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ACTUALITES - des femmes parfaites et de leurs victimes en 2019.
Attention : cette page-ci est tenue sur un ton sarcastique. Nous y traitons l'actualité avec ironie, dérision, caricature et donc humour (forcément de mauvais goût pour celles et ceux qui ne les conçoivent qu'à géométries variables). Avec ces moyens d'expression nous y poussons donc l'exagération à l'extrême, au point qu'il ne puisse échapper à personne de sensé qu'il s'agit effectivement d'exagération. Notre objectif : expliquer qu'à nos yeux le néo-féminisme extrémiste tient un discours stigmatisant, haineux et discriminant basé sur des clichés sexistes misandres, et que l'actualité quotidienne la plus dramatique démontre qu'il est incohérent.
Au cinéma, au JT de 20h, dans la bouche des associations féministes les plus extrémistes et celle de nos politiciens préférés, l'homme est un méchant pervers sadique brutal obsédé sexuel, sans coeur, sans-âme, dénué de compassion qui n'attend qu'une occasion pour sauter sur une femme et la frapper en n'oubliant pas de la violer au passage parce que sinon ce n'est pas drôle. Quant à la femme, elle est forcément gentille, une pure sainte fragile innocente vierge incapable de faire le moindre mal parce que génétiquement programmée pour être une victime et faire le bien sur Terre. Manque de bol, lorsqu'on va au delà de ces clichés sexistes on se rend compte que dans la vraie vie ça ne se passe pas tout à fait comme ça.
Au delà de ce manichéisme misandre institutionnalisé qui infantilise la population, voici au long cours l'actualité de gentilles et saintes femmes qui volent, escroquent, battent, violent et torturent forcément toujours avec tact, grâce et innocence, et celle de leurs victimes, compagnes, gros vilains méchants conjoints et enfants qui l'ont donc forcément bien cherché.
Vous pouvez aussi découvrir l'actu copieuse des femmes parfaites et de leurs victimes en
2023
,
2022
,
2021
,
2020
,
2019
,
2018
et
décembre 2017.
20 décembre 2019, Montargis : Pour effacer un tatouage qu'elle lui avait imposé, elle brûle volontairement sa fille avec un fer.
L'histoire d'une fille de 7 ans que sa mère de 28 ans a tatoué de force pour qu'elle et ses deux soeurs restent "unies au cas où elle seraient placées"... Sauf que pour effacer son méfait elle n'hésitera pas à utiliser un fer à friser pour brûler sa fille en espérant faire ainsi disparaître le tatouage.
Une mère qui n'hésitera pas à user de tentatives de manipulation : d'abord en prétendant que le tatouage infligé était un désir de sa fille, ensuite en tentant de faire croire à la barre que le père aurait monté sa fille contre elle. Sauf que la fille finira bien malgré elle par convaincre les juges de la malhonnêteté de sa maman, l'enfant tentant de protéger sa mère en racontant maladroitement qu'elle se serait elle-même brûlée avec le fer.
L'occasion de rappeler qu'en 2017, la Garde des Sceaux interdira aux juges l'utilisation du concept de Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP) dans le cadre judiciaire, au plus grand mépris de l'avis expert de l'Ordre des Médecins qui côtoient les victimes d'un tel syndrôme au quotidien. Au delà des magouilles pourries des quelques politiciens véreux qui tentent de les influencer, finalement les juges condamneront la mère tortionnaire et manipulatrice.
Verdict : 8 mois de prison avec sursis, obligation de suivre une stage de responsabilité à la parentalité.
Une source :
La République du Centre.
17 décembre 2019, Avignon : À la barre elle ne comprend pas pourquoi frapper c'est mal.
Pour notre société contemporaine, son néo-féminisme et ses médias, lorsqu’une femme frappe un proche alors, forcément, elle a de très bonnes raisons de le faire. Preuve en est cet article du Dauphiné qui relate la énième poussée d’hormones d’une femme de 46 ans jugée pour la énième fois concernant des violences commises sur sa propre maman.
Là où le journalisme bipolaire ne daigne généralement pas « perdre son temps » à s'émouvoir sur les raisons de ce geste lorsqu’il est commis par un homme - c’est un homme, donc forcément violent par nature - lorsqu’il s’agit d’une femme qui violente un proche alors il en est tout autrement. Ainsi sous la plume du journaliste cette tortionnaire devient la victime d’une « descente aux enfers », contrainte de vivre « dans le petit studio de sa mère »...
Une mère aimante malgré tout au point d’expliquer à la barre se sentir coupable des actes de sa fille, une fille quant à elle très en phase avec les perçus sociétaux actuels et ne comprenant donc pas pourquoi elle est jugée.
Verdict : 10 mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve de 3 ans, obligation de soins, interdiction de paraître au domicile de la victime.
Une source :
Le Dauphiné.
16 décembre 2019, Paris : En pleine rue, le crêpage de chignon entre 4 "saintes" finit mal.
Les problèmes d'ego, si vous écoutez les féministes extrémistes ce ne sont que les hommes qui en ont. Car c'est bien connu : les femmes sont le flegme incarné, la sagesse et l'abnégation étant inscrites dans leurs gènes, ces qualités s'exprimant à chaque battement de leurs petits cœurs forcément tout frêles, tout fragiles, tout innocents... Comme ceux des quatre protagonistes de ce véritable crêpage de chignons qui s'est déroulé le 16 décembre et qui s'est mal fini...
Car pas une pour rattraper l'autre, si l'on en croit les témoignages. Jugez-en plutôt : une conductrice et sa fille déboulent à toute allure dans leur utilitaire sur une voie étroite en sens unique. Elles manquent de renverser deux piétonnes qui les injurient, légendaire maîtrise de soi féminine oblige. Le véhicule s'arrête, l'une des piétonnes va pour frapper la passagère qui sortira pour répliquer à coups de pieds, pendant que la conductrice sort à son tour, dégaine un couteau et poignarde les deux piétonnes.
Devant les yeux médusés des passants, les deux automobilistes remontent dans leur véhicule et tentent de s'enfuir, en accélérant lorsque l'ouvrier d'un chantier à proximité tente de forcer le véhicule à stopper en se mettant devant. Finalement, c'est un banal feu rouge qui stoppera le véhicule, bloqué dans la circulation. Les passants interpelleront ces deux furies.
Les analyses médicales permettront d'établir que la conductrice, « très défavorablement connue » des services de police, était positive à l'opium. Selon France-Info l'une des deux piétonnes était quant à elle positive au cannabis. Au moment de la rédaction du présent article, l'une des deux piétonnes est toujours entre la vie et la mort.
Encouru : 30 ans d'emprisonnement (article 221-1 du Code pénal).
Une source :
Le Parisien.
29 novembre 2019, Is-sur-Tille : Elle aurait voulu se suicider, mais elle en a surtout fait profiter ses fillettes. L'une d'elle est morte.
C'est à la mode : faire croire à son suicide pour éliminer ses enfants. Evidemment, parce que la tueuse est une femme cette histoire est présentée par vos journaux préférés comme le geste désespéré d'une pauuuu(uuuuuu...)vre femme. Mais soyons factuels : maman s'injecte à elle-même une dose insuffisante pour mourir, confère les clichés sur les femmes maladroites et forcément prudes, bref toujours aussi coconnes les femmes n'est-ce pas ? Mais elle en fait profiter ses fillettes de 7 et 9 ans. Comme par hasard la dose injectée sera beaucoup plus efficace pour ses proches que pour la maman. Bah oui : probablement coconne pour elle-même mais étrangement beaucoup moins pour les autres. Comme par hasard.
Lucide le maire de la commune s'exprimera en pensant aux premières (et probablement aux seules réelles) victimes de ce geste : les fillettes. Quant à la mère, ouin ouin et compagnie, vous connaissez la musique des éternelles femmes-victimes qui se loupent : comme d'habitude elles survivent alors que les cadavres s'amoncellent autours d'elles. On peut donc légitimement se demander quand est-ce qu'on arrêtera de prendre les gens pour des imbéciles au nom du cliché de la pauvre femme innocente victime qui tuerait autrui forcément par compassion. Parce qu'une femme qui tue, forcément c'est pour le bien de ses victimes n'est-ce pas ? Quant-à nous, nous en remettons à la lucidité de la justice concernant cette affaire.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
France-Bleu.
29 novembre 2019, Lyon : Elle met son bébé dans un sac poubelle puis le jette dans le Rhône.
C'est la thèse privilégiée par les enquêteurs après avoir découvert dans les eaux du Rhône un sac poubelle renfermant le cadavre d'un bébé. Pour découvrir l'identité de la mère, une jeune femme de 25 ans, l'équipe scientifique aura eu recours aux analyses génétiques. L'enfant était né à terme et vivant.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
Le Parisien.
27 novembre 2019, Ajaccio : Elle tue son mari avec l'arme qu'il lui avait offert.
Un 6.35 mm, un pistolet qui aura eu des facultés magiques si on en croit la version de la tueuse. Effectivement, Cette petite arme aurait fait feu accidentellement au cour d'une dispute alors que les expertises établiront qu'il y aura eu au moins 3 coups de feu tirés à moins de 30 cm de la victime. C'est bien connu : les femmes sont forcément maladroites lorsqu'elles tiennent une arme en main... Étrangement, dans les affaires criminelles, ça finit pourtant toujours par un doigt qui appuie frénétiquement systématiquement au pire des endroits sur une arme : la détente. Le genre féminin porte décidément le gène de la poisse !
Et le tribunal n'aura pas fini d'entendre tout et n'importe de la bouche de la prévenue. Ainsi la thèse de la légitime défense sera évoquée, allant pourtant à l'encontre de celle accidentelle et du fait que l'époux, lui, ne détenait aucune arme en main au moment des tirs. A cour d'argument, parce que c'est à la mode aujourd'hui et susceptible de tromper les gens les plus crédules, la prévenue pondra la fameuse thèse de la femme soumise pendant de trrRRRèèè(èèèè...)s nombreuses années à un gros méchant mari forcément alcooliques et portant forcément toutes les tares de l'espèce humaine... Pour que finalement on se rende compte que le seul mobile qui tienne véritablement la route est celui financier.
Derrière les barreaux la tueuse pourra donc méditer sur un fait : à prendre ses juges pour des imbéciles, on finit toujours par le payer cher.
Verdict : 22 ans de réclusion criminelle.
Une source :
France 3.
26 novembre 2019, Ciré d'Aunis : En désaccord avec son conjoint, elle lui tire dessus à 8 reprises.
Nouvelle affaire d’une femme qui veut tuer son conjoint parce qu’il a le tort de ne pas être d’accord avec elle. Selon les premiers éléments de l’enquête, en crise depuis quatre années ce couple se réunissait pourtant chaque week-end. Le jour des faits les points de vue divergent comme d’habitude entre les conjoints. Monsieur s’en va donc s’asseoir dans le canapé devant la télévision pendant que madame, gendarme, va discrètement chercher son arme de service. Elle tirera sur son compagnon les huit cartouches que contenait le barillet, le touchant à cinq reprises.
