Halte au Sexisme

« Parce que les hommes et LGBTQ+ battus d’aujourd’hui vivent le calvaire des femmes battues d’hier. »

 

 

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :

les oubliés de la France

 

1 homme sur 4 est victime de harcèlement sexuel au travail *.

1 600 000 hommes victimes d’un stress post-traumatique (SPT) à la suite d’un viol ou d’une tentative de viol subi dans leur vie *.

146 000 hommes victimes par an de violences conjugales tous types confondus *.

26 000 hommes victimes par an de violences sexuelles commises par leur conjoint.e ou ex-conjoint.e *.

67 500 hommes victimes chaque année de violences sexuelles physiques au travail *.

 

Et vous ? Quelle victime de la France misandre êtes vous ?

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :
la France de la honte !

 

0 plaquette informative de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 page Internet de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 précision de l’État pour dire que des structures prennent aussi en charge les hommes victimes.

0 structure d’État spécifiquement dédiée aux hommes victimes.

3 communications de l’État qui précisent qu’un homme a aussi droit au statut de victime ( 1, 2, 3 ).

99.7% communications de l’État qui suggèrent un sexe masculin pour évoquer un agresseur, mais  JAMAIS il n’y est suggéré qu’une victime puisse être un homme.

 

À la maison,

vous aussi ?

Appelez le 3919

(7j/7, de 8h à 22h)



Votre enfant,

risque ça ?

Appelez le
01 47 70 25 34

(7j/7, 24h/24)

ACTUALITES - des femmes parfaites et de leurs victimes en 2020.

 

Attention : cette page-ci est tenue sur un ton sarcastique. Nous y traitons l'actualité avec ironie, dérision, caricature et donc humour (forcément de mauvais goût pour celles et ceux qui ne les conçoivent qu'à géométries variables). Avec ces moyens d'expression nous y poussons donc l'exagération à l'extrême, au point qu'il ne puisse échapper à personne de sensé qu'il s'agit effectivement d'exagération. Notre objectif : expliquer qu'à nos yeux le néo-féminisme extrémiste tient un discours stigmatisant, haineux et discriminant basé sur des clichés sexistes misandres, et que l'actualité quotidienne la plus dramatique démontre qu'il est incohérent.


Au cinéma, au JT de 20h, dans la bouche des associations ultra-féministes les plus extrémistes et celle de nos politiciens préférés, l'homme est un méchant pervers sadique brutal obsédé sexuel, sans coeur, sans-âme, dénué de compassion qui n'attend qu'une occasion pour sauter sur une femme et la frapper en n'oubliant pas de la violer au passage parce que sinon ce n'est pas drôle. Quant à la femme, elle est forcément gentille, une pure sainte fragile innocente vierge incapable de faire le moindre mal parce que génétiquement programmée pour être une victime et faire le bien sur Terre. Manque de bol, lorsqu'on va au delà de ces clichés sexistes on se rend compte que dans la vraie vie ça ne se passe pas tout à fait comme ça.

Au delà de ce manichéisme misandre institutionnalisé qui infantilise la population, voici au long cours l'actualité de gentilles et saintes femmes qui volent, escroquent, battent, violent et torturent forcément toujours avec tact, grâce et innocence, et celle de leurs victimes, compagnes, gros vilains méchants conjoints et enfants qui l'ont donc forcément bien cherché.

Vous pouvez aussi découvrir l'actu copieuse des femmes parfaites et de leurs victimes en  202320222021202020192018  et  décembre 2017.



 

28 décembre 2020, Calais : Elle s'était présentée comme victime d'une agression sexuelle...

Les mensonges font parti de la rhétorique de consolidation néo-féministe, c'est pour cela que vous entendez des ministres raconter que toute plainte déposée pour agression sexuelle caractérise forcément des faits réels. Sauf que l'actualité quotidienne permet de déceler ces mensonges politiciens. Ainsi, encore une fois les tribunaux auront eu à juger l'opportunisme d'une femme ayant su exploiter les clichés sociétaux sur le viol. Ainsi, parce qu'elle voulait qu'on s'occupe d'elle suite à une séparation avec son conjoint, elle aura déchiré son propre tee-shirt puis aura raconté à sa mère puis aux policiers avoir subi une agression sexuelle. Cela aura mené au placement en garde à vue d'un homme innocent, de nationalité roumaine.

Heureusement, le lendemain la plaignante mythomane sera prise de remords et ira avouer avoir menti. On imagine sinon le calvaire qu'aurait subi sa victime passible de plusieurs années de prison.

Verdict : Reconnue coupable, la prévenue devra suivre un simple stage de citoyenneté.
Une source : Ouest-France.



 

21 décembre 2020, Niort : Elle lui interdisait de posséder une carte bancaire, de dépenser, puis l'avait menacée de mort et de se suicider.

Pour les féministes extrémistes c'est bien connu, les femmes sont toutes forcément douces, sensibles, altruistes, désintéressées, victimes des hommes seuls porteurs du gène de la méchanceté et de la perversion humaine. Donc une femme violentée par une autre femme, qui plus est lorsqu'il s'agit de sa conjointe, forcément ça n'existe pas. Quant-à la victime qui ne correspond pas à ce dogme, eh bien comme elle n'existe pas alors elle doit se taire et souffrir en silence !

Sauf qu'encore une fois l'agresseur était une agresseuse, et que pour une histoire de jalousie, possessive, elle en était arrivée à casser la porte de la salle de bain avant de s'emparer d'un couteau de cuisine, de le placer sous sa propre gorge, de menacer sa conjointe de se suicider avec, avant de retourner l'arme contre sa compagne. L'avocate de la victime expliquera que sa cliente « ne devait pas dépenser, n’avait même pas le droit de posséder une carte bancaire. Ma cliente était sous son emprise et il lui est difficile encore aujourd’hui de s’en sortir. » La victime fera l'objet d'une ITT supérieure à 8 jours.

La vice-procureure de la République rappellera que tous les deux ou trois jours une femme tombe sous les coups de son compagnon, ou de sa compagne.

Verdict : 6 mois de prison avec sursis, interdiction d'entrer en contact avec la victime, interdiction de porter une arme pendant 5 ans, 800€ de préjudice moral pour la victime, 400€ de remboursement des frais d'avocats, 261€ à verser à la CPAM.
Une source : La Nouvelle République.



 

20 décembre 2020, Villefranche-sur-Saône : Elle avait agressé sexuellement ses deux filles.

Les agressions sexuelles sur des enfants, c'est bien connu, seuls les hommes en sont capables : eux-seuls portent le gène de la perversion. Salauds de mecs ! Bon ça c'est le vieux cliché bien misandre, celui que les extrémistes féministes aiment par dessus tout relayer. Sauf que, encore une fois, l'actualité vient de démontrer que la perversité sexuelle n'a pas de sexe prédéfini. Effectivement, pendant 2 années, cette mère aujourd'hui âgée de 58 ans avait commis moult attouchements sur ses deux fillettes de 5 et 13 ans.

A la barre, une des deux victimes confirmera les faits. La seconde, avouant craindre les conséquences de la condamnation de sa mère, tentera d'influencer les juges en revenant sur ses propos.

Verdict : 8 mois de prison avec sursis.
Une source : Lyon-Mag.



 

18 décembre 2020, Saint-Rémy : Elle avait volontairement étouffé son fils de 8 ans avec un sac en plastique.

Les psychiatres auront expliqué à la barre que la mère l'aura tué de peur qu'il ne la quitte, comme l'avait fait quelques temps plus tôt sa fille aînée pour rejoindre le père. Un enfant représentant donc de son vivant une angoisse, des témoins le qualifieront de « fardeau » aux yeux de sa propre mère.

Au préalable la mère s'était enfoncée dans le mensonge, une fable inventée de toutes pièces, celle d'un cambriolage qui aurait mal tourné. Sauf que les expertises scientifiques en démontreront l'impossibilité technique.

Enfin, après plus de deux ans et demi d'un même mensonge, cette mère infanticide finira par avouer : « Je suis coupable... C’est moi qui... ai tué mon fils... mon bébé » et monté une « mise en scène pour ne pas être accusée » en plaçant la tête de son fils dans un sac plastique « pour faire croire que c’étaient des cambrioleurs ».

Verdict : 16 ans de réclusion criminelle.
Une source : Ouest-France.



 

15 décembre 2020, Castres : Maman avait « cogné par terre » et « tordu les jambes » de son fils âgé de 11 mois.

Et c'est peu dire que les douze premiers mois de vie du petit Enzo auront été un véritable calvaire. Coups, tortures diverses... Sans compter une malnutrition habituelle. Maman se déchaînait sur son bébé pendant que papa fermait les yeux en jouant aux jeux vidéos. L'horreur, à tel point que confié aux Urgences de l'hôpital de Lavaur, les médecins constateront qu'à ses 11 mois le petit Enzo pesait à peine 6,8 Kg, qu'il présentait de multiples fractures aux jambes, un traumatisme crânien.

Au procès de ses parents l'éducatrice confiera « Il est handicapé, il a un suivi de psychomotricité. Il va avoir 5 ans mais on ne comprend pas quand il parle. »

Verdict : 4 ans de prison ferme pour la mère, 3 ans de prison dont deux avec sursis probatoire pour le père. L'autorité parentale leur a été retiré.
Une source : La Dépêche.



 

11 décembre 2020, Dole : Elle tabassait quotidiennement ses deux filles adolescentes.

L'une d'elles trouvera le courage de venir témoigner à la barre, face à un box des accusés vide, la mère ayant refusé de se présenter à son propre procès.

Deux signalements et une alerte de la part de la grand-mère auront été nécessaires. Le père confirmera les crises d'humeur de sa femme « Le pire, c’était les menaces, les mots. Elle rabaissait ses filles. » finissant par s'avouer contraint de rester avec sa femme « Par la force des choses (...) Elle ne veut pas quitter le domicile. »

Verdict : 6 mois de prison avec sursis probatoire de 2 ans, obligation de se soigner.
Une source : Le Progrès.



 

9 décembre 2020, Tours : Elle avait étouffé son mari, puis jeté son cadavre dans la Loire.

Le corps de l'homme de 49 ans avait ensuite parcouru 35 km avant d'être découvert dans le fleuve à Amboise par des promeneurs. Pour les moyens de sa défense cette femme, ex-kinésithérapeute de 60 ans, avait ensuite pondu une jolie fable, celle d'une femme découvrant son mari alcoolisé en train de s'étouffer, lui relevant donc la tête en tirant sur son écharpe, lui donnant des gifles, lui jetant de l'eau au visage, bref une charmante et douce épouse si bien intentionnée...

Sauf que les expertises démontreront que l'homme a été tué par une asphyxie provoquée volontairement. D'ailleurs ce gros vilain venait d'informer sa femme de sa décision de la quitter, comment a-t-il pu oser ce salaud ? Décidément tous des égoïstes ces mecs ! C'est inadmissible, voire semble-t-il condamnable à mort, les féministes extrémistes apprécieront le geste.

Après l'avoir tué, elle aura ensuite fait venir chez elle plusieurs témoins dont ses deux filles de 16 et 18 ans pour constater le décès, avant finalement de jeter le corps dans la Loire. En première instance la prévenue avait écopé de 25 ans de réclusion criminelle.

Verdict : 22 ans de réclusion criminelle.
Une source : Le Parisien.



 

7 décembre 2020, Villers-lès-Nancy : Elle tue le chat, tente d'empoisonner son mari, puis poignarde son fils.

