'après-midi cette mère de famille de 39 ans a décidé de tuer sa fille de 6 mois en la plongeant sa tête dans un seau d'eau. Après plusieurs minutes, d'elle-même elle aurait décidé de mettre fin au supplice. Retrouvée en insuffisance cardiaque par les pompiers la petite fille a été emmenée d'urgence au CHU de Rouen. A ce jour la vie de l'enfant n'est plus en danger mais des doutes subsistent sur ses capacités neurologiques, puisque les spécialistes ne savent pas combien de temps elle est réellement restée sous l’eau. La mère a été mise en examen pour « tentative d’homicide sur mineur » de moins de 15 ans par ascendant.
Encouru : 20 ans de réclusion criminelle.
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