L’homme victime est à ce jour toujours entre la vie et la mort.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
Sud-Ouest.
23 novembre 2019, Limoges : Un couple aux violences réciproques, elle finit par le tuer mais aux yeux des médias c'est elle la seule victime.
Certains médias peu scrupuleux comme Le Télégramme ou 20 Minutes semblent obéir doigt-sur-la-couture aux ordres du lobby ultra-féministe : cette tragique affaire est donc présentée dans leurs colonnes comme celle d'une pauvre-innocente-femme victime de son méchant-sadique-mari violent, une femme qui n'aura donc forcément fait que se défendre en le poignardant à 6 reprises au thorax dont 2 coups au coeur. Après vous retrouvez des chiffres statistiques officiels où les femmes qui tuent leur mari sont forcément des femmes battues...
Sauf que lorsqu'on se renseigne un minimum, on découvre que la pauvre-femme battait aussi son mari, que l'histoire est celle d'un couple toxique shooté et alcoolisé à outrance où les violences étaient réciproques, commises de longues dates dans les deux sens, avec des plaintes déposées par les deux protagonistes et des dossiers judiciaires où les poursuites sont lancées contre les deux noms.
Mais à part ça c'est lui le méchant et elle la gentille...
Pour vous faire votre propre idée sur la conscience professionnelle de certains médias, nous vous donnons donc un lien vers les articles-clichés pondus par Le Télégramme et 20 Minutes, ainsi qu'un lien vers un article de France-Bleu semble-t-il un peu plus objectif et soucieux de la vérité des faits.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Les sources :
Le Télégramme,
20 Minutes,
France-Bleu.
20 novembre 2019, Gray : Affaire Daval, la piste de l'homme battu avérée ?
L'instruction du dossier est désormais close. En conclusion l'avocat de Jonathann déclare aujourd'hui : « Ce ne doit pas être un procès manichéen. Ce sera pas blanc ou noir. Jonathann le méchant et Alexia la gentille. La relation du couple sera examinée au travers du prisme de tous les éléments du dossier dont certains n’ont pas fuité. Tout devra être dit au moment du procès ».
Il poursuit ainsi : « La réalité du dossier c’est que Jonathann subissait des violences. C’est un sujet tabou les violences physiques et morales faites aux hommes. On a toujours l’impression que ce n’est pas possible et que c’est un artifice de défense. Les jurés apprécieront ».
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
France-Bleu.
18 novembre 2019, Bondy : elle se débarasse de son bébé et de sa fillette en les jettant par la fenêtre du 3ème étage...
Folie ? Sauf que cette mère de 31 ans sera suffisamment lucide pour ensuite tenter de s'enfuir à toutes jambes vers la gare du RER. Face aux policiers et à la perspective de se retrouver en prison pendant de longues années, elle tentera de justifier son geste en racontant qu'une voix lui aurait dit que ses enfants étaient des "diables". Elle a été internée d'office.
Après avoir fait une chute de 13 mètres dans le vide les deux enfants tomberont sur une surface suffisamment molle pour amortir leur chute. Depuis, la petite fille aurait des séquelles neurologiques, quant-au bébé, le parquet de Bobigny annonçait que « le pronostic vital du nourrisson est engagé. »
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
La Dépêche.
15 novembre 2019, Saverne : elle cache le cadavre de sa mère pour toucher sa retraite.
La combine aura permis à cette femme de 58 ans de toucher plus de 170 000 Euros de retraite de sa défunte mère. Pendant toutes ces années elle avait fait croire à la bonne santé de sa mère en imitant sa signature. La défunte était en fait dissimulée sous la dalle du garage de la maison, enterrée sous des centaines de prospectus publicitaires dont les dates de publication permettront d'estimer le décès à plus de 10 ans.
Tout aurait pu continuer ainsi si la petite fille de la défunte ne s'était mis en tête de recontacter sa grand-mère. N'y parvenant pas, elle avait donné l'alerte auprès de la gendarmerie de Bouxviller.
Verdict : 4 ans de prison dont 2 ans avec sursis, mise à l’épreuve de 3 ans avec obligations de travail et de rembourser.
Une source :
Le Parisien.
28 octobre 2019, Taillades : Suite à une séparation, maman aurait étouffé ses deux enfants.
Le double infanticide est la thèse privilégiée à l'heure actuelle par les enquêteurs. Suite à une séparation difficile cette maman aurait drogué puis étouffé ses deux enfants âgés de 5 et 7 ans. Elle aurait ensuite tenté de se suicider.
Les deux petites victimes n'ont pas pu être réanimées par les secours.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
La Provence.
28 octobre 2019, Courcelles-lès-Lens : Jalouse et possessive, maman poignarde à mort ses deux filles.
Elles avaient 3 et 6 ans, elles sont mortes sous les coups de couteau portés au ventre par leur maman.
Celle-ci, jalouse et possessive envers son mari, s'était mise en tête l'idée qu'il avait des aventures extra-conjugales et était allée jusqu'à harceler les voisins et faire preuve de violences à leur encontre pour tenter de leur soutirer des informations. Son obsession lui avait même valu un signalement auprès de la mairie suivi d'un séjour en hôpital. Elle a été placée en garde à vue.
Choqués, le père ainsi que son fils et une autre sœur des victimes ont été hospitalisés.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
La Voix du Nord.
25 octobre 2019, Toulouse : Jalouse, elle tue sa collègue de travail puis dépèce son cadavre.
Une bonne mère de famille de 55 ans, mais coutumière des infractions commises à son travail : elle avait déjà été condamnée par la justice pour avoir détourné de l'argent à l'Université de Montpellier, puis avait été prise la main dans le sac en train de dérober des tickets-restaurant dans les bureaux toulousains de l'Association de gestion du fonds pour l'insertion des personnes handicapées (Agefiph). Probablement un modèle pour ses enfants !
Ce jour là, excédée par une collègue de travail handicapée dont elle jalousait les compétences, elle se sera rendu chez elle prétextant vouloir appaiser les tensions. Finalement, elle tuera sa rivale professionnelle à coups de bouteille sur le crâne. Pour se débarasser du corps elle le dépècera à l'aide d'une scie à métaux avant de charger les restes dans un chariot de supermarcher et de les jeter dans le Canal du Midi. Elle enterrera la tête dans un jardin public pas trop loin de chez elle.
Qui a dit que les femmes n'étaient pas douées pour le bricolage et le jardinage ?
Verdict : 27 ans de réclusion criminelle.
Une source :
LCI.
25 septembre 2019, Paris : La créatrice de #BalanceTonPorc condamnée pour diffamation.
Le 13 octobre 2017, elle tweetait le message suivant : « #balancetonporc !! toi aussi raconte en donnant le nom et les détails un harcèlent (sic) sexuel que tu as connu dans ton boulot. Je vous attends. » donnant ensuite le nom de sa victime et le ton à suivre à ses milliers de followers.
Depuis cette date la France est devenue la nation championne mondiale de la diffamation et du mépris des lois, surtout lorsqu'il s'agit de détruire la vie d'une personne née avec le "mauvais sexe" pour avoir droit à la présomption d'innocence et à la compassion. Car au nom du « il n'y a pas de fumée sans feu » aujourd'hui on ne les compte plus ces politiciens et ces associations qui présument coupable désormais de manière systématique tout homme qui aura eu la malchance de croiser un jour une personne maîtresse chanteuse avide d'intérêts personnels, souvent professionnels voire financiers.
Heureusement, aujourd'hui la justice a rappelé que le lynchage est une méthode haineuse, ignoble et intolérable, issue d'un autre âge : la créatrice de #balanceTonPorc a été condamnée au titre du préjudice moral envers l'homme dont elle avait dévoilé le nom publiquement tout en l'accusant des pires méfaits. En une seule nuit ses tweets avait été partagés plusieurs milliers de fois, la vie de sa victime étant rapidement devenue un enfer.
Verdict : 15 000 euros de dommages et intérêt.
Une source :
20 minutes.
23 septembre 2019, Paris : Elles avaient échoué dans leur projet d'attentat à Paris.
Le procès de ces pieds-nickelées du terrorisme a débuté aujourd'hui : 5 femmes jihadistes avaient projeté de faire exploser à Paris devant la cathédrale Notre-Dame 6 bombonnes de gaz de 13kg en les recouvrant de gazole qu'elles avaient tenté d'allumer avec une cigarette.... Seul problème : elles ignoraient que le gazole est un combustible qui nécessite certaines conditions de pression et de température pour s'enflammer.
Interviewé par France-Inter, Antoine Mégie, maître de conférence à l'université de Rouen et spécialiste de la justice antiterroriste, note que « d'un point de vue global, la justice est marquée par un biais de genre quant aux poursuites des femmes et pas seulement dans le domaine du terrorisme. Mais on a là une légitimation de cette volonté de poursuivre les femmes. ». « Lorsqu'on prend en compte l'idéologie de Daech, on considère que ces femmes semblent être écrasées par la domination masculine alors même que dans l'histoire de la violence politique, notamment avec Action directe, les femmes ont toujours été centrales. Donc là, la figure de la femme redevient centrale. Et pour le parquet de Paris, c'est la volonté de montrer la dangerosité potentielle des femmes et de les poursuivre sur le même plan que les hommes dorénavant ».
Interviewés par BFM-TV les représentants des associations de lutte contre le terrorisme saluent aussi ce sursaut de lucidité de la Justice. On ne peut que désirer que cette volonté d'égalité Femmes-Hommes s'étendent à tous les domaines du droit.
Encouru : Réclusion criminelle à pepétuité (Article 421-3 du Code Pénal)
Une source :
France-Inter.
21 septembre 2019, Pernes-les-Fontaines : En furie contre sa mère, elle poignarde son beau-père qui tente de s'interposer.
Cette jeune femme de 25 ans était en conflit avec sa mère depuis quelques temps. Ce soir, une nouvelle dispute éclate entre les deux femmes. La fille prend alors divers objets et les jette à terre. C'est au moment où le beau-père s'interpose qu'elle saisit un couteau et le blesse aux avants-bras. Il tente alors de fuir le domicile, elle le poursuivra jusque dans la rue en le poignardant à plusieurs reprises dans le dos.
Transporté en urgence au pôle santé de Carpentras l'homme de cinquante ans sera opéré, ses jours ne sont désormais plus en danger. Son agresseuse a été placée en garde à vue.
Encouru : 5 ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende (Article 222-12 du Code Pénal)
Une source :
La Provence.
17 septembre 2019, Saint-Quentin : Le martinet de maman avait des lanières truffées de punaises.