Imaginez-vous en train de dormir, et tout d'un coup vous sentez que quelqu'un tente de vous insérer une pipette entre vos lèvres pour faire couler un produit dans votre bouche... C'est ce qu'à vécu ce papa, la nuit dernière vers 3 heures du matin. Face à lui, sa femme lui explique alors avoir tenté de lui faire ingérer un décontractant pour faire cesser ses ronflements. Crédule et bienveillant pour les oreilles de sa femme, ce mari pensera pouvoir finir sa nuit sur le canapé. Sauf qu'une heure plus tard il est réveillé par les cris de son fils de 10 ans. Il fonce dans la chambre de l'enfant et découvre sa femme brandir un couteau de cuisine au dessus de la tête de son fils pour le poignarder.

L'enfant sera pris en charge par les pompiers qui constateront deux plaies au niveau du cou et du thorax, transféré à l'hôpital de Nancy-Brabois sa vie ne serait plus en danger. Mauvaise nouvelle, les enquêteurs découvriront le corps du chat de la famille, probablement empoisonné. Une hypothèse tend à penser que la mère aurait testé le poison sur le chat avant de tenter de le faire avaler à son mari.

Elle a été placée d'office dans une unité psychiatrique en attendant de pouvoir être auditionnée.

Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité (article 221-4 alinéa 4ter du Code Pénal).
Une source : Le Figaro.



 

27 novembre 2020, Rouen : Elle racontait avoir chargé un fusil et tué son mari « accidentellement ».

Elle avait aussi raconté avoir été pendant de trèèèèès loooongues années la pauvre petite et gentille victime de son gros méchant mari. Une jolie fable qui ne vous rappelle rien ? Sauf que là où ça coince c’est que pour faire peur au gros-vilain mari tout-pas-beau dont elle se dit encore amoureuse, devant lui elle aura chargé un fusil de chasse. Et oh ! Pas de bol : le canon se sera ensuite refermé tout seul et le coup sera parti à cause d’un fichu doigt qui se sera placé, évidemment tout seul, sur la détente et qui aura fait pression dessus. Ou comment prendre ses juges pour des imbéciles…

Sauf qu’avoir la présence d’esprit d’aller chercher un fusil, de prendre deux cartouches, de les charger, et enfin de pointer le fusil sur quelqu’un soi-disant pour lui faire peur, ça pose une question : pourquoi avoir choisi d’exécuter ce long procédé aux aléas hasardeux à chaque étape au lieu tout simplement d’aller prendre un téléphone et de s’enfermer avec dans les toilettes ? D’enfiler un manteau, de sortir et d’aller demander de l’aide ? Bref si la mort du conjoint n’était peut-être pas préméditée, le process visant à se convaincre que la solution à son problème de couple consiste au moment adéquat d'aller charger un fusil, prémédité ça l’a probablement été un peu plus.

La prévenue était défendue par Maître Tomasini, l’avocate qui avait défendu Jacqueline Sauvage à son second procès. Forcément ! D'ailleurs, il y a deux semaines, on avait eu droit de les voir ensemble raconter leur jolie fable à l’antenne dans l’émission Crime & Faits Divers sur NRJ12. Parfaitement lucide, le présentateur aura alors souligné les incohérences de sa version, visiblement ça n’y aura rien changé dans leur moyen de défense.

Pas étonnant donc que les jurés n'aient trouvé aucune circonstance atténuante à la prévenue. Dans ses réquisitions l’avocat général demandait une requalification en "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner" et 10 ans de prison. Sauf que les jurés iront plus loin et condamneront la prévenu au régime de la réclusion criminelle, plus dur que celui de la prison, pour des faits de meurtre. Forcément, depuis l'annonce du verdict les ultra-féministes adeptes du « Female tears » crient au scandale. Allez, on parie sur la suite : faire appel, puis lettre au président de la République, pour finir évidemment par une grâce présidentielle ? Là encore, le process est connu des saintes-gentilles épouses tueuses du gros-vilain mari et de leurs conseils. Il a fait ses preuves, pourquoi s'en priver ?

Verdict : 10 ans de réclusion criminelle.
Une source : Paris-Normandie.

Note : depuis la publication de cet article la prévenue a décidé de faire appel de la décision rendue par le tribunal.



 

14 novembre 2020, Poulainville : Maman empoisonne ses deux enfants jumeaux de 13 ans, ils ont été retrouvés sans vie.

Décidément, il faudrait que le néo-féminisme radical arrête de laisser croire aux mères qu'elles disposent du droit de tuer leurs gosses. Donc, une fois pour toute c'est NON : ce n'est pas parce qu'on a porté un gamin et qu'on lui a donné la vie qu'on a droit de l'assassiner !

Car c'est la thèse de l'infanticide qui est désormais privilégiée par la police. Elle fait suite aux propos qu'aurait confiés la mère de 42 ans aux voisins. De son propre aveu, ce samedi 14 novembre au matin elle leur aurait fait avaler de force des médicaments, cette version étant corroborée par « la découverte de très nombreux médicaments à proximité des corps et les premières constatations médico-légales réalisées par le médecin légiste sur place » tel que le confie le procureur de la République d'Amiens.

Les corps sans vie des deux adolescents ont été retrouvés dans leur chambre, leurs autopsies seront réalisées en début de semaine prochaine. Le troisème garçon de la fratrie a quant-à lui dû être hospitalisé, ses jours ne seraient plus en danger. Ne vivant plus au domicile car séparé de sa femme, le père s'est immédiatement rendu sur les lieux du drame dès l'alerte. Choqué, il a lui aussi été pris en charge par les pompiers.

Le parquet d'Amiens a ouvert une enquête en flagrance pour homicides volontaires avec préméditation.

Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité (Article 221-4 du Code Pénal).
Deux sources : Le Courrier Picard, Le Bonhomme Picard.



 

12 novembre 2020, Lozanne : Maman tue sa fille de 3 ans parce que papa en demande la garde...

...Un père qui trouvera refuge chez des voisins, tenant dans ses bras sa fillette de 3 ans en sang et agonisante. Quelques minutes plus tôt, vers 6h du matin, les cris de la petite Estelle l'avaient tiré de son sommeil, il s'était alors précipité dans sa chambre et avait découvert une scène d'horreur : sa fille en sang, poignardée à plusieurs reprises au torse, avec au dessus d'elle la mère, un couteau toujours à la main.

De ce que l'on sait à l'heure actuelle, le père aurait récemment fait connaître son intention de demander une séparation de couple ainsi que la garde exclusive de l'enfant. En quelques mots la mère reconnaitra les faits auprès des gendarmes : possessive et narcissique, elle aurait voulu tuer leur fillette. Contrairement à ce qu'écrit Le Progrès dans son édition du 12 novembre, la mère ne se serait elle-même blessée que légèrement à la taille, un simulacre de suicide serait envisagé.

Les secours découvriront la fillette présentant plusieurs types de blessures au torse : plusieurs infligées avec le couteau ainsi que d'autres correspondant à un ciseau qui sera retrouvé sur la scène de crime.

La petite fille décèdera trois heures plus tard des suites de ses blessures.

Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité (Article 221-4 du Code Pénal).
Une source : Le Progrès



 

9 novembre 2020, La Rochelle : Elle avait tabassé son compagnon sur un parking.

« Elle lui a donné un nombre incalculable de coups. Il se laissait faire. C’était une vraie furie. » Ce seront les mots à la barre de la témoin qui se sera alors précipitée pour porter secours à Eric, le jeune homme victime. Sous les coups de sa conjointe âgée de 24 ans, sa tête avait cogné un banc, il était alors tombé à terre, elle avait continué à s'acharner sur lui. Face aux nombreux hématomes présents sur le corps d'Eric, un médecin prononcera 4 jours d’Interruption Totale de Travail.

Pour sa défense la femme violente avouera : « le week-end je bois pas mal, jusqu’à une bouteille d’alcool fort ». Effectivement, la veille et la nuit suivante elle s'était alcoolisée, puis le lendemain matin n'avait pas supporté qu'« une fille avait dit que mon compagnon était mignon. » Elle s'était d'abord retenu, mais avait explosé en déversant sa rage sur son conjoint lorsqu'elle avait découvert un des pneus de sa voiture à plat.

La prévenue était connue de la justice, son casier judiciaire faisait déjà l'objet de deux mentions dont une pour conduite sous l’emprise de l’alcool. Quant à Eric, apeuré et soumis à sa compagne, il n'a pas osé porter plainte contre elle, seul le Parquet était donc présent à l'audience pour le représenter.

Verdict : 4 mois de prison avec sursis.
Une source : Actu.fr



 

4 novembre 2020, Saint-Sauveur : Elle asperge d'essence son mari, puis lui met le feu.

Elle contactera ensuite les gendarmes pour leur déclarer être responsable d'un homicide. Une fois sur place les secours découvriront une maison en flammes qu'ils réussiront à éteindre avec trois lances d'incendie. Les pompiers réussiront à extraire l'époux grièvement blessé.

Les témoins expliqueront avoir entendu une dispute puis la voix du mari hurlant « Elle a pété un plomb, elle a pété un plomb, elle m'a aspergé d'essence et brûlé ! Elle est folle ». Il réitèrera ses propos aux pompiers. Toujours hospitalisé, à l'heure de la rédaction de cet article l'homme est toujours entre a vie et la mort.

Encouru : réclusion criminelle à perpétuité (Article 221-4 du Code Pénal).
Une source : Ouest-France



 

23 octobre 2020, Strasbourg : Elle avait tué ses 5 bébés...

... Puis avait caché leurs cadavres pendant plusieurs années dans un cagibi, avant de les enfermer dans des sacs poubelle et de les abandonner dans la forêt de Galfingue. Le néo-féminisme appelle ça un « déni », un terme pratique pour désigner ce nouveau droit, tacite, de tuer ses propres enfants à partir du moment où on n'en veut pas (ou qu'on n'en veut plus). Modus-operandi clef en main : raconter qu'on ne savait pas qu'on était enceinte.

Pratique ! Surtout lorsque cette allégation est totalement impossible à vérifier. Évidemment ce modus-operandi se doit de n'être qu'à la seule disposition de la mère, pour le néo-féminisme le père n'a pas son mot à dire, égalité des droits Femmes-Hommes oblige. Sans oublier les milliers de couples stériles qui sont en attente d'adopter un enfant, les bébés représentant pour eux de véritables Saint-Graal... Mais bon qu'en a t'on à faire lorsqu'on tue son bébé ? En l’occurrence ce seront cinq bébés.

Les petits corps seront retrouvés en 2003, la mère sera confondue 14 années plus tard suite à un prélèvement ADN effectué après une bagarre entre voisins.

Enfin, rappelons que selon Anne Tursz, pédiatre épidémiologiste de l’INSERM et spécialiste du sujet, les avocats auraient une tendance systématique à lier le néonaticide au déni. Cela poserait une suspicion d'assassinat sur les personnes atteintes d'un véritable déni, autant que ce perçu pourrait servir d'outil judiciaire pour blanchir les femmes conscientes d'être enceintes et commettant un néonaticide. Selon cette spécialiste le vrai déni est une pathologie psychiatrique rarissime et non un concept opérationnel.

Verdict en Appel : 14 ans de réclusion criminelle.
Une source : Le Parisien, Académie Lorraine des Sciences.



 

22 octobre 2020, Quimper : Elle avait accusé son ex-conjoint de pédophilie, tout était faux.

Vos ministres infiltrés par les groupuscules néo-féministes vous le répètent : lorsqu'une femme accuse un homme de viol, de pédophilie, de violences etc. tout est alors "forcément" vrai, parce que les hommes sont "forcément" des êtres pervers sadiques violents et obsédés, et à contrario les femmes "forcément" ne mentent jamais et "forcément" sont des petits anges innocents incapables de commettre le mal (vos ministres préférés les présentent souvent même comme étant totalement impotentes lorsqu'il s'agit pour elles de se défendre, voire des personnes à la limite de la débilité mentale).

