Halte au Sexisme

« Parce que les hommes et LGBTQ+ battus d’aujourd’hui vivent le calvaire des femmes battues d’hier. »

 

 

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :

les oubliés de la France

 

1 homme sur 4 est victime de harcèlement sexuel au travail *.

1 600 000 hommes victimes d’un stress post-traumatique (SPT) à la suite d’un viol ou d’une tentative de viol subi dans leur vie *.

146 000 hommes victimes par an de violences conjugales tous types confondus *.

26 000 hommes victimes par an de violences sexuelles commises par leur conjoint.e ou ex-conjoint.e *.

67 500 hommes victimes chaque année de violences sexuelles physiques au travail *.

 

Et vous ? Quelle victime de la France misandre êtes vous ?

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :
la France de la honte !

 

0 plaquette informative de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 page Internet de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 précision de l’État pour dire que des structures prennent aussi en charge les hommes victimes.

0 structure d’État spécifiquement dédiée aux hommes victimes.

3 communications de l’État qui précisent qu’un homme a aussi droit au statut de victime ( 1, 2, 3 ).

99.7% communications de l’État qui suggèrent un sexe masculin pour évoquer un agresseur, mais  JAMAIS il n’y est suggéré qu’une victime puisse être un homme.

 

À la maison,

vous aussi ?

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(7j/7, de 8h à 22h)



Votre enfant,

risque ça ?

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(7j/7, 24h/24)

URGENCE : Guide du « NON ! » Que faire lorsqu'un « NON ! » signifie « OUI ! » ?

 



Une communication humaine au delà des mots

Des campagnes sont couramment lancées par différentes associations et mouvements pour faire croire aux gens un peu limités du bulbe que l'être humain ne sait communiquer ses émotions et ses attentes que de deux manières : par voie orale et par l'écriture. Cela se résume généralement en des communications assez simplistes, telle celle de Amnesty International : "If it's not a YES, it's a NO", avec sa version française "Quand c'est pas oui c'est non", le clip "Balance Ton Quoi" de la chanteuse Angèle etc.

Or ces campagnes oublient un fait : l'être humain, donc la femme et l'homme, est une personne subtile, habile à transmettre des nuances par des moyens ingénieux, souvent via des attitudes implicites, si ce n'est par voie hormonale donc inconsciemment détectable. Ainsi par exemple lorsqu'une personne prononce un "non !" explicite à son prétendant, elle peut aussi et de manière simultanée adopter une attitude corporelle qui se veut implicitement signifier "oui". Les plus simples à percevoir peuvent être constituées d'une main "aux fesses" ou "au panier", d'une jambe qui se frotte contre les cuisses de sa proie, d'un bout de talon posé secrètement sur son pieds sous une table... Parfois cela peut aussi se formuler via des clins d’œil appuyés par des sourires ou des mouvements lascifs du corps, de la tête... Sans parler du second degré de propos qui peuvent précéder ou suivre le "Non"...

Ainsi, si la propagande contemporaine "antisexiste" a tendance à réduire la communication entre deux êtres à un simple échange de paroles, dans les faits la communication humaine se fait via nombre d'autres aspects.



Lorsque les mots n'ont plus de sens

Lorsque deux personnes sont en phase pour se comprendre et de parfaite bonne foi pour percevoir toutes les subtilités de leurs échanges, il n'y a alors aucun problème. Mais nous ne vivons pas dans un monde de Bisounours, de plus une bouche qui dit "non" peut être associée à un corps qui dit "oui", sans oublier qu'il existe des personnes aux objectifs peu louables, capables d'exploiter une situation ambigüe pour faire ensuite chanter une proie sur #MeToo ou devant un tribunal...

Il y a aussi ces personnes instables dont la conscience oscille entre fantasmes et foultitudes de réalités qui n'appartiennent qu'à elles-seules. Aux humeurs bouillantes un instant puis glacées l'instant suivant, elles ne savent secrètement plus trop elles-mêmes si elles ont prononcé un "oui" ou un "non", ceci avant, pendant ou après l'acte. Mais elles se convaincront que c'était un "non" et tenteront d'en persuader leur entourage avec pour objectif de faire supporter à autrui leurs angoisses mal gérées. Prendriez-vous le risque de leur mettre une arme chargée entre les mains ? Le législateur le fait, en leur fournissant une loi capable de les satisfaire dans leur quête de vengeance d'elles-même : il leur suffit de tuer socialement de 15 ans de réclusion criminelle autrui qui aura le malheur de croiser leur chemin.



Alors comment faire ?

- Dans un premier temps nous ne pouvons que dénoncer ces campagnes simplistes et manichéennes qui prennent les gens pour des imbéciles dénués de finesse et de perspicacité autant qu'elles tentent de réduire la communication humaine à un échange binaire. Mais, hélas, chacun de nous ne pourra que se plier à ce type d'évolution rétrograde de notre société, sauf si un jour un sursaut des urnes ou de la rue permettra d'en inverser la tendance.

- Dans un second temps, il faut acter que l'on ne peut pas systématiquement sortir avec son avocat doté d'un contrat clair en bonne et due forme à signer par les deux parties au premier "bonjour" (Aux USA certaines personnes sont contraintes de le faire, évitons d'en arriver là chez nous). Donc face à un "non" ambigüe nous ne pouvons que vous inviter à expliquer à votre partenaire que la subtilité ayant été bannie de notre monde moderne par un utra-féminisme infantilisant, clivant et haineux, vous préférez que les choses soient clairement dites. Et si le doute subsiste ou émerge à nouveau alors abstenez-vous de prendre le moindre risque avec cette personne : les apparences la concernant étaient trompeuses. Rassurez-vous : des personnes raffinées qui méritent un échange de qualité avec vous, il y en a des milliers sinon plus.



Et en dernier recours...

Si, frustrée, elle s'indigne parce que face à son "non !" qui voulait finalement signifier "oui !" vous l'avez éconduite, alors suivant le cas vous pouvez soit lui proposer de prendre des séances de psychanalyse au sein d'un parcours de soin, soit l'inviter à écrire un courrier aux associations auteures de ces campagnes débilitantes ainsi qu'à Marlène Schiappa : il est temps que les responsables de la stupidité grandissante dans notre pays assument enfin les conséquences de leurs actes au lieu de les faire supporter par une population entière qui n'a eu comme seul tort que de leur faire confiance.



 

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