Les scènes décrites par ses enfants de 12, 10 et 5 ans font froid dans le dos : outre les gifles qui étaient devenues monnaie courante, cette mère parfaite frappait ses trois enfants avec un martinet aux lanières munies de punaises, les enfermait jusqu'à une journée complète dans l'obscurité de la cave sans nourriture. Elle serait allée jusqu'à « enfoncer un couteau dans l’oreille » de la plus petite...
Le procureur et la partie civile diront que cette mère « jouait le rôle de bourreau plutôt que celui de maman ».
Verdict : 6 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve.
Une source :
Courrier picard.
11 septembre 2019, Albertville : Maman poignarde son conjoint dans le dos, pour le sauver on l'ampute de 20% d'un poumon.
Edouard Philippe s'exprimait il y a une semaine pour nous expliquer que les violences conjugales ce sont des forcément gentilles femmes violentées par de forcément méchants messieurs. Il confirmera ce propos en expliquant à la France entière que selon lui on ne peut pas être violent au sein de son couple et être un bon parent, le 1er Ministre n'oubliant pas là encore de marquer du genre masculin le gros vilain parent énoncé dans son jolie axiome niveau yakafokon.
« Et pour les mères violentes ? »
Ah ! Chut, vous et vos questions improbables ! Le 1er Ministre ne vous demande pas de réfléchir par vous-même, il vous ordonne de dire amen à ses théories. Un point c'est tout ! Donc, puisque ce sont des femmes, ce sont donc forcément de bonnes mères : douces, innocentes et victimes... Ceci même si elles trucident les papas devant les yeux de leurs enfants. D'ailleurs le 1er Ministre comme les extémistes saintes grandes prêtresses du féminisme ne cessent de vous le rappeler dans leurs communications manipulatrices pédagogiques : les notions de bien et de mal, c'est fastoche ! Ce n'est qu'une question de chromosomes : XX = gentille, XY = méchant.
C'est donc droguée à la cocaïne que cette mère parfaite de deux enfants cachait une lame de 35cm sous son matelas. Elle perforera un poumon de son conjoint qui passera tout près de la mort : il fera un premier arrêt respiratoire pendant son transport à l'hôpital, puis les médecins devront l'amputer de 20% du poumon pour le sauver.
Incarcérée et poursuivie pour tentative de meurtre cette mère donnant, selon Edouard Philippe, probablement le meilleur des exemples à ses enfants, finira en correctionnelle faute d'élément prouvant son intention de tuer son conjoint. Car c'est bien connu que lorsqu'on donne un coup de couteau dans le dos de son conjoint, c'est pour lui dire qu'on l'aime... Elle risquait 10 ans de prison.
Dernier élément notable : sauf erreur de notre part, excepté Le Dauphiné aucun média n'a relayé cette affaire.
Verdict : 5 ans de prison, dont 1 an avec sursis et mise à l'épreuve. Mandat de dépôt confirmé.
Une source :
Le Dauphiné.
11 septembre 2019, Perpignan : Elle frappe son chéri à coups de balai parce qu'il avait changé l'heure du réveil...
... Et comme tout homme battu qui en fait la demande, à cause de son sexe masculin il n'aura évidemment pas le droit à participer au grenelle sur les violences conjugales de Marlène Schiappa. D'ailleurs ce 1er septembre l'un de nous en a fait la demande auprès de la préfecture de Seine-et-Marne, aucune réponse reçue à ce jour. l’Égalité Femmes-Hommes : une grosse blague à géométrie variable.
Mais revenons à cette « sainte parfaite prude innocente » compagne, que le sexe féminin prédispose évidemment pour être une pauvre et frêle victime du gros méchant patriarcat. Effectivement Monsieur aurait osé changer l'heure du réveil, un scandale ! Du coup elle lui lancera divers objets au visage et le tabassera à coups de balai. Résultat : son corps est entièrement tuméfié, recouvert d'hématomes avec des entailles béantes qui saignent un peu partout. Qui au gouvernement ose encore utiliser le genre féminin pour qualifier systématiquement une victime de violences conjugales ? Allez on fait la liste : Marlène, Édouard...
Évidemment, une femme violente envers son conjoint a forcément d'excellentes raisons de le frapper, la première étant qu'elle est une femme et lui un homme. Du coup vous constaterez que vos médias ne manqueront pas d'excuser cette « pauvre femme victime de notre société » en avançant l'ensemble de ses addictions et de ses troubles psychologiques. C'est bien connu : lorsqu'une femme frappe un homme alors elle n'est forcément que partiellement responsable de ses actes, surtout lorsqu'ils risquent de la mener en prison. « Égalité Femmes-Hommes oblige ! », vous répondront probablement Marlène et Édouard, sauf que cette perception de la femme sans cervelle remonte aux environs du 19ème siècle lorsque la société croyait que les femmes ne possédaient pas de cerveau.
Heureusement que, concernant cette affaire, notre Justice aura eu une perception un peu moins arriérée, politisée et opportuniste de l'égalité entre les femmes et les hommes... C'est d'ailleurs peut-être pour cela que vous n'en entendrez jamais parler dans la bouche de vos politiciens préférés : encore une femme qui frappe son conjoint : Chuuuuuuuut !...
Verdict : 18 mois de prison dont 8 mois avec sursis, avec mandat de dépôt.
Une source :
BFM-TV.
3 septembre 2019, Clinchamps-sur-Orne : Elle aurait tué un ami avec un pistolet d'abattage.
La femme âgée d'une cinquantaine d'année aurait invité l'homme de 74 ans chez elle pour y déjeuner avec son mari. C'est pendant ce repas qu'elle aurait soudainement sorti un pistolet d'abattage, l'aurait plaqué sur le front de l'homme et l'aurait ainsi tué instantanément. Avec l'aide de son conjoint elle aurait alors dépouillé le cadavre de leur victime qui transportait plusieurs milliers d'Euros sur lui. Le couple aurait alors emmené le corps jusqu'à un champ et l'auraient caché dans un buisson de ronces avant d'incendier sa voiture.
A la suite de ce crime, une personne contactera le couple criminel pour le faire chanter et leur extorquer le butin. Suite à ce chantage, âgé de 38 ans le mari de la tueuse présumée se suicidera.
Mise en examen, la femme prétend que le coup de pistolet d'abattage serait parti tout seul...
Encouru : réclusion criminelle à perpétuité (Article 221-3 du Code Pénal)
Une source :
France TV Info.
30 août 2019, Rennes : Condamnée entre autre pour avoir violé des enfants dont les siens, désormais elle vole des personnes vulnérables.
Elle avait violé plusieurs enfants dont les siens, avait menti à la justice dans l'Affaire d'Outreau ce qui avait eu comme conséquences d'envoyer 17 personnes en prison avant que 13 ne soient ensuite acquittés. Pour l'ensemble de ses méfaits elle avait donc été condamnée à 15 ans de réclusion criminelle. Sortie depuis 2011 et contrainte à un suivi sociaux-judiciaire, elle avait plusieurs fois oublié de se présenter aux rendez-vous imposés auprès du Service Pénitentiaire d'Insertion et de Probation (SPIP)...
En février et en mai 2019 elle attaque deux personnes en grande vulnérabilité et aux handicapes visibles, dont l'une d'elles ne pouvait se déplacer qu'en déambulateur. Elle leur arrachera leur sac à main et falsifiera les chèques qu'elle y trouvera pour les encaisser à son nom. C'est ce qui permettra aux enquêteurs de la confondre.
Évidemment elle exploitera la conjoncture misandre actuelle du pays pour faire supporter ses actes à ses compagnons : ils lui auraient mis la pression... Personne de bon sens ne sera dupe, 18 mois de prison ferme seront requis contre elle.
Verdict : 8 mois de prison avec mandat de dépôt, interdiction de détenir une arme pendant 5 ans.
Une source :
Le Parisien.
29 août 2019, Le Mans : Elle menace de mort son fils de 8 ans et lui donne des coups de pieds.
Mardi dernier en plein centre-ville du Mans, un enfant de 8 ans est pieds nus et sa mère lui donne des coups de pieds en le menaçant de mort. L'intervention des passants pour faire cesser la scène attisera la colère de la mère, ils seront contraints d'appeler la police.
Face aux enquêteurs la mère minimisera la portée de son geste et de ses mots, son fils lui emboîtera docilement le pas. Mais le médecin légiste fera état de plusieurs coups réellement portés sur l'enfant.
Encouru : 3 ans de prison 45 000 euros d'amende si aucune ITT ou une ITT inférieure à 8 jours est prononcée (Article 222-13 du Code Pénal)
Une source :
Le Maine Libre.
27 août 2019, Marseille : Elles profitaient de l'état de fragilité d'une adolescente pour la prostituer.
Selon le cliché ancré dans l'inconscient sociétal : les proxénètes sont forcément des hommes, surtout si la victime est une jeune femme, qu'elle est fragilisée et qu'elle est contrainte de se prostituer par la violence. Car selon ce même cliché, c'est bien connu : seuls les hommes sont porteurs du chromosomes Y de la violence et de la perversité...
Sauf que, depuis la mi-août sur Marseille, ce sont deux femmes âgées de 17 et 18 ans qui contraignait leur victime déficiente mentale à se prostituer sur le Jarret dans le 5ème arrondissement. Elle devait leur ramener l'argent ainsi récolté, et par malheur « Si elle râlait sur les passes, elle prenait des coups.»
La jeune victime réussira à fuir ses agresseuses et se réfugiera à la gare Saint Charles. Elle alertera les secours auprès de l'employé de l'accueil.
Encouru : 10 ans d’emprisonnement et 1 500 000 Euros d'amende (Article 225-6 du CP).
Une source :
24 Matins.fr.
26 août 2019, Le Mans : Elle mord son conjoint puis le frappe à la tête à coups de bâton.
Le repas de famille avait dégénéré : pour une histoire de vente d'un scooter cette habitante de Montmirail de 34 ans avait violemment agrippé son conjoint qui tombera au sol. C'est alors qu'elle s'était mise à le mordre au bras puis à le frapper à trois reprises la tête avec un bâton alors qu'il tentait de fuir l'assaut.
Elle était aussi jugée aujourd'hui pour avoir violenté son propre père en octobre dernier et avoir saccagé sa voiturette à coups de fourche.
Évidemment à la barre la prévenue tentera de prendre ses juges pour des jambons avec la fable éculée du « Mon mari me frappe, j’en ai eu marre » suivi d'un « Je suis une femme, on ne frappe pas les femmes ». Sauf que, à force d'entendre ce genre de fables inventées de toutes pièces pour la cause d'une défense, les juges ne sont plus dupes. D'autant plus que l'avocat du conjoint rappellera « On ne frappe ni les femmes, ni les hommes ».
Verdict : 8 mois de prison avec sursis, mise à l'épreuve, indemnisation des parties civiles, 100 Euros de réparation pour la voiturette.
Une source :
Ouest France.
25 août 2019, Toulouse : Elles braquent deux buralistes, puis les séquestrent et les frappent à coups de crosse.