Sauf que l’Égalité Femmes-Hommes a de longue date été atteinte en matière de violences et de perversité, l'histoire humaine démontrant même qu'il s'agit d'une constante. Nouvelle démonstration faite grâce à cette femme "parfaite" âgée de 45 ans qui avait décidé de tout mettre en œuvre pour obtenir la garde exclusive de sa fille alors âgée de 9 mois. Nous sommes en 2011. Cela lui sera facile, il lui suffira de s'appuyer sur le principal cliché sexiste que promeut le néo-féminisme : l'homme est un pervers par nature. Qu'à cela ne tienne, cette mère demandera donc à une amie d'attester par écrit que son ex-conjoint est un alcoolique notoire et qu'il est violent. Facile ! Merci les ténor(e)s du néo-féminisme. Sauf que la supercherie sera alors mise à nue par la justice.

4 ans plus tard, nous sommes en 2015, madame remet ça et se rend au commissariat pour raconter que le papa commet des attouchements sur sa fille désormais âgée de 5 ans. Les gendarmes auditionnent la petite fille, aujourd'hui la présidente du tribunal résumera les conclusions de l'enquête de l'époque : « Elle n’a rien révélé des faits ». Affaire classée. Sauf que 6 mois plus tard la mère remet ça à la gendarmerie pour accuser à nouveau le père d'être l'auteur d'actes pédophiles sur sa fille.

Grâce à la complicité de grands médias et de nombreux politiciens, depuis plusieurs années le néo-féminisme pousse les femmes à prendre la Justice pour un gros jambon, sauf qu'heureusement nos juges connaissent désormais la manœuvre. Du coup, aujourd'hui, c'est la mère qui est jugée, et le procureur résumera ainsi son comportement : « À force de répéter à sa fille qu’elle est abusée, elle va finir par le croire, elle se construit dans une haine du père ».

Verdict : 1 an de prison avec sursis probatoire de 2 ans, 3500 € de préjudice moral, obligation de travail et de soins.
Une source : Le Télégramme.



 

20 octobre 2020, Caen : Alcoolisée et sous Xanax, elle étrangle son bébé de 9 mois.

La veille, le papa avait pourtant alerté la police sur le fait que son ex-compagne buvait plus que de raisonnable et que l'enfant était en danger. Une fois sur place la police décidera de ne pas donner suite... Sauf que le lendemain la mère s'alcoolisera à nouveau à teneur de 2,12 grammes par Litre de sang, elle ira ensuite étrangler son fils de 9 mois. Le croyant mort, elle appellera ensuite sa propre mère qui viendra secourir la petite victime en l'emmenant d'urgence à l'hôpital. Il sera sauvé in extremis.

Connue depuis deux années pour être une alcoolique notoire, la mère avait déjà été hospitalisée puis placée sous Xanax avant qu'on ne la laisse rentrer chez elle avec son bébé. Dans la foulée elle s'y ré-alcoolisera, le procureur notant que « les faits sont graves, très graves. Elle a volontairement décidé de s’alcooliser alors qu’elle avait pris des médicaments, elle connaissait les risques ».

Verdict : 5 mois de prison ferme, suivi socio-judiciaire pendant 3 ans, retrait de l'autorité parentale.
Une source : L'Est Républicain.



 

20 octobre 2020, Brives : Ce week-end, elle avait poignardé son conjoint à plusieurs reprises.

Il sera grièvement blessé aux avants-bras et à l'épaule gauche, le nerf radial sera sectionné. Opéré en urgence il s'en sortira avec une ITT de 30 jours. Comme souvent l'homme-victime refusera de porter plainte contre son agresseuse, sa compagne âgée de 43 ans. Il évoquera leur 5 années de vie commune et son amour pour elle.

L'enquête aura déterminé qu'au moment des faits le couple était fortement alcoolisé, la prévenue aura poignardé son conjoint avec un couteau de cuisine et plus de 2 grammes d'alcool par Litre de sang. Jugée en comparution immédiate pour violences par conjointe, avec arme, en état d'ivresse manifeste, pour se défendre elle dira avoir paniqué en voyant le couteau de cuisine sur la table. Enfin, elle tentera de berner ses juges en invoquant des problèmes psychiatriques. L'expert réfutera cette thèse en expliquant qu'au moment des faits son discernement n'était pas altéré.

Verdict : 1 an de prison dont 10 mois ferme, mandat de dépôt, obligation de soins, interdiction de rentrer en contact avec la victime.
Une source : France Bleu.



 

14 octobre 2020, Angoulême : Elle viole sa propriétaire parce qu’« elle est gentille ».

C’est bien connu, les viols, ce ne sont forcément que les hommes qui les commettent. Sauf que, encore une fois, l’actualité démontre que ce genre d’allégation relève du cliché sexiste. Ainsi...

...Cette femme locataire d’un appartement entretenait d’excellentes relations avec sa propriétaire et son mari : tous deux l’avaient même aidée à s’installer en lui offrant des meubles et du linge. Sauf que, ce jour là, c’est seins nus que la jeune femme ouvre sa porte à sa propriétaire venue récupérer une attestation d’assurance. Sans crier gare, la locataire agrippe alors la vieille dame, la jette sur son canapé, la déshabille de force puis lui pénètre de force le sexe avec ses doigts. Elle forcera ensuite sa victime à avaler un liquide dont les experts seront incapables d’en définir la nature. Tant bien que mal la victime réussira à quitter l’appartement et, pantalon en mains, foncera appeler à l’aide auprès d’un commerçant.

Pour se justifier la prévenue déclarera à la barre avoir agit sous l’effet d’un « envoûtement ». Bien évidemment elle tentera de prendre ses juges pour des jambons et prétendra ne se rappeler de rien de cette journée là, sauf que l’expert psychiatre parlera d’amnésie volontaire, le terme exact employé étant « d'opportunité ». Sans oublier que la prévenue osera raconter que son entourage lui avait indiqué qu’il fallait coucher avec une femme pour être « désenvoûtée ». Elle expliquera enfin que « J'ai fait cela parce qu'elle (sa victime, NDLR) était gentille. »

Hélas, les conséquences de ce viol semblent avoir été dramatiques pour la victime. Effectivement l’avocate de la partie civile fera valoir qu’une maladie d’Alzheimer se sera déclarée suite au traumatisme psychologique qu'elle a subi.

Verdict : 7 ans de prison
Une source : Le Figaro.



 

14 octobre 2020, Nancy : Elle tue ses filles pour priver leurs pères de leur amour.

... « Je suis allée prendre la petite, c'est comme si j'étais téléguidée. Je lui ai mis le sac plastique. Je suis restée de marbre puis j'ai refait la même chose avec la grande ». Les deux fillettes de 19 mois et 4 ans en mourront, asphyxiées. Comme défense la mère ne trouvera rien de mieux que de tenter de se déresponsabiliser en racontant qu' « une petite voix » qui lui avait « commandé de tuer ses deux enfants », puis de « se suicider ». Comme par hasard elle n'aura pas réussi à s'asphyxier elle-même après avoir assassinées ses enfants, l'arnaque ayant été confirmée par les experts qui ne décèleront « aucun trouble mental ayant altéré son discernement ».

Au delà de sa jolie petite fable, à la barre il sera surtout démontré que la mère aura assassiné ses deux filles pour priver leurs pères de leur amour. Grâce au néoféminisme victimaire, tenter d'inverser les responsabilités pour duper des juges est devenu le petit jeu à la mode pour toute criminelle. Elle tentera donc de faire croire aux jurés qu'un des pères était un homme violent. Sauf qu'il sera avéré que dans ce couple c'était lui la victime, harcelé par cette femme oppressante et jalouse, capable de le poursuivre jusque sur son lieu de travail.

La préméditation sera retenue, avant de passer à l'acte la mère avait envoyé ce SMS aux pères : « Avec les filles, regarde ce que je vais faire et vous êtes responsables du crime ».

Verdict : 30 années de réclusion criminelle assortie de 20 années de sûreté.
Une source : RTL.



 

13 octobre 2020, Bourges : Multirécidiviste, elle avait poignardé son conjoint au thorax.

« L’autre machin était allongé sur le canap’, j’ai vrillé », c'est sous ces termes que la prévenue a expliqué son geste, commis après consommation d'une bouteille de vodka et d'une autre de whisky. Une plaie de 2 centimètres de profondeur sera constatée sur le thorax de la victime.

Une nouvelle agression qui fait suite à 9 autres mentions sur le casier judiciaire de la prévenue. D'ailleurs elle était déjà sous le coup d'une autre condamnation à 4 mois de prison avec sursis, sursis qui sera immédiatement révoqué.

Verdict : 2 ans de prison ferme plus 1 de prison avec sursis, révocation d'un sursis de 4 mois, obligation de soins contre l’addiction à l’alcool, interdiction d’entrer en contact avec la victime et de paraître à Saint-Amand-Montrond pendant 5 ans.
Une source : Le Berry.



 

9 octobre 2020, Evreux : Elle égorge puis brûle sa victime vivante.

Agonisant et en sang, Eliane, la victime, avait longuement appelé à l’aide, appuyée sur le portillon de la maison de sa défunte mère. Deux hommes passant par là donneront l’alerte, Elle sera héliportée vers un hôpital parisien où elle décèdera deux semaines plus tard. Les blessures qu’elle portait font froid dans le dos : égorgée au couteau elle présentait aussi de nombreuses plaies au visage, des bleus, plusieurs brûlures au 2e et 3e degrés à l’arrière de sa tête, dans le dos et entre autres au niveau des lombaires, démontrant qu’on avait tenter de la brûler vive. Coïncidence, au même moment un incendie s’était déclaré chez Odile, la voisine, précisément dans son garage.

Les enquêteurs découvriront rapidement que la victime avait fait savoir à Odile, la voisine de sa mère, son intention de porter plainte contre X pour le vol récent d’une trentaine de chèques. Sauf que les enquêteurs découvriront que 13 de ces chèques auront été encaissés par la fameuse Odile, pour la modique somme de 1800 Euros.

L’enquête démontrera que pour éviter qu’Eliane ne dépose plainte contre X pour les chèques volés, Odile aura donc décidé de l’éliminer. Elle l’aura appelé le jour du meurtre en prétextant : « Venez vite, vos poules se sont échappées, elles sont sur la route ». Objectif forcer Eliane à se déplacer en vélo jusqu’à la maison de sa défunte mère, maison jouxtant la sienne. L’enquête établira qu’après avoir poignardé sa victime la voisine aura dégradée volontairement sa propre serrure puis allumé un incendie pour carboniser et faire disparaître le corps d’Eliane, au même instant toujours vivante et à l’agonie. Deux semaines plus tard, voyant que l’enquête s’intéressait particulièrement à elle, elle tentera de tromper les enquêteurs en appelant la gendarmerie pour déclarer avoir trouvé une bouteille de produit inflammable et du papier journal à l’arrière de la maison de la victime ; elle rappellera le lendemain pour déclarer qu’on lui aurait volé une bouteille similaire. L’enquête déterminera que deux mois plus tard elle allumera un second incendie pour tenter d’effacer des traces résiduelles de son crime. Enfin elle n’hésitera pas à accuser son propre fils d’être l’incendiaire.

A la barre les propres enfants de l’accusée témoigneront au sujet de leur mère : « Elle disait 'je veux', 'j'aimerais' ou 'j'ai besoin de' avant même de demander de nos nouvelles », « Le seul amour dans la famille, c’était celui de l’argent ». Après moult versions contradictoires la prévenue cèdera finalement « Un jour, Eliane est venue à la maison, elle avait son chéquier avec elle. Et j'ai pris les chèques. [...] J'avoue que j'ai abusé d'elle ».

