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WE HAVE A DREAM : One day, in France and in the World, men and LGBTQ+ who are victims of domestic violence, rape and sexual assault enjoy the same rights and the same consideration as heterosexual women.
(Nous formons un vœu : qu'un jour, en France et dans le Monde, les hommes et les personnes LGBTQ+ victimes de violences conjugales, de viol et d'agressions sexuelles jouissent des mêmes droits et de la même considération que les femmes hétérosexuelles.)
Une association de fait.
Crée en janvier 2018 et pendant trois ans nous avons tout d'abord été une association de fait. Depuis janvier 2021 nous sommes une association loi 1901, actuellement en cours de création, qui regroupe des hommes et des femmes qui éprouvent une empathie sans limite envers leurs semblables humains victimes de violences conjugales ou au travail, physiques, sexuelles et psychologiques. Entre autre notre perçu est que depuis plus de 60 années les décideurs politiques qui se sont succédés à la tête du pays n'ont fait que mépriser la victime de telles violences, soit en l'ignorant parce qu'elle est un reflet de leur incompétence, soit en exploitant sa détresse à des fins électoralistes ou égoistes.
Ce site relève de notre seul point de vue, nous ne demandons à personne de s'y soumettre. Vous pouvez partager le votre librement sur
notre page Facebook
ouverte à l'échange bienveillant sur le sujet. Nous ne nous reconnaissons en aucun mouvement politique que ce soit. Nous éprouvons un respect et un amour autant fraternel qu'altruiste envers toute personne quel que soit son sexe, son genre, sa nationalité, ses origines, ses convictions religieuses, son vécu.
Combattre le sexisme institutionnalisé.
Nous nous revendiquons de l'hominisme autant que du féminisme de bonne foi : des causes de lutte pour une réelle égalité de considération et de bienveillance institutionnelles envers les individus quels qu'ils soient.
Ainsi, nous dénonçons toute forme de discriminations, de clichés et de stigmatisations, d'autant plus lorsqu'ils sont le fait de l'État. Nous considérons donc qu'une victime de violences conjugales ou sexuelles, délictuelles ou criminelles, se devrait d'obtenir la même bienveillance sociétale qu'une autre victime des mêmes faits, ceci quel que soit son sexe, son genre, sa nationalité, ses origines, ses convictions religieuses, son vécu, et ceux de leurs agresseurs. Or en France aujourd'hui ce n'est pas le cas.
Notre perçu est que malgré l'adoption de lois républicaines égalitaires et claires sur le sujet, l'État français qui se devrait d'être exemplaire et irreprochable en la matière s'autorise pourtant à commettre des discriminations sexistes vis-à-vis de victimes d'un même fait. Ces discriminations institutionnalisées sont basées sur les clichés sexistes de la femme forcément dominée, fragile, faible, incapable d'imposer son point de vue, incapable de se défendre, ultra-émotive, prude, et de l'homme forcément dominant, insensible, irrespectueux, brutal, agresseur compulsif, incapable de retenu, obsédé sexuel. Ces clichés stigmatisants sont les bases de doctrines patriarcales et matriarcales scandaleuses, qui pourtant sont le fondement des analyses et décisions prises par les décideurs du pays depuis des décennies jusqu'à aujourd'hui.
Nous pensons que cela relève d'un calcul politique, nous trouvons cette méthode institutionnalisée indigne du pays qui se prétend initiateur des Droits de l'Homme, c'est à dire de tous les êtres humains. Nous pensions naïvement que ces procédés scandaleux avaient été bannis à jamais des modus operandis de l'État français, nous ressentons que les décideurs de notre pays ont une mémoire décidément soit bien courte, soit à géométrie variable suivant leurs propres intérêts.
Nous nous sentons trahis par les décideurs politiques du pays et comprenons que les personnes à la fois victimes de violences conjugales ou sexistes et victimes de ces discriminations institutionnalisées ressentent cette même impression de trahison.
Combattre l'extrémisme.
La frange extrémiste du féminisme (noble cause qu'elle détourne) considère que les hommes ne seraient pas victimes de sexisme, argumentant qu'un sexisme serait forcément systémique. Or non seulement nous avons démontré dans plusieurs de nos articles ici-mêmes que le sexisme dont sont victimes les hommes en France est systémique, mais de plus dans de nombreux dictionnaires tels que Le Larousse, le site de Linternaute et Wikipedia etc la définition du mot sexisme n'impose pas une systémique :
"Attitude discriminatoire fondée sur le sexe."