Nouvelle démonstration que le crime n’a ni sexe, ni genre. C’est un couple de lesbiennes âgées de 24 ans qui aura monté le braquage, dont la réalisation aura été effectuée avec la complicité d’un adolescent de 16 ans qu’elles auront convaincu. Selon le témoignage d’un des buralistes, l’une des deux femmes avait repéré les lieux en abusant de sa confiance : « J’étais devenu son confident et je l’avais même aidée à déménager. J’avais gardé des meubles à elle chez moi et c’est sûrement comme cela qu’elle a repéré le coffre. »
Vers minuit, les trois personnes malfaitrices pénètrent dans l’établissement en menaçant les buralistes au moyen d’un couteau et d’un pistolet. Une fois à l’intérieur, les buralistes seront ligotés et frappés à coups de crosse. Objectif : leur dérober les clefs du commerce et divers effets dont les téléphones portables et les cartes bleues. 3 heures plus tard, grâce à la géocalisation d’un des téléphones, les policiers interpelleront le trio.
Une cherche dans le fichier TAJ de la police permettra de se rendre compte que l’une des deux malfaitrices avait un casier judiciaire comportant déjà 14 mentions. Celle-ci sera décrite comme une manipulatrice ayant entraîné sa conjointe et leur jeune complice.
Verdict : 5 ans de prison ferme pour la leader, 3 ans de prison dont 1 avec sursis pour sa conjointe. L'adolescent complice sera jugé ultérieurement.
Une source :
La Dépêche.
23 août 2019, Samer : Ancienne braqueuse, maman bourrée poignarde un homme et tue sa fille ?
Selon les clichés promus par le gouvernement, l'ultra-féminisme victimaire et nombre de médias, l'alcool au volant, la conduite sans permis et les braquages sont exclusivement à imputer au méchant sexe masculin.
Sauf que lundi dernier c'est une femme, mère de famille, alcoolisée et sans permis qui a provoqué un terrible accident à Samer, commune du Pas-de-Calais.
Déjà condamnée à 8 ans de prison pour braquage elle est désormais poursuivie comme responsable de cet accident où sa petite fille de 18 mois trouvera la mort, ainsi que pour délit de fuite. Avec son compagnon qui était à bord du véhicule, elle est également soupçonnée d'avoir poignardé un homme quelques minutes avant l'accident.
Encouru : 5 ans d'emprisonnement et de 75 000 Euros d'amende (Article 221-6-1 du Code Pénal).
Une source :
La Voix du Nord.
22 août 2019, Saint-Armel : Il refuse de lui servir de taxi, elle le poignarde au ventre.
Elle se présente avec son amie chez le voisin de celle-ci. Objectif : lui demander d'être leur taxi pour les emmener à Rennes. L'homme refuse et une dispute éclate. Tout d'un coup elle sort un couteau, blesse son amie qui tente de s'interposer et enfonce la lame dans le ventre du jeune homme. Les deux femmes s'enfuieront ensuite.
La femme auteure du coup de couteau ne sera pas présente à son procès, son avocat expliquera qu'elle a tout simplement disparu. L'homme victime fera part de la terreur qu'il vit depuis les faits : « Les conséquences de ma blessure ont été psychologiques. La prévenue savait où j’habitais, alors j’avais peur quand je me trouvais dans le hall de l’immeuble ». Il devra déménager pour retrouver une vie sereine.
Verdict : 10 mois de prison avec sursis.
Une source :
Ouest-France.
21 août 2019, Lyon : Elle dépouille les personnes âgées.
Les clichés misandres sont ancrés dans l'inconscient collectif : un homme aide-ménager on se méfie car c'est "forcément louche", alors qu'une femme aide-ménagère "c'est normal" donc on ne risque rien. Sauf que...
Cette lyonnaise toxicomane de 44 ans se faisait passer tour à tour comme une assistante sociale et comme une aide-ménagère pour entrer chez des personnes âgées et les voler. 12 victimes de 80 à 94 ans seront identifiées. Bijoux, cartes bancaires, petites et grosses coupures, tout était bon à prendre, elle ira même jusqu'à faire 123 retraits sur le compte d'une de ses victimes pour un montant total de 24 000 Euros.
C'est le gendre de l'une de ses proies qui fera preuve de perspicacité en la voyant un coup dans la cage d'escalier après un vol, puis au supermarché en train de dépenser l'argent de son méfait.
Verdict : 2 ans de prison ferme avec mandat de dépôt.
Une source :
Lyon Mag.
18 août 2019, Cannes : Elles lui proposent une relation sexuelle, pour le détrousser.
Que l'on soit un homme ou une femme, quoi de plus normal que de souhaiter finir en chambre une soirée bien arrosée ? Sauf que ces deux pédatrices avaient décidé d'abuser de l'ivresse d'un jeune homme de 25 ans pour le piéger. Profitant de son état de faiblesse elles se feront passer pour désireuses d'avoir une relation sexuelle avec lui et lui voleront sa Rolex 10 000 Euros, une bague de valeur, pour disparaître fissa dans une voiture.
La bande de malfaitrices sera interpellée quelques centaines de mètres plus loin. Une seule des deux sera arrêtée et traduite en justice, l'autre parvenant à s'échapper.
Verdict : 8 mois de prison ferme avec mandat de dépôt.
Une source :
Nice-Matin.
12 août 2019, Dax : Elle le ligote sur une chaise puis le poignarde à la gorge.
Âgée de 29 ans et sous l'emprise de stupéfiants, vers 3 heures du matin elle décide de se rendre chez sa victime qui recevait des amis. Parce qu'elle est tombée malade elle estime que c'est sa faute : il lui aurait prêté une seringue qui aurait été "contaminée". Elle lui reproche aussi une relation sexuelle qu'elle considère désormais comme un viol, sans pour autant avoir déposé plainte.
Alors qu'il ne reste plus qu'un seul convive, elle poignarde l'homme au cou. « Elle s’est jetée sur moi en criant je vais te tuer, en me menaçant avec son arme » déclarera la victime. Le témoin part alors appeler les secours et elle en profite pour ligoter sa victime en sang à une chaise au moyen de câbles électriques. Elle lui tirera les cheveux en arrière et lui plantera une seconde fois le couteau dans la gorge avant que les secours n'interviennent.
Le substitut du procureur la décrira comme « une bombe humaine ».
Verdict : 4 ans de prison dont 2 avec sursis.
Une source :
Sud Ouest.
6 août 2019, Bourgoin-Jallieu : Elle torturait son conjoint depuis plusieurs mois.
Les violences infligées de manière régulière au jeune homme victime étaient aussi nombreuses que diversifiées, entre autre des scarifications administrées au moyen de divers objets tranchants et ceci sur de multiples parties de son corps. Ce ne sera qu'au bout de plusieurs mois de tortures que le jeune homme victime réussira à s'extraire par la fenêtre de la salle de bain.
Sa tortionnaire, une jeune femme de 28 ans, a été placée en examen pour violences aggravées puis écrouée aujourd'hui même.
Nous noterons qu'à ce jour seuls Le Dauphiné et LyonCapitale se sont faits les échos de cette monstrueuse affaire, pas un mot dans les éditions nationales de vos journaux, encore moins dans les JTs ni dans les bouches des "féministes" et celles de vos personnalités politiques préférées : la victime est un homme, il ne semble donc pas être né avec le bon sexe digne de leur compassion. De plus la tortionnaire est une femme, Ouhla ! Double motivation donc aux yeux de tout ce petit monde pour suivre de manière tacite la règle systémique qui prévaut en la matière : Chuuuuut !
Encouru : 10 ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende en cas d'infirmité permanente, 5 ans de prison et 75 000 Euros d'amende dans le cas contraire.
Une source :
Le Dauphiné.
29 juillet 2019, Mantes-la-Ville : Maman poignarde sa fille pour lui imposer son point de vue.
Selon les adeptes des courants féministes les plus extrémistes c'est bien connu : les femmes sont génétiquement prédisposées au stoïcisme, au sang froid, au bon-sens et aux auréoles dorées qui flottent au dessus de leur chevelure d'anges... Les colères irraisonnées, les coups de sang, la violence et les canines qui poussent les nuits de pleine Lune étant donc forcément le fait des hommes, ces espèces de primates possesseurs du méchant chromosome Y responsable de tous les maux de la Terre.
Mais lorsqu'on redescend sur Terre on se rend compte que la violence, la perversité et la stupidité n'ont ni sexe, ni genre prédéfinis. Preuve en est cette mère qui, comme d'habitude, se dispute avec sa fille adolescente de 17 ans qui lui tient tête... Et comme la fessée est désormais interdite en France, cette maman aura trouvé un plan B pour imposer son point de vue : s'emparer d'un couteau doté d'une lame de 20 centimètre et la planter dans l'aine de sa fille.
La fille sera évacuée en urgence par hélicoptère vers l’hôpital Pompidou situé dans le 15ème arrondissement de Paris, les secours précisant que « La blessure est vilaine et le médecin urgentiste s'est dit incapable de poser un diagnostic, estimant qu'il faudra les moyens supplémentaires de l'hôpital pour comprendre la nature des dégâts causés par ce morceau d'acier entré dans le corps de la jeune fille. »
Encouru : 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende si une ITT supérieure à 8 jours est prononcée, sinon 3 ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.
Une source :
Le Dauphiné.
29 juillet 2019, Marseille : Une maman prostituée confie ses 3 enfants en bas âge à une inconnue adolescente qui les kidnappera.
Venue exprès de Poitiers pour se prostituer, cette mère y avait confié ses trois enfants en bas âge à une inconnue rencontrée sur le parvis de la Gare Saint-Charles. Les enfants, deux jumeaux de 1 an et une fillette de 3 ans, disparaitront avec l'adolescente dont ni l'adresse ni les coordonnées n'étaient connus de la mère. Sans nouvelle de ses enfants, celle-ci alertera la police qui lancera une enquête minutieuse.
Ce n'est qu'au bout de 10 jours que, grâce à la téléphonie, les policiers remonteront jusqu'à l'appartement où la jeune kidnappeuse avait trouvé refuge. Celle-ci expliquera avoir voulu protéger les enfants contre leur mère. Elle été mise en examen pour « soustraction d'un enfant mineur à l'autorité parentale », la mère a été mise en examen pour « soustraction à ses obligations légales ».
Encouru :
- 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende pour la kidnappeuse;
- 2 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende pour la mère défaillante.
Une source :
Le Parisien.
27 juillet 2019, Sarrebourg : bébé abandonné dans une voiture brûlante : maman condamnée.
L'affaire avait été assez bien couverte par les médias : pour ne pas réveiller son bébé de 17 mois qui dormait paisiblement, cette maman avait décidé de le laisser dans la voiture, sur le parking du centre commercial, en pleine canicule.