L’affaire aura copieusement été traitée par les médias régionaux, mais parce que la criminelle est une femme l’omerta de vos médias nationaux s'y applique.

Verdict : 23 ans de réclusion criminelle.
Plusieurs sources : Actu.fr, France 3, Paris-Normandie.



 

8 octobre 2020, Strasbourg : Agressée parce qu'en jupe, le chant du pipeau ?

On se rappelle tous de cette étudiante qui, probablement un peu trop motivée par certaines associations féministes, racontait dans vos médias crédules le 20 septembre dernier avoir été soit-disant insultée et frappée dans la rue parce qu'elle portait une jupe. Vos féministes et ministres préféré(e)s s'étaient immédiatement enflammé(e)s un peu partout dans les journaux et télévisions, tout propos victimaire aux relents féministes pouvant n'être que pure vérité ce Gratin aura donc jugé inutile de s'en remettre à ce qui lui sert de cervelle.

Sauf que, heureusement, le travail policier et judiciaire est un peu plus sérieux que celui associatif-féministe et politique. Du coup une enquête est diligentée, des éléments étayant les propos de l'étudiante sont recherchés, entre autres pour retrouver les soi-disant agresseurs. Les enregistrements des 26 caméras de vidéoprotection tournantes du secteur sont donc visionnés de multiples fois, évidemment dans une large tranche horaire autours de l'heure de la présumée agression. Et qu'est-ce qu'on y voit ? Rien ! Aucun groupe de jeunes gens correspondant aux descriptions, aucune agression, ni même aucun des 15 témoins que la pauuuuuuvre victime avait déclaré avoir aperçus. Tous des gros-vilains-méchants qui, à la croire, auraient détourné leur regard en observant l'agression... Sauf que, visiblement, aucun ne s'y trouvait. Et, comme par hasard, sur aucune des 52 heures d'enregistrement visionnées on n'y voit l'étudiante ! Enfin, pour couronner le tout, la jeune femme avait déclaré regarder une vidéo sur TikTok juste avant l'agression, sauf que... L'enquête de police démontrera qu'au moment des (pseudo)faits son téléphone aura "borné" sur une antenne située à un tout autre endroit que celui de la prétendue agression.

Malgré tout ceci, parce que le ridicule ne tue pas (et parce que grâce au néoféminisme nous vivons dans une société gynocentrée qui aime se raconter des fables de princesses victimes du Grand-Méchant Loup, et y croire), la plaignante est toujours officiellement considérée comme victime... Enfin, les Dernières Nouvelles d'Alsace révèlent que la plaignante est modératrice du groupe Facebook STRAS-DEFENSE, qui se propose de patrouiller la nuit dans les rues de Strasbourg pour veiller à la sécurité des femmes. Il semblerait bien que certain(e)s de leurs membres aient tellement peu de boulot sur le terrain qu'ils/elles aient besoin de s'en inventer...

Encouru : 6 mois de prison et 45 000 Euros d'amende en cas de dénonciations mensongères (Article 434-26 du Code Pénal).
Une source : Dernières Nouvelles d'Alsace.



 

7 octobre 2020, Brest : Elle fait usage de la contrainte pour tenter de violer ses amis.

Ce soir là cette femme d'une trentaine d'années est invitée à passer une soirée chez un couple d'amis, sauf que cela va mal finir. Le moment de se séparer venu l'invitée refuse de quitter l'appartement sans avoir eu au préalable une relation sexuelle avec le couple. Le couple refuse, qu'importe pour Madame l'invitée qui réitère ses exigences : elle ne partira pas sans avoir couché avec le couple. Heureusement l'épouse réussira à s'eclipser pour appeler à l'aide la Police.

Vers 2h30 les policiers débarqueront dans l'appartement pour secourir le couple pris en otage chez lui, ce qui permettra aux Forces de l'Ordre d'être témoin de nouvelles insistances. Ils finiront par convaincre l'agresseuse de quitter l'appartement avant de s'en aller eux-même.

Nous ne pouvons que noter que lorsque c'est un homme qui fait usage de la contrainte sur une femme pour tenter d'obtenir une relation sexuelle, vos néo-féministes préférées et la quasi-totalité de vos journaux télévisés se jettent sur l'affaire pour invoquer le Code Pénal qui précise que la seule tentative de faire pression sur une personne pour essayer d'obtenir une relation sexuelle sous la contrainte est punie exactement de la même peine que si la relation sexuelle avait eu lieu, c'est à dire 15 années de réclusion criminelle. Là, silence total dans les bouches féministes et dans les colonnes du quatrième pouvoir : c'est une femme qui commet ces mêmes faits, c'est donc moins grave que si ça avait été un homme, Égalité Femmes-Hommes oblige. Accrochez-vous bien pour découvrir les suites données à cette affaire :

Verdict : Classement sans suite.
Une source : Actu.fr.



 

3 octobre 2020, Saverne : Violente envers son mari et ses enfants, elle s'en amuse à la barre.

Un comportement jugé désinvolte lorsque face à ses juges elle prend ses juges pour des jambons et tente d'accuser son conjoint. Sauf qu'à la maison c'est elle qui injurie, qui crache sur son mari et ses enfants, qui les frappe. La procureur dénoncera le comportement irresponsable de la prévenue : face aux « preuves accablantes, elle nie ». Les psychiatres confirmeront une personnalité « intolérante, impulsive » qui « supporte mal la contradiction ». En s'adressant à la prévenue la procureur demandera aux juges de se montrer sévères : « Les violences sur mineurs, comme celles sur votre conjoint, doivent cesser ! »

Verdict : 6 mois de prison avec sursis probatoire pendant une durée de deux ans, obligation de se soins, de travailler, interdiction de paraître au domicile conjugal.
Une source : Dernières Nouvelles d'Alsace.



 

29 septembre 2020, Dieppe : Jalouse, elle raconte une fable de femme battue aux policiers.

Suite à cette affaire le néoféminisme victimaire se sera évidemment empressé d’incrémenter son compteur de gentilles-saintes-pures-vierges-innocentes femmes violentées par un méchant-pervers-sadique conjoint…
Sauf que, comme trop souvent, tout était bidon.

Les faits : récemment séparée de son conjoint Madame ne peut vivre sans lui et veut absolument qu’il se remette avec elle. Sauf que lui il n’en veut pas et qu’il lui répond « Non ! » Or Madame sait que grâce à MeToo, en France comme partout dans le Monde, toute femme dispose depuis peu d’une arme pour contraindre sentimentalement tout homme, voire pour lui imposer des relations sexuelles : il lui suffit simplement d’inventer une jolie fable où elle se dira victime de violences conjugales. Facile, merci MeToo ! Qu’à cela ne tienne, Madame décide donc de se rendre au commissariat de police ce mardi et de raconter qu’à la suite d’une dispute conjugale Monsieur l’aurait insultée, l’aurait tirée par les cheveux, rouée de coups et tutti quanti…

Mais c’était sans compter que depuis quelques années les policiers du pays sont gavés par les tentatives de lavages de cerveaux opérées par des délégations d’ultraféministes expressément dépêchées par certains ministères, avec pour objectif de leur faire avaler que toutes les femmes qui se diraient victimes de violences conjugales seraient forcément de bonne foi. Sauf que des mythos menteuses et malines, les policiers en ont reçu bien des dizaines de milliers à travers tout le pays avant la mise en place de ces délégations officielles de lessiveuses de la pensée. La jolie version de la plaignante sera donc vérifiée, et c’est là que ça coince : lorsque Monsieur était sensé faire le gros vilain, en fait… Il faisait les courses, la géolocalisation de son portable en atteste. Madame est donc poursuivie au pénal pour dénonciations calomnieuses ayant entraîné des recherches inutiles.

Vous remarquerez qu'aucun de vos médias classiques n'a mentionné cette affaire, alors que si monsieur avait oublié de prendre son portable pour aller faire les courses alors quasiment tous se seraient jetés sur la version néoféministe de l'affaire, surtout sans chercher à réaliser le moindre travail d'investigation de qualité journalistique. Objectif : dénoncer au plus vite une soit-disante "Nouvelle affaire de femme battue par son ex-conjoint violent" et de correspondre là aussi à ce que les délégations de lessiveuses néoféministes leur enseignent dans les écoles de journalisme.

Ne pas oublier son téléphone portable, les vérités juridiques et médiatiques tiennent décidément à peu de chose...

Encouru : 5 ans de prison et 45 000 euros d’amende (Article 226-10 du Code Pénal).
Une source : Actu.fr.



 

19 septembre 2020, Tulle : Elle poignardait régulièrement son conjoint.

En juillet dernier une dispute de couple avait dégénéré et pour imposer son point de vue elle n'avait rien trouvé de mieux que de poignarder son compagnon au thorax. Amoureux et soumis l'homme victime fera tout pour protéger son agresseuse et lui éviter des poursuites. Rebelote un mois plus tard, toujours sur fond de dispute conjugale, elle s'empare d'un couteau et lui sectionne un tendon, l'emprise psychologique de l'agresseuse sur son compagnon permettant aussi d'écarter toute poursuite judiciaire. Mercredi dernier énième dispute conjugale, lui se réfugie aux urgences de l'hôpital, elle l'y rejoint pour lui asséner un coup de poing qui le mettra à terre.

Notons que si exactement les mêmes faits de violences avaient été commis par un homme sur une femme sous son emprise, ces faits auraient été dénoncés dans tous vos journaux nationaux, sur des affiches collées sur les monuments des grandes villes et auprès des décideurs du pays, ça aurait fait un buzz monstre ! Bon là, la victime est un homme, l'agresseur une femme, aux yeux de vos médias, des associations féministes et des décideurs du pays cette actualité est donc à peine digne de la rubrique des chiens écrasés d'un quotidien régional et pour le reste : Chut !

Verdict : 1 an de prison intégralement assorti du sursis, 2 années de probation avec obligation de soin, 210 heures de travaux d'intérêt général.
Une source : La Montagne.



 

18 septembre 2020, Cherbourg : Sa chérie lui lance : « Je vais te défoncer la gueule, je vais te tirer par les cheveux, te mettre à la poubelle, je vais te tuer ! » et traite sa victime de « chienne », « pute », « grosse merde ».

Pour le féminisme contemporain la jalousie maladive est forcément portée par le gêne masculin. Sauf que cette compagne-ci aura tellement été emprunte de stoïcisme et de retenu qu'elle ira jusqu'à distribuer les gifles, des coups de poings sur sa chérie, sans oublier au passage de la traîner par les cheveux... Quelques semaines plus tard, toujours par jalousie, elle va la rouer de coups, au corps, au visage, la traîner au sol, détruire plusieurs objets comme ce téléphone et des biens sentimentaux de sa victime telle sa guitare de collection. Placée sous contrôle judiciaire la tortionnaire n'aura alors plus le droit de contacter sa victime. Sauf qu'en avril et mai 2020 la furie détruira les volets de la demeure de sa compagne, sans oublier de la harceler par moult appels téléphoniques, sms, menaces de tortures et de mort.

Vous remarquerez que l'image servant d'illustration à l'article d'Actu.fr montre un poing d'homme : dans la conscience collective la violence conjugale se doit d'être forcément décrite comme masculine. A quand un article traitant de violences conjugales féminines avec comme illustration un poing correspondant aux faits : un poing féminin ? Ceci dit, ne jetons pas la pierre à ce média qui aura eu le bon de traiter cette information. Il n'est pas responsable du fait que les éditeurs et diffuseurs images soient baignés de clichés sexistes.

Verdict : 8 mois de prison avec sursis, plus de 2900 Euros de préjudices et frais de justice.
Une source : Actu.fr.