Rappelons ensuite que de tels propos tenus par cette frange d'extrémistes relèvent de sexisme étant donné qu'ils incitent à refuser à la victime d'une discrimination basée sur son sexe un statut de victime de sexisme, statut dont elle a besoin pour se reconstruire après un drame. Ce comportement d'incitation à la discrimination lié au sexe est prévu et réprimé par la Loi à l'Article 225-1 du Code Pénal. Au regard de cet article de loi nous souhaitons adresser un petit message à destination des gens qui établiront dans la bienveillance à apporter à une victime un degré d'urgence lié au sexe/genre de la victime (femmes victimes soit -disant plus urgentes parce qu'il y en a plus que d'hommes) :
Quel que soit l'agresseur et quelle que soit la victime, un chiffre statistique n'a jamais arrêté un poing, un viol, ni soigné une ecchymose ou eu le moindre effet sur une reconstruction psychologique !
Au moment de recevoir le coup, au moment d'être violée, qui qu'elle soit, quel que soit son sexe ou son genre, la victime n'a que faire de savoir si elle contribue à grossir les chiffres d'une majorité ou d'une minorité. Elle déguste, point ! Brandir un chiffre statistique lié au sexe/genre des victimes consiste à manipuler un auditoire pour minimiser la souffrance ressentie par la minorité opprimée. Ensuite, les victimes d'un fléau n'ont pas à devoir attendre la bienveillance collective sous prétexte que ces victimes-ci ont un sexe/genre différent d'autres victimes du même fléau mais que l'on se devrait de considérer comme plus urgentes. Un chiffre statistique lié au sexe/genre des victimes d'un même fléau n'a jamais défini l'urgence de la bienveillance à apporter à telle ou telle victime. Toutes sont égales dans la souffrance et dans l'urgence sociale républicaine et bienveillante à leur apporter.
Pour une même blessure physique ou psychologique, établir une graduation d'urgence en fonction du sexe/genre de la victime relève d'une discrimination réprimée par le Code Pénal. Pourtant en France l'impunité est la règle lorsque l'Etat ou des associations extrémistes qui détournent la cause féministe procèdent à de telles discriminations à la bienveillance envers les hommes victimes de violences conjugales ou sexuelles.
Synthèse de sentiments collectés au sein de l'équipe.
Les coups et les humiliations, la trahison prononcée par l'être aimé, nous les avons vécues dans notre chaire soit directement soit indirectement auprès de victimes proches. Un vécu systématiquement atroce, qui mène parfois la victime à commettre l'irréparable parce qu'elle juge sa (sur)vie impossible. Dans nombre de nos propres expériences la personne tortionnaire était désirée au point d'être idéalisée. Ainsi, tout en recevant ses coups, ses insultes, ses tortures, elle était côtoyée au quotidien alors qu'elle n'était plus que le reflet de l'être aimé. L'illusion entretenue par la présence de son enveloppe charnelle portait encore l'espoir d'une renaissance de la flamme. Impossible d'entrevoir que la personne aimée fasse partie du passé, même si à l'évidence ce n'était plus elle, qu'elle avait disparu et qu'à sa place se retrouvait une usurpatrice volant son corps, frappant, insultant, pillant, méprisant et se gavant de toutes ces souffrances.
Naïfs et gorgés d'illusions il y eut alors acceptation de la souffrance et des coups pour survivre affectivement en entretenant un lien même ténu avec l'être disparu. Le seul témoignage résiduel du coeur d'un humain réduit à la condition animale par le coeur animal d'une illusion humaine.
Financement ?
Nous finançons tous les éléments de notre action sur Internet avec nos propres revenus, et souhaitons que cela reste ainsi. Nous n'en voulons de personne d'autre car nous n'en n'avons pas besoin.
Ainsi, si vous considérez pouvoir disposer d'argent pour nous aider, alors cela signifie surtout que vous en avez pour le dépenser pour vous, pour ceux que vous aimez ou pour toute autre cause qui vous tient à cœur. Dépensez-le ainsi : faites vous plaisir, faites plaisir à vos proches, à ceux qui en ont besoin. La seule chose que nous vous demandons, c'est de ne pas nous en vouloir de refuser votre don : si vous vous sentez frustré de ne pouvoir nous aider, votre don le plus merveilleux consistera à comprendre et accepter notre décision à ce sujet.