C'était le serrurier du centre commercial qui avait été prévenu par les passants et était venu secourir l'enfant. La température extérieure avoisinait les 30°C et les experts ont estimé que la température à l'intérieur de l'habitacle avoisinait les 45°C. La maman a été jugée et condamnée :
Verdict : 2 mois de prison avec sursis.
Une source :
RTL.
20 juillet 2019, Calais : Maman caressait le sexe de ses trois petits garçons.
« Maman m’a touché là où il ne faut pas », « elle m’a fait la même chose qu’à mes frères ». Ce sont les paroles du cadet de 11 ans, à la barre. C'est lui qui donnera l'alerte auprès de son assistante familiale.
Pour éviter que le papa ne découvre ses pulsions la mère prenait soin de s'isoler avec ses enfants dans la salle de bain et prodiguait les attouchements incestueux à ses enfants pendant cinq à dix minutes.
La mère avait déjà reconnu les faits concernant ses deux autres enfants qui, depuis, ont été placés en famille d'accueil. Le courageux petit dernier les rejoindra désormais.
Verdict : 2 ans de prison avec sursis, retrait de l'autorité parentale.
Une source :
La Voix du Nord.
19 juillet 2019, Nancy : Maman avait bâillonné puis attaché les mains de ses deux filles avant de les tuer : elle est renvoyée aux assises.
Une véritable exécution. A 5 heures du matin, maman avait réveillé ses deux filles de 19 mois et 4 ans, les avait mené dans sa chambre, puis leur avait collé un morceau de scotch sur la bouche, leur avait lié les mains dans le dos, et avait fini par enfermer leur tête dans un sac en plastique pour les tuer.
Avant de procéder à l'assassinat de ses enfants cette mère avait pris des clichés qui montraient un couteau à côté du visage de ses enfants et avait envoyé les photos à un ami. Pour sa défense, face au psychiatre la maman a déclaré avoir obéi à une voix qui lui avait commandé d'agir ainsi. Elle vient d'être renvoyée aux assises.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
L'Est Républicain.
18 juillet 2019, Douai : Maman condamnée : abandonnés, ses enfants s'étaient retrouvés en pyjama et à moitié nu dans la rue.
Les enfants s'étaient retrouvés seuls dans l'appartement et ils avaient réussi fuir. Se retrouvant frigorifés dans la rue, un automobiliste les avait alors pris en charge. En chaussettes, le plus grand âgé de 4 ans ne portait qu'un pyjama et le plus petit de 2 ans qu'une couche et un tee-shirt.
La mère a été reconnue seule et unique responsable du délaissement de ses enfants. Le père a été relaxé.
Verdict : 6 mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve, 500 € pour chacun des deux enfants.
Une source :
L'Observateur.
10 juillet 2019, Saint-Malo : Elle battait son mari depuis 2012 et voulait en finir avec lui en l'égorgeant.
Dans les journaux télévisés de 13h et de 20h autant que dans l'esprit des ultra-féministes, les hommes battus ça n'existe pas. D'ailleurs s'ils finissent tués par leur épouse c'est que forcément ils étaient violents avec.
Sauf que celui-ci était frappé par sa femme de 58 ans depuis 2012 et que les secours étaient déjà intervenus une dizaine de fois chez eux pour lui porter secours. Mais cette fois-ci la violence était montée d'un cran : sa femme venait de surgir dans la chambre armée d'un couteau et d'une bouteille. « Je vais vraiment finir par t’égorger », le menacera-t-elle. Son crime ? Il avait refusé de lui prêter son portable.
Elle mettra ses menaces à exécution, heureusement face à l'assaut son mari se protègera. Elle ne parviendra qu'à entailler sa main et sa joue. La semaine précédente elle l'avait déjà frappé à deux reprises avec une bouteille vide.
Soigné en urgence, il a depuis bénéficié d'une ordonnance de protection prononcée par le Juge aux Affaires Familiales. Une procédure de divorce est désormais lancée .
Verdict : 2 mois de prison avec sursis
Une source :
Ouest-France.
6 juillet 2019, Verdun : Maman battait sa fille, la délaissait et lui demandait d'acheter de la drogue.
C'est la version que donnera l'adolescente de 14 ans à la barre lors du procès de sa mère absente. « Elle me demandait d’acheter de l’héroïne pour elle, me battait souvent. Elle se défoulait sur moi. » Son avocat confirmera : « Elle a découvert la drogue en se servant dans les produits de sa mère ». Elle avait alors 9 ans et ainsi venait de découvrir le cannabis. Trois ans plus tard, à 12 ans, elle découvrira l'héroïne aussi par l'intermédiaire de sa mère. Et comme en classe de 5ème sa fille fuguait alors la mère avait décidé de ne pas l'inscire en classe de 4ème.
La défense de l'adolescente précisera que « Un jour, sa mère a donné son accord pour qu’elle parte en bus rencontrer un inconnu dont elle ne connaissait même pas l’âge. ». Celle-ci confirmera qu'en 2018 sa mère l'avait mise dehors en criant : « prends tes affaires et barre-toi ! » L'homme de 28 ans deviendra par la suite le petit ami de sa fille. Il sera jugé pour soustraction d’enfant et atteinte sexuelle par majeur sur mineur de moins de 15 ans et sera condamné à 3 mois de prison avec sursis et de 18 mois de mise à l’épreuve. Ils sont aujourd'hui toujours en couple.
Verdict : 2 mois de prison ferme pour non scolarisation de sa fille, 900 € de préjudice moral à verser à l’AMSEAA.
Une source :
L'Est Républicain.
5 juillet 2019, Sens : Armées d'un taser elles s'adonnent au car-jacking.
Car-Jacking, un terme qui signifie forcément : homme, violent, immoral, égoïste. Sans oublier que les armes tel que le taser seraient des extensions du pénis de l'homme...
Ce jour là ce sont deux jeunes femmes de 21 et 22 ans qui pointeront le bout d'un taser sur une mamie conductrice. Terrorisée la septuagénaire sera contrainte de leur céder son véhicule. Les agresseuses seront retrouvées 15 jours plus tard après une enquête minutieuse centrée sur leurs téléphones portables et des enregistrement vidéos.
Verdict : 6 mois de prison ferme à exécuter avec un bracelet électronique pour l'une. 3 mois de prison ferme pour l'autre ainsi que 9 mois de prison avec sursis, une obligation de soins et de travail pendant 2 ans.
Une source :
France-Bleu.
4 juillet 2019, Sarreguemines : Maman roue de coups sa fille de 13 ans pour une histoire de téléphone.
Lors d'une soirée entre filles et mère, la jeune adolescente avait décidé de couper le partage de sa connexion de téléphone portable, ce qui avait mis sa mère et sa grande soeur en colère. Une colère qui se finira pas un tabassage en règle dans les toilettes de l'établissement ainsi qu'à l'extérieur où la mère retiendra par les cheveux sa fille qui tentait de fuir l'agression. L'assaut a été décrit par les témoins de la scène comme étant d'une violence inouie.
Note : cette affaire qui s'est déroulée et a été été jugée en France n'a pourtant pas été mentionnée dans les médias français de grande audience. Elle a été dénichée dans un journal luxembourgeois.
Verdict : 6 mois de prison ferme, 100 euros d'amende avec sursis, 500 euros de préjudice moral, 60 euros pour un essuie-glaces arraché par la mère pendant la dispute.
Une source :
L'Essentiel.
4 juillet 2019, Château-Thierry : Maman couchait avec un adolescent de 14 ans.
La trentenaire, maman de 3 enfants, avait connu son jeune amant via son propre fils qui était son ami. Elle avait ensuite interprété son comportement comme des avances et n'avait pas dit non, bien au contraire. Le jeune garçon avait d'abord affirmé avoir été contraint mais il a finalement avoué être consentant. En effet, en France il n'exite pas d'âge minimum de consentement sexuel, l'article de loi proposé par Marlène Schiappa en 2018 et qui fixait cet âge minimum à 15 ans ayant été abandonnée suite à un risque d'anticonstitutionnalité.
La mère de famille a tout de même été condamnée pour atteintes sexuelles sur mineur.
Verdict : 4 mois de prison avec sursis.
Une source :
L'Union.
4 juillet 2019, Le Mans : Battu par sa conjointe, elle avait fini par le tuer avec un couteau à viande.
Un procès où les avocats tenteront de faire croire que lorsqu'on est né avec un sexe masculin et que la vie a fait que l'on a un casier judiciaire alors on se doit obligatoirement de pouvoir fuir une conjointe violente. Une illustration parfaite du célèbre "yakafokon" signée du duo d'avocats qui défendra la tueuse. Quant-à l'amour qu'un homme pourrait ressentir pour sa conjointe ? Mauvaise question : en France un homme c'est forcément un sauvage impulsif égoïste et insensible. Il n'avait qu'à naître avec le "bon" sexe pour avoir l'autorisation d'être perçu comme capable de faire preuve de sensibilité et d'affect envers autrui. Salaud de mec ! D'ailleurs la prévenue dira pour sa défense « moi aussi, je l’aimais » confirmant au passage que son compagnon décédé n'était pas si insensible que les avocats de la défense auront tenté de le décrire.
Bref : encore le procès d'une tueuse de conjoint où à l'audience on aura fait d'abord le procès de la victime cumulant deux torts : d'abord celui d'être né avec un sexe masculin, puis celui d'être décédé et donc dans l'incapacité de se défendre. À se demander s'il n'aurait pas fait exprès de mourir pour tenter d'amadouer le tribunal, n'est-ce pas ?
Heureusement, pour défendre la victime (un comble de lire cette association de mots...) les témoins expliqueront que malgré son passé de délinquant il était un homme battu et totalement sous l'emprise d'une conjointe encore plus violente que lui. Et effectivement, dans une pirouette qui tentera de charger à nouveau la victime, par maladresse l'avocate de la prévenue confirmera que sa cliente était une femme violente envers son conjoint.
Ceci mis à part, on notera qu'à part le quotidien Ouest-France cette affaire suscitera l'omerta médiatique : strictement aucun média ne se sera fait l'écho de ce jugement prononcé ce jour. Une femme tueuse condamnée et dont il est avéré qu'elle fut violente envers son conjoint : chut , ça pourrait s'ébruiter !
Verdict : 10 ans de prison.
Une source :
Ouest-France.
3 juillet 2019, Saint-Sauveur : Jalouse, elle fracture le volet de son ex-conjoint puis va le frapper.
102 000 hommes sont victimes chaque année de violences conjugales des mains de la personne conjointe ou ex-conjointe (source ONDRP rapport CVS 2018 page 84). C'est l'histoire de l'un d'eux qui avait décidé de refaire sa vie avec une autre femme. Sauf que son ex-conjointe ne l'entendait pas ainsi : en pleine « crise d’hystérie » elle tentera à deux reprises d'entrer dans le domicile. « La seconde fois, elle est passée par une fenêtre à l’arrière de la maison, qu’elle savait plus fragile. Elle connaît les lieux, elle y a vécu avec mon client ». Une fois à l'intérieur elle sautera sur son ex-conjoint et tentera de s'en prendre à sa nouvelle compagne. Sur le jeune homme cela se soldera par plusieurs griffures et un hématome qui entraineront 5 jours d'ITT.