 

25 août 2020, Annecy  : Elle traîne son ex-conjoint agrippé au capot d'une voiture sur 5km.

Ca commence par une dispute entre cette femme de 44 ans et son conjoint, objet du litige : le droit de garde et de visite de leur fille. Sauf que lorsqu'elle monte de force l'enfant de 9 ans dans la voiture, il comprend qu'elle fait du forcing. Pour l'empêcher de partir il se couche alors sur le capot de la voiture, sauf qu'elle se met au volant, elle démarre et l'entraîne ainsi sur la route. En danger, il tentera de la stopper par tous les moyens à sa disposition, arrachant les essuie-glaces et brisant les vitres.

Dans sa folie furieuse la femme le traînera ainsi sur 5 kilomètres. Après plusieurs minutes à voir la mort défiler sous ses yeux, il sera sauvé grâce à un ralentissement de la circulation.

D'abord placée en garde à vue, puis présentée au parquet d'Annecy, la conductrice a été remise en liberté et placée sous contrôle judiciaire. Poursuivie pour violences volontaires sur ex-conjoint en présence d'un enfant mineur,elle comparaîtra devant un tribunal le 1er février 2021. Elle est aussi poursuivie pour défaut d'assurance.

Notons que si ça avait été l'inverse, la femme sur le capot et l'homme au volant, on en aurait entendu parler dans tous les JT télévisés de France-Télévision et d'ailleurs : "tentative de féminicide ! Conjoint sadique, pervers etc...". Toutes les associations féministes auraient été vent debout et Murielle Robin nous aurait peut-être même pondu un film. Bon là c'est un homme qui risque de mourir, donc aux yeux des médias c'est moins grave, voire c'est normal...

Encouru : 3 ans d'emprisonnement et 45 000 euros (Article 222-13 alinéa 4ter du Code Pénal).
Une source : France-Bleu.



 

21 août 2020, Angers : Rancunière, elle attend des mois pour la poignarder.

Pour le néo-féminisme c'est une évidence, si un sexe définit la compréhension, le pardon, l'abnégation, c'est celui féminin. Sauf que...

... L'affaire prend sa source il y a plusieurs mois. Une femme SDF de 32 ans vole les affaires personnelles d'une autre, de 42 ans, avant de finalement les lui rendre. Sauf que la vengeance est un plat qui se mange froid, au point que la victime de ce vol enquête pour localiser son ancienne voleuse et se rendre chez elle. Elle l'asperge alors de gaz lacrymogène et la poignarde à deux reprises avec un couteau.

Verdict : 1 an de prison ferme et 6 mois de prison avec sursis. Un mandat de dépôt a été prononcé, elle a été incarcérée.
Une source : Ouest-France.



 

16 août 2020, Epinay-sur-Seine : Elle tue son amant puis est placée à l'hôpital.

Selon le voisinage, cette soirée entre les deux amants se serait déroulée sur fond d'alcool et de drogue. Le couple s'était formé depuis peu, l'homme qui vivait chez des proches partis en vacances avait invité sa maîtresse. Sauf que la soirée se passe mal, une dispute éclate. La femme prend alors un couteau et assène un coup au coeur de son amant. Elle le laissera ensuite se traîner hors de chez lui, des traînées de sang seront retrouvée sur plusieurs dizaines de mètres à l'extérieur. Elle-même se serait alors préparé un bagage, puis se serait rendue dans une clinique pour faire soigner ses propres blessures superficielles.

Réanimé pendant quelques instants par les secours, l'homme mourra finalement de ses blessures, le coup de couteau s'étant révélé trop profond et ayant touché un organe vital. L'auteure présumée du coup mortel aurait tenu des propos incohérents, elle a donc été placée dans le service de psychiatrie d'un hôpital. Elle y serait déjà connue pour plusieurs séjours.

Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité si elle est déclarée responsable au moment des actes (Article 221-4 du Code Pénal).
Une source : Le Parisien.



 

13 août 2020, Oullins : Il refuse d'être violé par sa copine, elle le poignarde.

En France, le concept d'égalité Femmes-Hommes se traduit par des positions sociétales discriminatoires bien étranges, voire criminelles. Par exemple si un homme contraint une femme à avoir une relation sexuelle alors il s'agit d'un viol, mais si une femme contraint un homme à avoir une relation sexuelle alors, malgré la loi qui stipule que c'est un viol, notre société considère ceci comme normal, le néo-féminisme considérant même qu'il devrait se percevoir comme chanceux.

C'est ce qu'a tout d'abord vécu ce jeune homme dimanche dernier, après que sa compagne fortement alcoolisée l'invite chez elle pour le piéger et lui imposer une relation sexuelle qu'il refuse. Pour le contraindre à céder elle n'hésitera pas à lui voler ses lunettes pour qu'il ne puisse plus s'orienter, à le séquestrer en verrouillant la porte de sortie, puis à voler son téléphone portable pour l'empêcher d'appeler à l'aide. Ainsi contraint il ne pourra alors que subir l'assaut sexuel.

Sauf que l'agresseuse a semble-t-il un petit problème de libido, le même qui mène le néo-féminisme à traiter un homme d'obsédé sexuel : elle voudra immédiatement un second rapport sexuel après le premier, et comme c'est une femme lui se devrait de se considérer chanceux et se soumettre. Mais lui, il n'en a pas envie et il le fait savoir en disant - Non ! - Une altercation s'en suit, elle saisit alors un couteau et poignarde son compagnon au niveau de la poitrine.

Miraculeusement il ne sera que légèrement blessé et s'en sortira avec 5 jours d'Incapacité Totale de Travail. À la barre, parce que les clichés sur les hommes - qui seraient tous nés forcément violents - ont le vent en poupe, la prévenue tentera de s'en servir pour prendre ses juges pour des jambons et leur faire croire qu'elle avait été rouée de coups, son compagnon s'étant débattu au moment de l'assaut sexuel. Sauf que ça ne prendra pas. Et comme d'habitude pas un mot dans la bouche des néo-féministes pour relater l'affaire : la victime est un homme, tout est donc de sa faute, au lieu de dire - non - il n'avait qu'à dire - oui - ou se taire et se laisser violer. Salaud de mec !

Verdict : 1 an de prison ferme, obligation de soins.
Une source : Lyon-Mag.



 

12 août 2020, Versailles : Elle avait frappé puis écrasé la jambe de sa victime avec sa voiture.

Pour le néo-féminisme, les femmes sont le flegme incarné. Donc si un automobiliste en frappe un autre puis tente de le tuer, c'est que forcément il s'agit d'un homme ! Sauf que...

...Au volant de sa Toyota Yaris cette femme de 28 ans jugera trop lente la conduite de sa victime. Elle effectuera donc un dépassement interdit puis pilera de colère en apercevant un appel de phare dans son rétroviseur. Une fois hors du véhicule elle ira frapper sa victime qui lui fait remarquer que si on veut être respectée, il faut commencer par respecter les autres. Le coup propulse les lunettes de la conductrice sexagénaire sur la chaussée. Cette dernière sort de sa voiture pour tenter de les récupérer, c'est alors qu'elle voit la Toyota lui foncer dessus. Elle s'agrippera au capot du véhicule mais passera dessous et verra sa jambe écrasée une première fois. Cela ne suffisant pas aux yeux de la conductrice de la Yaris, celle-ci qui s'arrêtera, passera la marche arrière et lui écrasera une seconde fois la jambe.

La jambe en sang se révélera brûlée par les pneus, mais aucune fracture ne sera heureusement constatée. A la barre la prévenue racontera ne pas avoir voulu commettre « un acte criminel », « Je n'ai pas vu cette femme. Je ne voulais pas la blesser. C'est un trou noir ».

Verdict : 2 ans de prison, dont 12 mois avec sursis.
Une source : Le Parisien.



 

5 août 2020, Saint-Nazaire : Récidiviste, elle frappe son mari et poursuit son fils avec une fourche.

Elle avait déjà été condamnée le 15 juin dernier pour des faits de violences sur son mari, le fils avait même photographié sa mère fumant une cigarette, assise sur le corps de son mari étendu par terre. Les gendarmes arrivés sur place témoigneront à la barre et parleront d' « une furie quand elle a bu, elle est ingérable ». Un des enfants avait alors déclaré que sa mère buvait jusqu'à 2 bouteilles de vin par jour plus le cubi. Elle avait alors été condamnée à 1 an d'emprisonnement avec sursis probatoire renforcé, ainsi qu'à l'interdiction d'entrer en contact avec son mari pendant 2 ans.

Sauf que...

Elle a remis ça, à peine 2 semaines après sa condamnation. Ce 2 juillet 2020 son fils réussit son CAP, elle ne peut donc s'empêcher de fêter ça en buvant plus que de raisonnable. Du coup ça se finit avec le fils contraint de s'enfermer dans la véranda parce que sa mère s'était mise à le poursuivre armée d'une fourche. La furie réussissant à entrer dans la véranda, le père de 72 ans tentera de s'interposer mais sera roué de coups des mains de sa femme.

A l'audience d'hier l'avocate générale insistera au sujet de la femme : « C'est le énième fait qui lui est reproché depuis dix ans », « son fils de 14 ans en a marre de témoigner devant les gendarmes, elle est dans le déni ».

Verdict : 6 mois de prison ferme.
Une source : Ouest-France.



 

5 août 2020, Versailles : Elle avait affamé puis étranglé son fils.

C'est l'école qui avait donné l'alerte après que des marques rouges aient été constatées autours du cou de l'enfant. Il expliquera avoir été étranglé par sa mère parce qu'il avait refusé de faire ses devoirs. Ce même soir les voisins avaient alerté les secours suite aux cris de l'enfant, la police découvrira un appartement baigné dans l'odeur d'urine de chien, et un réfrigérateur vide. La nourrice et les grands-parents confirmeront accueillir un enfant affamé, une fois chez eux il se jetait systématiquement sur la nourriture. La mère sera condamnée aussi pour privation de soin : atteint d'une maladie génétique son état de santé nécessite des consultations médicales que la maman n'auraient jamais honoré, elle lui aurait faire perdre 46 jours d'école, occasionnant un grave retard sur son éducation.

Pour sa défense la mère dira qu'elle ne voulait « pas faire de mal » car « il fait partie de moi », « Je ne me suis pas rendu compte de mon état de fatigue. » L'avocat de l'enfant quant à lui notera une « femme qui a manqué à toutes ses obligations et qui tente encore aujourd'hui d'esquiver les reproches ».

Verdict : 8 mois de prison avec sursis.
Une source : Le Parisien.



 

30 juillet 2020, Laval : Maman s'était déchaînée sur son conjoint et sa fille.

Contrairement à ce que scande le néo-féminisme, l'alcoolisme, les violences conjugales et familiales sont aussi le fait de femmes, de mamans. Preuve en est cette quadragénaire qui admet boire tous les jours : en juin dernier elle avait griffé, craché et lancé un verre à la tête de son mari, puis avait griffé, giflé et insulté sa fille. Elle vient d'être reconnue coupable et condamnée pour violences familiales.

Verdict : 4 mois de prison avec sursis, 900 Euros à verser à chacune de ses victimes pour les préjudices subis.
Une source : 24 Matins.



 

22 juillet 2020, Périgueux : Récidiviste, à sa sortie de prison elle massacre sa compagne.

Contrairement à ce que le néo-féminisme et leurs médias aux ordres nous font croire, les violences conjugales n'ont ni sexe, ni genre. Âgée de 39 ans, en octobre dernier cette femme avait déjà été condamnée à de la prison ferme pour des violences sur sa compagne. Pourtant sous le coup d'une interdiction de revoir sa conjointe, dès sa sortie de prison en février dernier elle l'avait retrouvée et en 4 mois l'avait frappée à maintes reprises, au point que la victime avait déposé une dizaine de mains courantes faisant état de violences conjugales des mains de sa tortionnaire.