Merci énormément d'avance à tous pour votre compréhension.
Dernière précision : si quelqu'un se réclame de notre action et vous demande de l'argent alors c'est qu'il vous ment.
Électrons libres, naïfs et fiers de l'être !
Nous le répétons : chaque homme victime a droit à la même bienveillance qu'une femme victime d'un même fait. Une victime qui reçoit un coup n'en n'a que faire des statistiques globales concernant d'autres victimes. Toutes les victimes dégustent au quotidien, elles souffrent, elles en bavent : 1 : les coups, 2 : la honte, avec comme particularité franco-française qu'en France l'homme victime a droit à un malus supplémentaire spécialement attribué à lui de la part de nombreux organes de Pouvoir : le mépris sociétale. Il s'agit d'un véritable abandon, d'une peine capitale d'invisibilité sociale, d'une négation de son être. Nous nous mettons donc du point de vue de la victime qui reçoit un coup, une torture au quotidien, qui qu'elle soit et encore plus lorsqu'elle est méprisée par une société entière.
Nous ne sommes pas de ces politiciens qui sont tout d'abord soucieux des statistiques et des sondages de masse, ni de ces associations avides de subventions. Nous, nous sommes libres, nous avons l'argent nécessaire à nos actions, nous nous auto-finançons, nous n'avons donc que faire de ces sondages qui permettent aux politiciens de se féliciter et de déboucher le Champagne parce 66% de victimes d'un fléau sont prises en compte et voteront pour eux au mépris de 33% autres victimes du même fléau qui crèvent sous les coups au quotidien, méprisés par un pays tout entier et par une majorité de ses organes de Pouvoir à cause des clichés haineux et stigmatisants liés au sexe avec lequel ils sont nés, des stéréotypes colportés et exploités depuis la nuit des temps.
Nous combattons une systémique réelle, une systémique animée par le profit personnel ou financier de quelques-uns. Nous n'avons pas besoin d'argent, nous nous fichons complètement des bords politiques, des intérêts des décideurs, des lobbies, des caisses vides d'associations loi 1901 qui exploitent la misère humaine pour survivre (voire celles qui amplifient les clivages en espérant plus que tout continuer à en vivre au crochet de la société là où elles se devraient d'oeuvrer à disparaître) .
Nous ne désirons qu'une chose : l'égalité réelle de prise en compte de chaque victime, d'autant plus celle qui ne rentre pas dans le moule du schéma économico-productif de ceux qui la déshumanisent et en tirent un profit. Nous désirons disparaître car cette disparition signifierait l'aboutissement d'un long combat, le notre : l'obtention d'une réelle égalité entre femmes et hommes marquée par la prise en compte égalitaire des plus malheureux : ceux qui souffrent non seulement des coups, mais aussi de ne pas avoir droit à une reconnaissance sociétale délivrée aujourd'hui par intérêt uniquement au plus grand nombre.
Nous sommes autonomes, désintéressés, altruistes, libres, naïfs oui - cons ou attardés peut-être - mais quoiqu'il en soit bienveillants dans notre sincérité.
Pourquoi l'anonymat ?
Nos contributeurs sont libres de signer ou non leurs interventions, que ce soit en bas de chaque article du site ou sur les réseaux sociaux. Sauf erreur de notre part à ce jour aucun n'a fait usage de cette liberté, et les raisons sont multiples.
Premièrement aucun ne ressent le besoin de s'approprier de manière exclusive une analyse et des propos qui sont le fruit d'une reflexion commune. Ceci explique aussi pourquoi à ce jour nul ne fait usage de pseudonyme. Lorsque nous nous exprimons, nous le faisons au nom de tous les membres, et corrigeons à postériori si nécessaire.
Deuxièmement chaque contributeur a une vie au delà du Net et des réseaux sociaux, une vie privée qui est évidemment pour lui une priorité. Apposer une identité exposerait cette personne bienveillante et ses proches aux excès du Web et des réseaux sociaux. Et c'est peu dire que d'affirmer qu'une cause de justesse telle que la défense de l'égalité de bienveillance sociétale envers toutes les victimes de violences conjugales et sexuelles est une cause en proie à la haine sociale. Nous souhaitons donc nous protéger et protéger celles et ceux que nous aimons.
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