La prévenue tentera de berner le tribunal en exploitant le mythe de la femme forcément victime. Sauf qu'il sera démontré qu'elle avait été plusieurs fois agressives avec son compagnon lorsqu'elle avait découvert la liaison qu'il entretenait avec sa nouvelle compagne. À part ça c'est bien connu : en France lorsque des violences conjugales ont lieu dans un couple alors forcément l'homme ne peut pas en être la victime. Au moins à 102 000 exceptions près chaque année...
Verdict : 2 mois de prison avec sursis, 500 € pour son ex. au titre du préjudice moral, 4 008 € pour la fenêtre et le volet dégradés.
Une source :
L'Est Républican.
28 juin 2019, Carcassonne : Elle frappe de nouveau son compagnon et détruit le mobilier.
Encore une affaire de violences conjugales commise par une forcément gentille sainte innocente femme sur un forcément sadique pervers méchant homme, donc une info qui se doit de ne surtout pas être relayée par les médias télévisés et radiophoniques : sauf erreur de notre part, à ce jour pas un mot sur M6, TF1, LCI, BFM... Chut, en France la consigne imposée dans les services de Rédaction parait claire : seules les femmes doivent être considérées comme des victimes de violences conjugales, et donc les hommes sont forcément des agresseurs !...
Bref : l'égalité Femmes-Hommes à la Française dans toutes sa splendeur...
Ceci même si cette jeune femme de 18 ans n'en n'est pas à son coup d'essai : début juin elle avait déjà frappé violemment son compagnon à coups de batte de baseball, ainsi que sa mère. La violence des coups était telle que les médecins avaient prononcé 45 jours d'ITT pour le seul jeune homme. Ah au fait, là aussi en aviez-vous entendu parler dans les journaux, à la télévision ou sur #MeToo ?
Mercredi elle a donc réitéré les violences sur son conjoint et détruit le mobilier, menant enfin à son interpellation. L'agresseuse a été placée en garde à vue avant de... (suspens insoutenable)... Etre relâchée. Elle sera convoquée prochainement devant la Justice pour qu'on lui dise officiellement « Bouh ! Vilaine fille. Pas bien, faut pas recommencer. »
Encouru : 3 ans d'emprisonnement et 45 000 € d'amende pour les coups portés début juin. (Au final ne soyons pas trop crédules : ça se terminera certainement par un rappel à la loi).
Une source :
La Dépêche.
27 juin 2019, Belleu : Maman abandonne son bébé enfermé dans la voiture sous un soleil caniculaire.
Nouvelle preuve que la stupidité humaine n'a pas de sexe prédéfini : cette merveilleuse et parfaite mère avait garé sa voiture sur le parking de l'Intermarché pour aller faire des courses, tout en laissant son bébé de 6 mois enfermé à clé à l'intérieur. La voiture était semble-t-il garée en plein sous le soleil, il était 9 heures du matin mais la température extérieure venait tout juste d'atteindre les 30°C. L'enfant sera secourue après 20 minutes de cuisson, des experts estimeront que ce laps de temps aura suffit pour que l'intérieur de la voiture soit exposé à une température dépassant les 45 °C.
Les secours croiront d'abord à un malencontreux oubli : effectivement quelle mère laisserait volontairement son enfant dessécher dans cette véritable autoclave ? Sauf qu'interrogée par la police la mère avouera avoir volontairement agit ainsi « pour ne pas réveiller bébé qui dormait ».
Elle est désormais poursuivie pour mise en danger d'autrui sur mineur de 15 ans et a été laissée en liberté. Toutefois, pour éviter que cette géniale maman ait l'idée fabuleuse de laisser son enfant dormir dans son lit si un incendie éclatait dans la demeure, les magistrats ont décidé de placer l'enfant chez le père.
Encouru : 1 an de prison et 15 000 Euros d'amende.
Une source :
France Info.
26 juin 2019, Melun : Pour un Mac-Do refusé, elle taillade son conjoint avec une feuille de boucher.
Il avait eu le tort de vouloir offrir un Mac-Donald à leur fils commun, mais pas à la fille que son épouse avait eu d'un autre homme. Résultat : elle lui avait lancé au visage divers objets dont l'un lui avait ouvert l'arcade sourcilière, puis elle s'était emparée d'une feuille de boucher pour lui taillader la main et l'avant-bras. Plusieurs points de suture et une ITT de 45 jours avaient été nécessaires.
Malgré la violence de l'assaut dont il avait été victime de celle qu'il aime, il avait refusé de porte plainte contre sa conjointe et c'est finalement le parquet de Melun qui avait poursuivi son agresseuse.
Une actualité qui nous rappelle qu'en France depuis 2015 les chiffres de l'ONDRP ont montré qu'en pourcentage de victimes les hommes battus sont 3 fois plus nombreux que les femmes à se taire, à ressentir la honte des coups et de l'oppression sociale. Ainsi, si l'Etat et les associations ultra-féministes osent prétendre que seulement 1 victime sur 3 de violences conjugales déclarée est un homme, dans les faits les hommes victimes terrés dans l'ombre s'avèrent finalement être en nombre réel 33 (trente-trois) fois plus nombreux que ceux qui ont le courage de se tourner vers la justice.
Verdict : 8 mois de prison avec sursis.
Une source :
Actu.fr.
25 juin 2019, Mulhouse : Elle battait et mordait son fils de 2 ans.
C'est au cours d'une visite concernant sa petite sœur qu'un médecin sera alerté en voyant le petit garçon qui l'accompagnait : son corps portait les stigmates de coups et de morsures humaines. La mère prétendra que son fils avait été mordu par d'autres enfants mais le parquet dénoncera son mensonge : « sur les traces, on constate qu’il manquait une dent chez la personne qui a mordu l’enfant. La mère en l’occurrence ».
Verdict : 1 an de prison ferme, la garde de son fils lui a été retirée.
Une source :
20 Minutes.
20 juin 2019, Colmar : Elle avait tué ses 5 bébés et avait fui la justice pendant 14 années.
Vous remarquerez qu'aujourd'hui, sauf erreur de note part, aucun journal télévisé ne s'est fait l'écho de cette condamnation. Nous gageons que si elle avait été un homme alors toute la Presse télévisée s'en serait délectée. Là c'est une sainte femme donc Chuuuuut ! On appelle ça l'objectivité médiatique.
Cette mère parfaite avait accouché seule chez elle dans une baignoire puis avait tué ses cinq nouveaux-nés, avait caché les cadavres de quatre d'entre eux dans un cagibi plusieurs années durant avant de les enfermer dans des sacs poubelles et de les abandonner dans la forêt de Galfingue. Le cinquième avait été retrouvé chez elle caché dans une glacière.
Comme d'habitude le premier moyen de défense consistera à tenter de berner les jurés avec la jolie fable du déni de grossesse : celle qui permet à toute mère de tuer son nouveau né lorsqu'elle se rend compte qu'un bébé ce n'est pas ce jouet en plastique qu'elle a reçu à Noël et devant lequel elle a fantasmé durant plusieurs décennies d'immaturité. Le second moyen de défense consistera à faire passer la prévenue pour une personne au discernement altéré. Echec sur toute la ligne ! Lucides, les jurés suivront le procureur qui relèvera que tous les éléments du meurtre étaient constitués au moment où elle aura donné la mort à chacun de ses enfants.
En cavale depuis 14 ans elle avait été confondue grâce à un prélèvement ADN réalisé après une rixe entre voisins.
Verdict : 20 ans de réclusion criminelle.
Une sources :
20 Minutes.
18 juin 2019, Périgueux : Elle avait secoué son bébé, la vie de l'enfant est aujourd'hui un calvaire.
Scoop du jour dans certaines rédactions de vos journaux préférés : un bébé ça pleure !
Une circonstance atténuante aux yeux de ces médias dans leur quête pour déresponsabiliser les mères forcément aimantes et attentionnées lorsqu'elles secouent violemment leur bébé. Sauf que quand on a la trentaine on est quand même sensée avoir compris qu'un bébé ce n'est pas une poupée en plastique flanquée d'un bouton ON/OFF. Et lorsqu'on ne l'a pas compris alors on devrait faire grâce à lui et à la société de pondre, ceci juste le temps de prendre un peu de maturité.
Le geste de cette mère parfaite avait occasionné de graves lésions au cerveau du bébé âgé alors de 3 mois. Aujourd'hui, âgé de 6 ans, l'enfant est aveugle, avec un retard psychologique important, de plus il ne peut ni se déplacer seul, ni manger, ni s'habiller, ni parler... A l'audience, l'assistante familiale décrira le quotidien de la petite victime : un véritable calvaire.
Verdict : 1 ans de prison ferme, 4 ans de prison avec susis, mise à l'épreuve.
Une sources :
France Info.
18 juin 2019, Esmoulins : Affaire Daval, Jonathann était-il victime de violences conjugales ?
C'est la question que l'on peut se poser après les révélations dévoilées hier par Jonathann Daval au sujet du meurtre de sa femme. Lors de la reconstitution, de nouveaux éléments expliquant son geste ont menés les experts scientifiques à déclarer qu'elles coïncident avec leurs expertises .
Les explications données hier par la défense mettent en lumière une altercation qui eut lieu quelques minutes seulement avant le décès d'Alexia Daval, sa femme. L'épouse désirant avoir un enfant était en phase d'ovulation, elle aurait donc sollicité de son époux Jonathann une relation sexuelle qu'il aurait refusé. Ce refus aurait menée la femme éconduite à agresser psychologiquement son mari : injures sexistes, dénigrement de sa personne...
Une enquête réalisée début 2018 avait déjà mis en lumière le comportement agressif et le harcèlement récurrent dont était victime Jonathann de la part de son épouse : les enquêteurs avaient épluché le téléphone portable d'Alexia et découvert nombre de messages SMS violents où elle reprochait à son mari ses difficultés à avoir un enfant et l'accablait de son impuissance. Les agressions dont elle était l'auteure se révélaient même à teneur sexiste misandre : « T'es impuissant, tu bandes pas, t'es une merde ». L'avocat de Jonathann la qualifiera de dominante, une femme qui ne « fait des concessions à sa liberté (que) si elle estime que ça le mérite ». Le perçu que cette femme avait de son mari se résumerait en cette injonction : « T'es au niveau ou tu dégages ». Jonathann avait alors confirmé le comportement agressif de son épouse qu'il avait décrite comme hystérique le jour de son décès.
Ce serait donc blessé par cette nouvelle agression que Jonathann aurait pu vouloir faire cesser cet assaut agressif verbal par un acte physique de défense psychologique, qui se serait soldé par le décès involontaire de l'agresseuse.