Les violences étaient d'une sauvagerie inouïe : le 17 juillet les forces de l'ordre alertées par des voisins retrouveront la victime en sang, le médecin légiste constatant un traumatisme crânien, plusieurs fractures au nez et des ecchymoses sur tout le corps... 6 jours d'ITT seront prononcés.

Verdict : 1 an de prison ferme assorti d'un mandat de dépôt, plus 6 mois de prison ferme suite à la révocation d'un sursis.
Une source : Ouest-France.



 

20 juillet 2020, Morcenx-la-Nouvelle : Mise en examen pour le meurtre de son conjoint, elle est laissée libre.

Elle en a de la chance : celle d'être née femme et de vivre dans un pays où les femmes ont le droit tacite de tuer leur conjoint... A 31 ans elle est mise en examen pour avoir tué son conjoint le 10 avril dernier en le poignardant avec un couteau après une dispute. Sauf que les préjugés sexistes colportés par le néo-féminisme font force de loi en France : les femmes y sont présumées irresponsables de tout crime conjugal qu'elles pourraient commettre. Du coup, là où tout homme commettant le même geste serait immédiatement présumé coupable et jeté en prison, Madame a d'abord été placée dans l'unité psychiatrique d'un hôpital avoisinant avant de passer quelques heures de garde à vue et d'être relâchée.

Depuis, placée sous contrôle judiciaire elle vit libre de ses mouvements et n'a comme seule interdiction que de ne pas retourner dans le secteur du crime. Elle peut dire merci à la Grande Cause Nationale de l'Egalité Femmes-Hommes, cette cause qui donne tacitement le droit à toute femme de tuer son conjoint avec la bénédiction de nos institutions, et qui présume tout homme coupable avant même la fin de l'instruction judiciaire.

Après ça, il parait que nous vivons dans une société patriarcale dominée par les hommes...

Encouru : réclusion criminelle à perpétuité (Article 221-4 du Code Pénal).
Une source : France Bleu.



 

2 juillet 2020, Annecy : Elle dit « ne pas se souvenir » et avoir « peut-être secoué » le petit garçon « pour l’aider ».

L’avocate de la famille de la victime résumera ainsi la défense de l'assistante maternelle et le dossier : « C’est celui d’un cas classique de syndrome du bébé secoué (SBS) avec une assistante maternelle qui dit qu’elle ne se souvient pas mais qu’elle l’a peut-être secoué. Et que si elle ne se souvient pas, comme elle est bienveillante, elle n’aurait jamais pu faire ça. » La procureure expliquera que la prévenue est capable « d’une grande violence et d’une grande impulsivité ». « Le syndrome de bébé secoué a été posé dès le 23 janvier avec la présence d’importants hématomes sous-duraux. »

L'enfant qui au moment des faits n'avait que cinq mois est aujourd'hui âgé de 5 ans. Lui et ses proches sont désormais condamnés à une vie difficile : son côté droit est définitivement paralysé, il est victime de crises d'épilepsie chroniques et porte une prothèse oculaire.

Verdict : 7 ans d'emprisonnement.
Une source : France Bleu.



 

1er juillet 2020, Périgueux : Elle frappe au visage son compagnon pour l'expulser.

Les extrémistes féministes amènent lentement notre société à croire que les hommes battus ça n'existe pas, que les femmes ne s'expriment qu'avec flegme, mesure et retenue... Du coup, grâce à ce cliché autant misandre que misogyne soutenu par le féminisme contemporain, certaines femmes pensent avoir le champs libre pour imposer leur point de vue à leur conjoint(e) avec les poings.

Cet homme de 36 ans en aura fait les frais en cette fin de mois de juin. Parce qu'elle voulait le mettre à la porte, vers 3 heures du matin, sa compagne ivre n'aurait pas hésité à le frapper à de multiple reprises au visage. Expulsé, il alertera les secours et précisera que ce n'était pas la première fois que sa chérie lui imposait ses choix de cette manière. Celle-ci a finalement été placée en cellule de dégrisement puis en garde à vue.

Encouru : 3 ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende (article 222-13 du Code Pénal)
Une source : Sud Ouest.



 

26 juin 2020, Amiens : Elle avait abusé sexuellement de son petit garçon pendant 10 ans.

C'est à l'âge de 5 ans que ce petit garçon déficient mental avait commencé à subir les premières agressions sexuelles infligées par sa mère, et cela durera jusqu'à ses 15 ans. C'est en 2016 que le père découvrira le calvaire de son fils et qu'il décidera d'affronter les préjugés sociétaux pour porter plainte contre sa femme.

Malgré les preuves accumulées contre elle et le fait qu'elle ait été déjà condamnée à 8 ans de prison en première instance, la prévenue niera les faits à la barre. Rappelons que sur le plan des traumatismes et des séances de psychothérapies ce garçon et son papa ont pris perpétuité.

Verdict : 6 ans de prison.
Une source : Le Courrier-Picard.



 

23 juin 2020, Montluçon : Lors d'une dispute, elle avait tué son conjoint à coups de couteau.

C'est trop cool d'être une femme : lors d'une dispute sur fond d'alcool on peut même se permettre de tuer son conjoint sans risquer grand chose. Un verdict qui confirmera que la vie n'a que peu de valeur lorsqu'on est né homme, d'ailleurs il n'y aura aucune association de lutte contre les violences conjugales pour se porter partie-civile à ce procès. Accrochez-vous bien pour lire le verdict prononcé...

Verdict : 5 ans de prison, dont 4 avec sursis.
Une source : La Montagne.



 

23 juin 2020, Nîmes : Tuée par sa mère parce qu'elle ressemblait à son père.

C'est l'explication finale que donnera au juge cette mère en instance de divorce. Sans oublier qu'à ses yeux la petite Zélia, son bébé de 11 mois, pleurait beaucoup trop. Elle n'avait alors pas hésité à la frapper à mort, puis avait tenté d'accuser ses autres enfants d'avoir blessé mortellement le bébé.

Les jurés suivront les réquisitions de l'avocat général.

Verdict : 18 ans de réclusion criminelle.
Une source : Objectif Gard.



 

15 juin 2020, Saint-Nazaire : La furie frappait son mari puis s'asseyait sur son corps pour fumer.

C'est le fils qui aura immortalisé la scène pour la présenter à l'audience : sa mère fumant une cigarette, assise sur le corps de son mari étendu par terre après avoir été roué de coups. Les années passant cette mère avait pris le dessus sur son conjoint de 72 ans, le battant régulièrement, sans oublier au passager de frapper son fils qui tentait en vain de protéger son père.

Les gendarmes arrivés sur place témoigneront à la barre et parleront d' « une furie quand elle a bu, elle est ingérable ». Un des enfants déclarera que sa mère boit jusqu'à 2 bouteilles de vin par jour plus le cubi.

Verdict : 1 an de prison avec sursis probatoire renforcé, interdiction d'entrer en contact avec son mari pendant 2 ans.
Une source : France Bleu.



 

10 juin 2020, Créteil : Elle infligeait à son fils « un traitement de prisonnier de guerre ».

Ce seront les mots du procureur. L'enfant de 14 ans subissait de longue date avec sa soeur de 19 ans les violences de cette mère. Mais le cadet avait droit à un traitement très spécial : il était tout d'abord contraint de recopier les biographie de dictateurs. S'il refusait il était placé à genoux sur le manche d'un balai, mains derrière la tête, contraint de rester ainsi plus de 7 heures d'affilé. Exténué et osant faire état de ses souffrances, le garçon était alors bâillonné avec du ruban adhésif par sa mère aidée d'une amie assistante maternelle. Il n'avait alors droit qu'à 4 poses, trois pour aller aux toilettes et une pour manger. La présidente du tribunal précisera : « L’enfant est tombé deux ou trois fois, et à chaque fois, sa mère l’aurait redressé en le tirant par les cheveux ».

Vous remarquerez qu'aucun de vos journaux favoris n'aura traité cette information. Que voulez-vous : aux yeux de la presse traditionnelle les femmes sont toutes forcément de pures parfaites anges martyres de notre société, et surtout elles doivent le rester aux yeux de leurs lecteurs. Du coup, lorsqu'une de ces saintes dérape alors forcément c'est l'omerta.

Verdict : 3 années de prison dont 2 avec sursis pour la mère, 2 années d’emprisonnement dont 1 avec sursis pour l'amie assistante maternelle.
Une source : MagicMaman.com.



 

9 juin 2020, Gennevilliers : Elle avait fracassé le crâne de sa petite fille...

...Une petite fille d'à peine 5 mois qui en mourra après 3 semaines de coma. L'enquête déterminera que sa soeur jumelle avait aussi été victime de nombreuses fractures des mains de leur mère. Le légiste n'hésitera pas à insister sur le fait que toutes les blessures constatées étaient d'une gravité très supérieure à celles constatées sur des enfants secoués.

Verdict : 18 ans de réclusion criminelle pour la mère, 5 ans pour le père pour défaut de soin.
Une source : Actu.fr.



 

8 juin 2020, Chamalières : battues par maman, les deux filles avaient été mises à la porte...

Une mère qui se mettra toute nue devant les policiers puis tentera de s'étrangler alors qu'ils ramenaient les deux filles retrouvées dans un square avec leurs affaires. Les deux filles témoigneront que leur mère leur mettait « claques, des tapes sur la tête », « c’est souvent qu’elle boit trop, maman ».

Une mère prostituée qui reconnaitra etre alcoolique, mère de deux autres enfants déjà placés et depuis devenus adultes, une femme qui en prison tentera de se suicider en se pendant avec un vêtement.

Verdict : 6 mois avec sursis, période probatoire de 3 ans, obligation de soins. Elle conserveson autorité parentale.
Une source : La Montagne.



 

4 juin 2020, Caen : L'aide ménagère pille sa cliente hémiplégique.

Elle avait subtilisé la carte bancaire de sa cliente âgée de 60 ans, puis s'était rendue sous les caméras d'un distributeur pour y retirer plus de 3000 Euros. Finalement elle ira dépenser cette somme en n'oubliant pas de présenter sa propre carte de fidélité...

L'avocat de la victime précisera : « cela a duré plus de 15 jours. Face à l’évidence elle a dû reconnaître les faits, et s’est alors engagée à rembourser, mais rien n’a été fait ! ». La prévenue avait déjà été condamnée pour des faits de violences...

Verdict : 7 mois de prison ferme, 3371 Euros de préjudice matériel, 1000 Euros de préjudice moral, 900 Euros de frais de justice, interdiction d’exercer une activité en lien avec des personnes vulnérables.
Une source : Actu.fr.



 

3 juin 2020, L'Union : Un septuagénaire abattu de deux balles par sa femme.

C'est la thèse privilégiée par la police. Il aura suffit de deux balles pour qu'une femme employée au conseil municipal exécute son époux, un commercial à la retraite. La première balle aurait traversé le cou de cet homme de 71 ans, la seconde l'aurait atteint au thorax.

La tueuse aurait été retrouvée blessée, une plaie au thorax, elle subira une intervention chirurgicale dans la soirée. Les deux conjoints souffraient de différentes pathologies susceptibles d'expliquer le drame.

Une enquête a été ouverte pour « homicide volontaire par conjoint ».

Encouru : réclusion criminelle à perpétuité (Article 221-4 du Code Pénal).
Une source : La Dépêche.



 

28 mai 2020, Cap-Sizun : Elle avait frappé son mari au visage à coup de crosse de fusil.