Quant à nous, nous nous permettrons simplement de noter que si Jonathann avait été une femme ayant tué son conjoint après avoir refusé une relation sexuelle à son mari oppressant, toutes les associations féministes auraient défendu la meurtrière en relevant qu'elle a subi un fait de harcèlement psychologique. Là, pas un mot.
C'est ce comportement discriminatoire sexiste de la bienveillance des médias et des associations féministes en fonction du sexe des protagonistes de telles affaires qui nous interpelle aujourd'hui. Quant à Jonathann : était-il plus victime ou plus agresseur ? Seule la justice devra le dire, et certainement pas la rue.
Encouru : 15 ans de réclusion criminelle en cas de violences volontaires ayant entraîné involontairement la mort, réclusion criminelle à perpétuité si homicide vonlontaire sur conjoint.
Deux sources :
- Sur les aveux : La Dépêche.
- Sur l'oppression dont il était victime : La Dépêche.
- Sur l'interview de son avocat : Cnews.
10 juin 2019, Boulogne-sur-Mer : Sous l'emprise de l'alcool, elle tue son frère d'un coup de couteau à la carotide.
Concernant cette affaire, tentons une approche que ne manqueront pas d'avoir les ultra-féministes. Donc cette fois-ci la victime le gros méchant salop de monsieur n'est pas le mari mais le frère de la tueuse la pauvre gentille et douce femme oppressée par la méchante société patriarcale. Evidemment au préalable il y avait eu une dispute entre les protagonistes agression sauvage uniquement de la part du frère, et évidemment elle ne pouvait ni fuir, ni appeler à l'aide ni ce que vous voudrez d'autre que de prendre une arme et de tuer sauver sa vie in-extrémis avec un couteau le seul objet de survivance qu'elle trouva à portée de sa main. La conjointe de la victime du salopard de frère était aussi présente. Sans surprise tous les trois étaient fortement alcoolisés le frère était bourré, cet espèce de pochetron, alors que la soeur et la conjointe étaient dans un état second dû à l'absorption malencontreuse de boissons les ayant menées dans un état d'ivresse de manière totalement fortuite et indépendante de leur volonté.
La soeur suspectée de meurtre pauvre et innocente femme victime du gène masculin porteur de la perversité de la violence humaine a été placée en garde à vue. Elle a été décrite par le parquet le bras armé du patriarcat comme ayant « la mémoire un peu difficile ». Elle déclare ne pas avoir pu commettre un tel acte « vu l’amour qu’elle porte à son frère ».
Encouru : 30 ans de réclusion criminelle en cas d'homicide volontaire, 3 ans et 45 000 Euros en cas d'homicide involontaire.
Une source :
France Info.
7 juin 2019, Béziers : Maman avait secouru une jeune fille, depuis elle la traitait en esclave.
La jeune victime de 22 ans avait du fuir un compagnon violent et, aidé de sa propre mère, ait trouvé refuge chez cette dame de 32 ans. Mais rapidement la bouée de secours se transformera en un véritable enfer : les coups, les violences verbales et psychologiques étaient alors vite devenu son quotidien, la jeune victime étant même contrainte de s'occuper des 9 chiens et des 4 enfants de la famille, faire le ménage, la lessive... Elle était contrainte de dormir sur un matelas à même le sol au milieu des excréments des chiens et avait l'interdiction d'ouvrir le frigo. Non rétribuée pour ces services à domicile la jeune fille était aussi contrainte de verser son salaire de serveuse sur le compte bancaire de sa tortionnaire.
La mère de famille reconnaitra les violences mais criera au complot en accusant son ex-conjoint, père de deux de ses enfants. Celui-ci avait dénoncé son ex-femme violente. Il avait aussi filmé les sévices et les conditions de travail subis par celle que son ex-conjointe considérait comme sa bonne à tout faire.
Verdict : 5 ans de prison, maintien en détention, interdiction de contact avec la victime, interdiction de paraître dans l'Hérault, privation des droits civiques pendant 5 ans.
Une source :
Le Midi Libre.
6 juin 2019, Paris : Des Neymar : aujourd'hui en France, ils sont des milliers !
Des milliers d'hommes accusés de viol et qui n'ont pas la chance de valoir 400 Millions d'Euros, voire beaucoup plus en ventes dérivés, pour avoir droit à la Présomption d'Innocence et à la bienveillance des médias.
Car il ne vous aura pas échappé qu'en France, lorsqu'une plainte pour viol ou pour attouchement est déposée par une femme contre un homme, politicien ou simple père en instance de divorce, lorsqu'un buzz peut ensuite en être obtenu par les médias ou la plaignante, alors dans les journaux et à la télé un voile de misandrie est posé sur le principe même de Présomption d'Innocence. Objectif des médias ou de la plaignante : faire du business, du fric, se délecter ainsi d'un éventuel scandale, quitte à l'amplifier un peu. Ils sont des dizaines de milliers, ces hommes, souvent anonymes, victimes de préjugés sexistes et déchus de leur droit à la Présomption d'Innocence parce qu'ils ont pour seul tort d'être nés avec un sexe masculin.
Nous ne pouvions donc passer sous silence cette nouvelle affaire, celle concernant Monsieur Neymar. Nous nous réjouissons qu'aux yeux des médias Lui ait eu automatiquement droit à cette Présomption d'Innocence. Mais nous ne pouvons que dénoncer cette géométrie variable de la part des médias, celle qui consiste à n'accorder ce droit légal et essentiel qu'aux vedettes dont l'aura positive leur rapporte indirectement de l'argent, tout en la refusant à tous ceux qui valent de l'or aux yeux de ces mêmes médias lorsqu'ils sont présentés à la vindicte populaire revêtus du masque du coupable idéal.
Ces Neymar qui n'ont pas la chance de s'appeler Neymar, ces gens lapidés par une opinion publique armée au nom du fric par la main des médias : ils sont des milliers.
#TousNeymar
#JeSuisNeymar
Vous pouvez constater par vous même le déséquilibre de nos lois concernant les peines encourues :
- 5 ans de prison et de 45 000 € d'amende pour une plaingnante qui n'arrive pas à détruire la vie de sa victime,
- 15 ans de réclusion criminelle pour la victime qui n'aura pas réussi à démontrer qu'il est innocent, même s'il l'est.
Une source :
Le Monde.
6 juin 2019, Cahors : Elle avait tenté de tuer sa petite fille en la jetant dans le Lot.
La mère de 41 ans avait placé sa fille de 14 mois dans un siège bébé avant de la jeter dans les eaux du Lot près du pont Cabessut. Un témoin avait entendu un Plouf avait appelé les secours. La mère tentera d'abord de faire croire à un accident avant de reconnaître les faits à la barre. Le capitaine de police étant intervenu sur la scène précisera que « il y a des rochers affleurant l’eau sur une distance d’un mètre depuis la berge », ce témoignage permettant de préciser que le siège n'avait pas été posé mais bien jeté à l'eau. L'avocate générale remarquera qu'« il en faut de la détermination pour jeter environ 11 kg à plus d’un mètre ! ».
Suite à son séjour dans les eaux du Lot la petite fille passera 2 semaines dans le coma. Elle est désormais tétraplégique et son cerveau est atteint de graves lésions qui l'empêcheront d'avoir une vie normale.
Verdict : 10 ans de réclusion criminelle, assortis de 7 ans de suivi socio-judiciaire à sa sortie de prison. Elle est déchue de son autorité parentale sur ses trois enfants.
Une source :
La Dépêche.
5 juin 2019, Nantes : Elle frappe la femme de ménage de l'hôtel.
Cette femme devrait être jugée aujourd'hui. Lundi dernier, avec 2 g/L d'alcool dans le sang, elle s'était présentée à la porte d'un hotel fermé, seule la femme de ménage était présente et travaillait à l'entrée. Devant le refus de l'employée de la laisser entrer, la femme ivre sortira une bouteille, frappera la femme de ménage dans le dos puis cassera le rétroviseur de sa voiture de service.
Encouru : 3 ans de prison et 45 000 Euros d'amende.
Une source :
Presse-Océan.
4 juin 2019, Saintes : La mère et la grand-mère matriarche avaient tenté d'assassiner la petite Elsa.
A quelques rares exceptions les médias étaient restés discrets sur cette tragédie.
Une petite fille d'à peine 2 ans avait échappé à une tentative d'assassinat des mains de sa propre mère et de sa grand-mère. La seconde, véritable matriarche au sein de la famille, avait réussi à faire adhérer tout le foyer à des thèses paranoïaques voyant de sombres manipulations commanditées par les services secrets. Ces thèses complotistes mettront en alerte le père de la fillette. Cela aboutira à une séparation, puis les deux femmes tenteront de récupérer la garde de l'enfant en accusant le père d'attouchements sexuels et de violences. Voyant que la manipulation ne prenait pas, avec la complicité de l'oncle de la petite fille elles auraient alors décidé de tuer la petite Elsa dans un projet de suicide collectif. La maison familiale sera ainsi incendiée volontairement. Ce funeste projet se soldera par le décès de l'oncle de la petite fille, les autres occupants seront sauvés in-extremis.
La petite Elsa a depuis été confiée à son père.
Verdict : 20 ans de réclusion criminelle pour la mère, dont cinq ans de suivi socio-judiciaire. La grand mère est condamnée à 15 ans de prison.
Une source :
France Bleu.
3 juin 2019, Margut : Mamie frappait ses petits enfants.
« J'étais hystérique, je l'ai frappé partout, comme une folle, avec mes mains. » avouera la grand-mère à la barre.
N'étant pas crus par leur mère, ce sont les enfants eux-même qui avaient tourné une vidéo mettant en scène ces violences. Leur mamie aurait frappé le plus petit des deux garçons avec un balai et des pantoufles parce qu'il n'était pas sage. Le plus grand avait aussi subi des sévices qui ont mené à l'établissement d'un certificat médical mentionnant des ecchymoses et des plaies sur les jambes.
Verdict : 3 mois de prison avec sursis.
Une source :
Radio 8 FM.
3 juin 2019, Caen : Elle tabasse un vigile et frappe un policier municipal.
En fin d'année dernière, ivre, cette femme de 44 ans s'était présentée dans une boutique de téléphonie mobile pour changer sa carte SIM. Le vendeur lui demandera une pièce d'identité qu'elle ne possède pas, ce qui mènera la cliente à vouloir squatter le magasin, canette de bière à la main. A deux reprises elle se fera mettre dehors par le service de sécurité, mais la seconde fois elle tabassera à coups de poings le vigile. Un policier municipal interviendra et sera lui-aussi frappé par la furie.
Verdict : 5 mois de prison avec sursis, 600 Euros de dommages et intérêts au policier victime.
Une source :
Ouest France.
31 mai 2019, Massy : Elle poignarde son conjoint de 12 coups de couteau de cuisine, et prétend ensuite avoir voulu se défendre.