Evidemment pour se défendre elle inventera la fable de la pauvre sainte fragile et douce épouse frappée moult fois de par le passé, avec un couteau, par son gros méchant sadique et pervers mari... Un couteau probablement en plastique à moins qu'il ne soit imaginaire étant donné qu'il n'existe aucune plainte ni aucun constat de blessure de la part d'un médecin.

Bon, mettons la jolie fable sexiste et convenue de côté et revenons-en aux faits ! La pauvre et douce épouse, qui se trouve être complètement bourrée et en colère pour une banale histoire de grille à fermer, ira chercher son fusil et des cartouches calibre 12 avant de tabasser son mari au visage, précisément à l'arcade sourcilière et à un oeil, avec la crosse du fusil. Une sainte vous dit-on ! Et puis, comme si ça ne suffisait pas elle y rajoutera quelque gifles.

Comme dans de nombreuses affaires de violences conjugales la prévenue expliquera que « le coup est parti seul », et l'homme victime tentera maladroitement de disculper sa tortionnaire en expliquant que cet acharnement à son encontre était « involontaire » de la part de sa femme... Comme si chercher un fusil, des cartouches, frapper un conjoint au visage avec une crosse de fusil puis le gifler pouvait se faire « seul » ou de manière « involontaire »... Le pauvre naïf.

Verdict : 4 mois de prison avec sursis, interdiction de détenir ou de porter une arme soumise à autorisation pendant 5 ans.
Une source : Ouest-France.



 

28 mai 2020, Saint-Malo : Elle avait poignardé son mari devant leurs enfants.

Avec ce constat : plus le néo-féminisme se tient à distance d'affaires judiciaires graves plus aisément les femmes prévenues et leurs avocats reconnaissent les faits. « Ce n’est pas la première fois que je lui donne un coup de couteau, aura-t-elle donc avoué. Ce qui s’est passé est grave, cela aurait pu lui être fatal. » L'avocate de la prévenue concèdera : « On pourrait avoir trois enfants orphelins de leur père, c’est extrêmement grave et ma cliente doit être sanctionnée ».

Pour une fois toutes les parties furent donc d'accord : au moment des faits la prévenue « ... avait bu deux bouteilles de mousseux. On s’est disputé et elle est allée dans la cuisine. Elle est revenue avec un couteau et m’a donné des coups. »

Nouvelle démonstration que moins les parasites néo-féministes se mêlent de justice, mieux les protagonistes d'affaires judiciaires, victimes, prévenues et magistrats s'en portent.

Verdict : 2 ans de prison avec sursis.
Une source : Ouest-France.



 

29 avril 2020, Caen : Multi-récidiviste, elle avait frappé son mari avec un balai...

... Et tentera ensuite de faire gober au tribunal qu'elle était la victime de celui-ci. Sauf que les tribunaux en ont marre qu'on les prenne pour des jambons, autant qu'ils en ont marre de subir depuis quelques mois les tentatives de lavage de cerveau de la part de certain(e)s ministres et associations porteuses de doctrines de haine victimaires et discriminatoires. Ces pressions officielles pour leur faire avaler de force de sempiternelles fables, telle celle du - ouin ouin c'est moi la grande victime - servie à toutes les sauces et de manière systématique par les prévenues violentes, ça ne prend heureusement plus ! Ainsi, en cherchant un peu dans leurs dossiers, les magistrats ont découvert que Madame n'en n'était pas à son coup d'essai : précisément à son quatrième procès pour faits de violence. Sans oublier qu'au moment des faits elle était sous l'emprise de l'alcool à teneur de 1,85 mg/L d’air expiré, une boisson que depuis son adolescence elle était coutumière de consommer au point d'être suivie par un centre médico-psychologique.

Ah, au fait, vous connaissez cette musique que nous rabâche le néo-féminisme : les personnes violentes seraient des hommes éconduits par leurs épouses... Sauf que le procureur remettra les pendules à l'heure en dévoilant qu'en fait « La mise en cause n’a pas supporté que son compagnon la quitte. Son acte est disproportionné par rapport à l’atteinte qu’elle aurait elle-même subie. On a clairement face à nous une récidiviste. »

Verdict : 6 mois de prison avec mandat de dépôt, dont 4 mois avec un sursis probatoire de 2 ans, obligation de soins, de travailler, interdiction de fréquenter les débits de boissons et de porter une arme pendant 5 ans, interdiction de rentrer en contact avec la victime, 500 € à verser à sa victime au titre du préjudice moral.
Une source : Actu.fr.



 

22 avril 2020, Saint-Quentin : Elle tue son conjoint par « inadvertance »...

Nous vivons dans une société où le néo-féminisme s'évertue chaque jour à prendre les magistrats pour des jambons et à promouvoir le concept patriarcal de la femme sans cervelle génétiquement programmée pour être irresponsable de ses actes (surtout lorsqu'elle risque de finir en prison). Alors pourquoi ne pas tenter désormais le concept du « meurtre pas-de-bol » pour justifier un crime commis par une femme ?

Selon un témoin, ce mercredi soir vers 22 heures une dispute éclate dans l'appartement du jeune couple, elle finira avec un couteau planté dans le thorax du jeune homme de 21 ans, il décèdera. Le témoin alertera la police qui, au cours de l'audition de la jeune femme aura droit à l'entendre raconter avoir poignardé son conjoint par « inadvertance »...

Sauf que les résultats de l’autopsie démontrent qu' « il est décédé d’un coup de couteau porté au niveau du cœur » « qui n’a pu être donné qu’avec une certaine force ». Dommage !

Encouru : réclusion criminelle à perpétuité (Article 221-4 du Code Pénal).
Une source : Le Dauphiné.



 

17 avril 2020, Toulon : Maman organisait un trafic de drogue.

Pour le néo-féminisme les trafiquants de drogue sont forcément tous des hommes, car les femmes seraient porteuses du gène de l'altruisme, de l'abnégation, de la sagesse... Sauf que concernant cette mère le gène porteur de ces qualités semble avoir eu du mal à s'exprimer. Au point que maman dealait la drogue aux côtés de son fiston.

En pleine période de confinement, les policiers seront alertés par la queue de potentiels clients qui s'était formée devant le domicile familial.

Verdict : 8 mois de prison ferme.
Une source : 20 Minutes.



 

16 avril 2020, Nogent-sur-Marne : Maman viole sa fille de 6 mois pendant qu'elle filme la scène ?

Pour les féministes le viol est un crime forcément commis par un homme, parce que seuls les hommes seraient capables d'être des pervers sexuels : ce serait inscrit dans leurs gènes... Sauf que ce sera une femme de 41 ans, professeur de musique, qui se sera présentée ce soir aux policiers pour s'accuser du viol de sa fille, avec pour appuyer ses propos le film qu'elle aura tourné : on l'y voit pénétrer sa fille avec ses doigts.

Mise en examen pour « viol incestueux sur mineur de moins de 15 ans » elle a été placée en détention provisoire. L'analyse psychiatrique la déclarera accessible à une sanction pénale.

Encouru : 20 ans de réclusion criminelle (Article 222-24 du Code Pénal ; bulletin Cass. Crim. 5 septembre 1990, n°90-83.786).
Une source : Le Parisien.



 

20 mars 2020, Nancy : Elle avait empoisonné puis poignardé son fils.

Une mère sous traitement médicamenteux qui avait décidé d'éliminer son fils de 14 ans en l'empoisonnant avec ses propres médicaments, sauf que le garçon avait vomi les toxiques. Qu'à cela ne tienne, elle l'achèvera en le poignardant à 6 reprises au torse, puis exécutera le chien qu'elle lui avait offert un an plus tôt, avant d'avaler des détergents et de se blesser pour faire croire à un suicide.

La défense tentera de faire passer la thèse de l'abolition du discernement, sauf que plusieurs expertises relèveront qu'elle avait volontairement cessé de prendre ses médicaments avant d'exécuter son fils. L'accusation demandera 12 ans de prison, les jurés iront au delà.

Verdict : 16 ans de réclusion criminelle.
Une source : Le Parisien.



 

18 février 2020, Nancy : Elle avait tenté d'étrangler une copine de sa fille, puis l'avait défenestrée.

Un véritable guet-apens si on se réfère au principal témoignage : cette mère avait attiré sa victime chez elle avant de tenter de l'étrangler avec un foulard dans la cuisine. L'adolescente avait réussi à fuir l'assaut mais son assassine avait réussi à la rattraper au niveau d'une fenêtre pour la précipiter dans le vide. Le témoignage fera part du corps de la victime pendant dans le vide, son agresseuse retirant un à un les doigts agrippés aux boiseries. L'issue sera une chute de 11 mètres qui heureusement sera amortie par un buisson avant de finir sur la pelouse entre deux rochers. Elle s'en tirera avec plusieurs fractures.

Pour se défendre la prévenue racontera une histoire abracadabrante : l'adolescente l'aurait braquée. Sauf qu'il sera prouvé que l'acte de la mère avait été commanditée par sa fille : effectivement, une altercation avait eu lieu quelques jours plus tôt entre les deux adolescentes et la fille de la prévenue avait demandé à sa mère de la venger. L'avocate de la mère parlera elle-même de tentative d'assassinat.

Lors de ses réquisitions le procureur de la République demandera une peine de 12 ans de réclusion criminelle, l'avocate de la prévenue avouant que « Les réquisitions étaient particulièrement peu élevées vu la nature des faits reprochés ». Les jurés iront donc au delà.

Sa fille ayant commandité l'assassinat sera décrite par l'Aide sociale à l'enfance comme « capricieuse » et « hyper puissante envers sa mère ». Le tribunal la condamnera pour « menaces de mort et offre de commettre un assassinat ».

Verdict : 15 ans de réclusion criminelle pour la mère, 30 mois de prison dont 15 avec sursis pour la fille.
Une source : BFM-TV.



 

14 février 2020, Villeneuve-Saint-Georges : Elles poignardent leur victime puis appellent à aller lui « couper les tuyaux » à l'hôpital ?

Mijosé s'apprêtait à aller témoigner contre l'une de ses agresseuses au cour du procès dans une autre affaire. C'est ce qui lui aura valu d'entendre les mots « On va te tuer » puis de recevoir plusieurs coups de couteau dans les zones vitales et s'effondrer sur le quai de la gare. L'une des agresseuses aurait ensuite pris le temps de s'emparer de la valise de sa victime et de partir avec.

Les policiers sont persuadés qu'il s'agissait en fait d'un guet-apens tendu contre Mijosé. Si les femmes prévenues nient évidemment les faits, manque de bol l'une d'elle se serait vantée ensuite sur les réseaux sociaux d'avoir « découpé » sa victime, une parade filmée où les biens volés au cour de l'assaut auraient été exhibés. De plus, toujours via les mêmes réseaux sociaux, l'une des femmes agresseuses inciterait quiconque à se rendre à l'hôpital pour « couper les tuyaux » qui maintiennent Mijosé en vie.

Encouru : réclusion criminelle à perpétuité (Article 221-3 et 221-4 alinéa 5 du Code Pénal)
Une source : Le Parisien.



 

12 février 2020, Lisieux : Multirécidiviste, cette fois-ci elle blesse son compagnon avec une lame de rasoir…

… Et elle n’en n’était pas à son coup d’essai : cette femme parfaite détient un casier judiciaire de 11 condamnations totalisant plus de 4 ans de prison, dont la moitié pour des faits de violence, entre autre avoir poignardé son conjoint à deux reprises avec un couteau, ou avoir défénestré son chien, la pauvre bête ayant ensuite du être euthanasiée.

Les derniers coups à son conjoint lui avait valu 2 ans de prison dont 9 mois assortis d'un sursis qui se verra révoqué par ces nouveaux faits : elle était aujourd’hui jugée pour, en janvier dernier, avoir volontairement blessé son conjoint à l’arcade sourcilière avec une lame de rasoir. Au préalable elle s’en était prise aux portes de l’appartement, les saccageant à coups de ciseaux et défonçant la porte de la salle de bain. Le procureur parlera d’un véritable décor « hitchcockien ».

Evidemment, avec son avocat elle tentera de prendre le tribunal pour des jambons, en sortant la fable de la pauvre gentille et innocente femme maltraitée par son compagnon… Mais vu le palmarès de la furie, ça ne prendra pas. Avant de partir en prison elle aura déclaré en regardant son compagnon avoir « du sentiment pour lui » et espérer « reprendre la vie commune lorsqu’elle sortira de prison » … Le pauvre.

Verdict : 30 mois de prison, dont 6 avec sursis, mise à l’épreuve pendant 3 ans.
Une source : Paris-Normandie.



 

10 février 2020, Angers : Affaire Vanille : maman détenait un permis de tuer ?

La vie d'un enfant n'a décidément que peu de valeur en France lorsque c'est maman qui l'assassine. Vous êtes une mère et vous voulez vous débarrasser de votre enfant qui vous empêche de vivre ? Qu'à cela ne tienne : vous êtes née avec le bon sexe pour avoir le droit de tuer un peu tout le monde autours de vous dans votre famille : d'autant plus s'il s'agit de votre mari et vos enfants. Trop cool !

Car si vous avez éliminé un mari un peu trop encombrant, vous n'aurez qu'à dire qu'il vous battait, et surtout depuis des décennies car plus les faits que vous alléguez sont éloignés moins il sera possible de prétendre que vous mentez. De plus, depuis que le féminisme contemporain a martelé dans nos esprits que les hommes sont tous à présumer violents et pervers, plus besoin d'avoir d'autre moyen de défense et pas besoin d'amener des preuves aux yeux de l'opinion publique. La preuve de leur culpabilité, ils la portent dans leurs gènes ces salauds de mecs ! Et si c'est votre enfant que vous avez massacré suite à une migraine un peu plus douloureuse que les autres, votre acte étant considéré comme « contre nature » venant d'une mère, vous serez alors systématiquement soutenue par moult politiciens et médias. Tous argumenteront que forcément vous n'étiez pas responsable de votre geste.

Bon il est vrai que toutes ces « circonstances atténuantes » pour pouvoir tuer un proche en toute légalité se basent sur un cliché 100% « patrarcal » : celui-là même qui pendant des siècles a considéré les femmes comme dénuées de cerveau, donc incapables d'être responsables de leurs actes, donc folles lorsqu'elles commettent un crime. Au fait, Peut-on vraiment désigner du mot de « patriarcal » un système sociétal qui dans les faits tend à excuser de manière systématique les femmes des crimes qu'elles commettent contre des hommes et des enfants, ceci du seul fait qu'elles sont des femmes ? Ne s'agirait-il pas plutôt d'une tendance « matriarcale » ? Mais qu'importe hein ! Car grâce au lobby féministe contemporain ultra-influent auprès des médias et des politiciens, le gène qui vous définie constitue un permis de tuer, le votre, remis à votre naissance, alors pourquoi vous en priver ?

C'est trop fun de pouvoir tuer avec la bénédiction de plusieurs organes du Pouvoir !

Encouru : réclusion criminelle à perpétuité.
Une source : Le Parisien.



 

7 février 2020, Lyon : Jalouse et intéressée, elle avait tué son mari à coups de couteau.

En instance de divorce, il voulait la quitter définitivement et était donc revenu chercher ses affaires. Elle le massacrera de plusieurs coups de couteau « pour ne pas être seule » selon les psychiatres. Sans compter une petite précision donnée par le procureur : s'il était parti elle aurait perdu la maison, le magistrat qualifiant alors les faits de « meurtre par intérêt ».

Notons que si au lieu d'être un homme la victime avait été une femme tuée par son mari dans les strictes mêmes circonstances, alors les associations ultra-féministes et leurs médias aux-ordres auraient qualifié ce crime de féminicide avant même la fin de l'enquête. Là c'est un homme qui veut partir et qui se fait massacrer par une conjointe jalouse et intéressée, à leurs yeux c'est donc forcément moins grave, voire parfaitement normal.

Verdict : 13 ans de réclusion criminelle.
Une source : BFM-TV.



 

4 février 2020, Montauban : Elle avait tué sa compagne, elle fuit ses responsabilités en se suicidant.

Pour le néo-féminisme, au contraire des hommes les femmes sont des personnes faisant forcément preuve de flegme à chaque instant, ne se laissant jamais déborder par la jalousie parce qu'ayant une maîtrise totale de leurs pulsions sentimentales et sexuelles, des personnes toujours prompt à assumer la responsabilité de leurs actes...

Bon, ça c'est la fable sexiste visant à inciter les femmes à haïr les hommes. La réalité est toute autre, preuve en est que le 4 janvier nous avions relaté l'affaire de cette femme âgée de 40 ans qui venait de tuer sa compagne d'un coup de couteau pendant une dispute sur fond de jalousie ; elle avait reconnu les faits devant la police. Nous venons d'apprendre que le 24 janvier, c'est à dire seulement deux semaines après son incarcération dans le quartier des femmes de la maison d’arrêt de Seysses, elle aura essayé de fuir ses responsabilités en commettant une tentative de suicide par pendaison. Amenée in-extremis dans une unité de soin hospitalière, elle a ensuite été maintenue dans le coma pendant 11 jours. Elle est décédée ce 4 février, clôturant définitivement l'instruction et laissant la famille de sa victime dans la douleur.

Rappelons que, concernant l'affaire du meurtre de sa victime, aucun groupuscule néo-féministe n'aura depuis pris la parole pour qualifier ce crime de féminicide et taguer les murs de France pour le dénoncer... Eh oui, la victime de ce crime conjugale étant lesbienne, aux yeux du féminisme contemporain sa mort ne doit donc SURTOUT PAS être digne de compassion publique : se battre pour l'égalité femmes-hommes oui, mais visiblement pas pour l'égalité entre toutes les femmes.

Une source : La Dépêche.



 

4 février 2020, Lorient : En période de sursis, elle avait poignardé son mari au coeur.

Un drame sur fond d'alcool et de violences réciproques, dont vos journaux préférés s'efforcent coûte que coûte de ne relater que la version d'une Pôoooovre femme réfugiée dans sa cuisine et tenant maladroitement un couteau à la lame de 20 centimètres sur laquelle son mari aveuglé par la rage, la perversion, le sadisme, la violence etc. se serait jeté presque volontairement... Dire que l'on appelle ça du journalisme. Sauf qu'il ne pouvait pas s'agir d'un geste involontaire de la part de sa femme : « Le couteau est rentré de cinq centimètres, non pas en plein ventre, mais dans la région du cœur ». Et c'est sans compter la perspicacité du procureur de la République qui notera les incohérences de la version de la défense, à savoir entre autre que les faits n'ont pas pu avoir lieu dans la cuisine étant donné que l'on y a retrouvé aucune trace de sang au contraire du salon qui en était « inondé ».

Dernier point : la prévenue était sous le coup d'une peine de prison avec sursis de 7 mois, suite à de précédentes condamnations. Le sursis a été révoqué sur-le-champ.

Verdict : 4 ans de prison dont 1 an assorti d’un sursis, plus 7 mois de prison ferme suite à la révocation d'un sursis, mise à l’épreuve pendant 3 ans, interdiction d'entrer en contact avec la victime.
Une source : Ouest-France.



 

22 janvier 2020, Paris : Condamnée pour avoir raconté une fable d'agression sexuelle en plein contexte #MeToo.

Suite à l'affaire Weinstein, elle en avait profité pour raconter une fable : elle se disait avoir été agressée sexuellement par « vieux monsieur » à l'opéra Bastille pendant une représentation de L’Or du Rhin, de Richard Wagner, la description du monsieur n'étant ni plus ni moins que celle de Pierre Joxe... Vous connaisez la chanson : Ouin-Ouin de la Pôoooovre victime sur son blog, les pires féministes sans moralités sautant sur l'occasion pour présumer devant les caméras de la culpabilité du monsieur, les médias peu scrupuleux non trop-contents de se jeter sur l'affaire comme des charognards parce que le business sur les ragôts bien crades rapportent un max. La jolie princesse choquée y prétendait avoir profité de l'entracte pour obtenir le soutien de son père... Sauf que...

... Ce spectacle se joue sans entracte depuis 1854. Dans son jugement le tribunal indiquera donc que même si l’auteure « n’est pas journaliste professionnelle, qu’elle publie sur un blog et témoigne de faits personnels, et que de ce fait, elle n’est pas tenue à conduire une enquête complète et empreinte d’un effort d’objectivité, elle se devait cependant de disposer d’éléments lui permettant de soutenir les faits qu’elle dénonçait publiquement ».

Verdict : 1 Euro de dommages et intérêts, 3000 Euros de frais de justice.
Une source : Le Monde.



 

10 janvier 2020, Melun : Condamnée pour avoir empoisonné ses proches afin de les voler.

Cette meldoise quadragénaire avait utilisé sur ses victimes du Xanax à forte dose, un puissant anxiolytique, pour subtiliser jusqu'à 24 000 euros à ses victimes : ses propres parents, son ex-beau frère et un ami... Tous l'avait pourtant aidé à se sortir de la situation financière délicate qu'elle vivait.

L'enquête permettra d'établir que pour voler ses bienfaiteurs elle était allée jusqu'à dissoudre entre 8 et 14 comprimés de Xanax dans le bol de chicoré de son ami Jacques, un ami qui avait ensuite eu un grave accident de la route. Ce sera cet accident qui aura permis aux secours de découvrir dans son sang toute la drogue qu'elle lui avait avait fait absorber, il sera ainsi sauvé in-extremis de la mort par empoisonement qui le guettait. Quant à l'ex-beau-frère, lui avait eu droit à un cocktail de Xanax et d'alcool qui lui avait fait perdre connaissance.

Les parents avaient aussi été empoisonnés, mais par compassion et amour pour sa fille la mère ne portera pas plainte.

Verdict : 12 ans de prison.
Une source : Le Parisien.



 

04 janvier 2020, Montauban : Lors d'une dispute elle aurait poignardé et tué sa conjointe, mutisme de #NousToutes et des ultra-féministes..

Samedi dernier à Montauban, vers 22h une dispute de couple éclate dans un couple de deux femmes fortement alcoolisées. C'est alors que pour imposer son point de vue l'une d'elles s'empare d'un couteau et poignarde mortellement sa conjointe de 30 ans au niveau de la poitrine.

Si un homme avait commis ce geste sur sa compagne alors les #NousToutes et toutes les associations féministes auraient hurlé au scandale et incrémenté  leurs compteurs pipés.  sans attendre les conclusions de l'enquête. Là c'est une femme qui est tuée par une autre femme donc chuuuuut : c'est moins grave !

Nouvelle démonstration que l'extrémisme féministe est tout autant sexiste envers les hommes que lesbophobe.

Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source : RTL.



 

03 janvier 2020, Cahors : Elle avait volontairement jeté sa fille de 14 mois dans le Lot, secourue l'enfant est depuis tétraplégique...

Cette mère de 41 ans avait voulu se débarasser de sa fille en la plaçant dans un siège bébé et en jetant le tout dans les eaux glacées du Lot. C'est en entendant le "plouf" qu'un témoin avait donné l'alerte et permis de secourir l'enfant qui, hélas, en sortira tétraplégique et avec de graves lésions cérébrales.

Le procès avait débuté en avril 2019, le verdict a été pronocé aujourd'hui.

Verdict : 10 ans de prison.
Une source : La Dépêche.



 

 

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