Les faits ont eu lieu vendredi dernier. Pour sa défense cette femme de 32 ans contera évidemment aux enquêteurs le récit d'un couple aux relations qui se dégradent avec des disputes de plus en plus fréquentes. Sauf que des disputes il y en a dans tous les couples et que, heureusement, très rares sont celles qui aboutissent à des violences physiques. D'ailleurs aucune plainte ni main courante n'aura été déposée à ce sujet concernant ce couple. Le médecin qui a examinée la trentenaire ne relèvera d'ailleurs strictement aucune trace d'une éventuelle ancienne violence mais uniquement quelques petites ecchymoses récentes sur son corps dont il s'avouera incapable de « pouvoir en déterminer l’origine ». Bref : rien pour étayer la jolie petite tartine victimaire servie par la tueuse présumée aux enquêteurs.
Par contre des traces de violences au sein de ce couple, il en existe effectivement, mais uniquement sur le cadavre du conjoint. Lors de l'autopsie lundi dernier le médecin légiste constatera une douzaine de coups de couteau de cuisine portés au thorax et au cou.
Donc nous rappelons que, après avoir tué votre conjoint(e), pour espérer être cru en racontant aux enquêteurs une jolie fable de violences conjugales, il vous faut tout de même avoir quelques traces sur votre corps ou dans les registres de la Police. Il vous faut aussi éviter de prendre votre prétendu agresseur pour un punching-ball et de vous acharner dessus que ce soit avec un couteau, une tronçonneuse, une mitrailleuse, une voiture comme un 38 tonnes... Bon ça c'est évidemment valable que si vous êtes un homme : si vous êtes une femme alors vous avez tous les droits, vous pouvez même le décapiter, mettre sa tête dans un four à micro-onde puis le hacher encore tout fumant dans un blender avant de tout donner à manger à votre chien dans sa gamelle, 99.9% des médias vous croirons si vous plaidez la légitime défense ou la thèse accidentelle.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
Le Parisien.
22 mai 2019, Laon : Ses enfants, « elle les a déchargés comme des encombrants que l’on met devant chez soi en attendant le ramassage ».
Le néo-féminisme octroie déjà la possibilité à une mère de mettre aux ordures un bébé qu'elle trouve encombrant : ça s'appelle le déni de grossesse et ça consiste à dire « promis-juré je ne savais pas que j'étais enceinte » car si elle le dit, c'est que c'est forcément vrai. Par contre un homme qui ne veut pas d'enfant et qui se fait berner par une femme qui l'utilise pour se faire mettre enceinte, lui est forcément un gros salop quoiqu'il dise, quoiqu'il fasse lorsqu'il découvre avoir été dupé. Malgré ces inégalités de droits que le néo-féminisme s'évertue à promouvoir dans notre société, on ne peut nier que dans moult domaines l'Egalité Femmes-Hommes est acquise : les femmes et les hommes s'équivalent, on pourrait même dire que souvent il n'y en a pas un pour rattraper l'autre.
Ce couple-ci peut se prévaloir d'en être une excellente illustration. Un jour ils se séparent, et comme souvent dans cette situation la garde des enfants devient un enjeu. Mais pas comme on l'entend généralement : eux, leurs deux enfants de 4 et 6 ans, ils n'en veulent plus. Donc là où des parents classiques s'entredéchiraient et se feraient les pires vacheries pour ne pas présenter les enfants au conjoint, eux préfèrent ne pas se présenter au rendez-vous pour ne pas avoir à les récupérer. « Ils jouent au ping-pong, ils se renvoient les enfants et parfois, ils reviennent comme un boomerang » dira l'avocat des deux garçons. Ca finira avec les deux petits garçons en pyjama abandonnés par leur mère sur le trottoir et sous la pluie face à la porte résolument fermée du père.
A la barre le père de 30 ans reconnaîtra avoir des accès de violence et donc préférer ne pas avoir à y exposer ses propres enfants. Quant à la mère âgée de 25 ans, l'avocat des enfants dira qu'« elle les a déchargés comme des encombrants que l’on met devant chez soit en attendant le ramassage ». Des parents que tout divise donc, mais en parfait accord pour ne pas demander de l'aide aux services sociaux et confier leurs enfants à une famille d'accueil. Tous deux seront condamnés pour abandon d'enfant.
Les deux petits garçons sont désormais placés dans une famille d'accueil aimante, chacun des parents peut leur rendre visite une fois par mois à raison d'une heure. On peut légitimement se demander s'ils se déplaceront...
Verdict : 8 mois de prison avec sursis pour chacun des deux parents. Chaque parent devra verser des dommages et intérêts à chacun de ses enfants : 3000 euros du père, 2000 Euros de la mère.
Une source :
Le Dauphiné.
21 mai 2019, Lorient : Par crainte que ses enfants l'abandonnent, elle avait décidé de les tuer...
... En leur faisant avaler des tasses de chocolat chaud dans chacun desquels elle avait discrètement dissout 63 sachets de Lexomil, c'est à dire entre 3 et 4 fois la dose mortelle. Les deux plus jeunes enfants âgés de 12 et 14 ans avaient sagement bu leur tasse, pas la plus grande de 18 ans.
Voyant ses enfants tituber c'est le père qui alertera les secours. Hospitalisés en urgence ils survivront.
A la barre la mère se justifiera en ces termes : « J’avais peur que mon mari et mes enfants ne me quittent. J’ai agi comme ça sur le coup. Je le regrette », « Je voulais qu’on meure tous, les enfants d’abord, mon mari ensuite et moi, enfin ». Une mère que le néo-féminisme qualifiera certainement d'altruiste et bienveillante, qui a décidé de passer à l'acte suite à une dispute conjugale et 5 à 6 bières avalées ensuite parce que « Je voulais me détendre ».
L'autorité parentale ne lui sera pas retirée, elle a toutefois interdiction de voir ses deux plus jeunes enfants.
Verdict : 3 ans de prison dont 18 mois avec sursis, 2 ans de mise à l'épreuve.
Une source :
Ouest-France.
20 mai 2019, Dijon : Une mère condamnée pour privation de soin : son enfant de 6 ans avait le poids d'un bébé d'1 an.
La petite fille a été diagnostiquée victime de ce que les experts nommeront un nanisme psycho-affectif. Les symptômes sont aussi nombreux qu'effrayants : rachétisme, dénutrition importante et ancienne, taux de potassium au plus bas... La petite fille avait subit pendant toute sa vie des privations alimentaires, sensorielles et affectives. Les experts parlent même de croissance empêchée dont les conséquences s'avèrent dramatiques sur tous les aspects médicaux : neurologiques, physiques et psychologique. La procureur fera une comparaison entre l'enfant et les petites filles africaines victimes de famine. Elle notera aussi le « manque d'introspection de la mère, seule à l'origine de cette maltraitance, de ces carences affectives et de ces négligences alimentaires ».
Outre les horreurs dont elle sera reconnue coupable, cette mère marquera le tribunal par son comportement irrespectueux. Effectivement quelques minutes avant le traitement de son affaire elle entrera dans la salle avec violence et s'écriant à haute voix « bonjour tout le monde ! ». Son attitude imposera une interruption de séance. Cette même mère brillera par son absence à l'énoncé du verdict la concernant, mais se présentera avec une demi-heure de retard en hurlant à nouveau, forçant pour la seconde fois le tribunal à interrompre l'audience en cours.
Verdict : 18 mois de prison avec sursis, retrait de l'autorité parentale.
Une source :
Le Bien Public.
17 mai 2019, Montauban : Elle avait tué puis bétonné le cadavre de son conjoint au grenier. Le procureur parle d' « un dossier de violences conjugales parce qu’il s’agit d’une femme qui a tué son mari ». Sa peine alourdie en appel.
L'Affaire Jacqueline Sauvage a ouvert une boîte de Pandore au service de toutes les femmes soucieuses d'écoper d'une peine minimisée après avoir tué un conjoint encombrant : raconter qu'il était violent. Pas besoin de trucs couteux à établir comme par exemple des preuves, votre bagou suffira : une fable répétée en boucle entre votre bouche et vos oreilles jusqu'à vous en convaincre et le tour est joué, il n'y a plus qu'à servir. Car une femme c'est gentil et donc quand ça tue un homme en disant promis-juré qu'il était méchant alors c'est que c'est forcément vrai. Et ce n'est pas un Minsitère de la Justice sommé de faire des économies de budget qui y verra à redire.
Face à cette injonction, peut-être oserez-vous alors timidement demander :
- Et un mari qui tue sa femme et qui dit qu'il était battu ?
Que les océans de cyprine purificatrice jaillissant de Sainte Clito, gentille douce et innocente déesse du féminisme, vous engloutissent et vous terrassent sans pitié, suppôt du vil phallus patriarcal ! Non, on est en France, donc si vous voulez éviter les ennuis on vous le répète : une femme a forcément une raison valable qui justifie de flinguer son conjoint, de le torturer, et qui plus est de le frapper. Et puis mettez-y un peu de bonne volonté : si la victime est un homme c'est donc forcément qu'il est un peu responsable de son propre meurtre. Par exemple il y a 10 ans il l'aura certainement un peu énervée traumatisée en laissant malancontreusement volontairement tomber un verre dans l'évier en faisant pendant qu'elle faisait la vaisselle. Si si, cherchez bien ! Et si vous ne trouvez pas il y aura bien une voisine, une amie ou une collègue a qui elle aura dit un jour s'être relevée en se cognant la tête contre un battant de placard qu'elle avait connement laissé ouvert avoir reçu un coup sur la tête de la part de son salaud de conjoint. D'ailleurs, Monsieur le juge, regardez entre les cheveux sur son crâne, là : 10 ou 15 ans plus tard lorsqu'on appuie, ça pique encore. « Aïe ! ».
Sauf que dans cette affaire-ci jugée en appel, le procureur notera qu'il « s’agit bien d’un dossier de violences conjugales parce qu’il s’agit d’une femme qui a tué son mari ». Un procureur doté de bon sens, comme tous. Mais lorsque les procès se feront par échange de hashtag et que les décisions de justice se rendront sur Change.org pas sûr qu'ils aient encore voix au chapitre.
La pauvre et malheureuse criminelle plaidera la thèse de l'accident parce que lorsqu'un conjoint décède accidentellement à la maison il est évident que l'épouse n'appelle ni le voisinage à l'aide, ni les pompiers ni la police... Il est beaucoup plus naturel pour elle d'aller enterrer le cadavre dans le jardin familial sous un pergola, puis tout autant naturel plus tard de se dire qu'il serait mieux à pourrir au grenier, dans lequel elle hissera le corps de 90 kilos à l'aide d'une sangle, avant de l'y emmurer dans un coffrage de béton. Normal aussi d'attendre 5 jours pour se rendre à la police accompagnée de la propre mère de la victime pour ensemble signaler sa disparition... Et parfaitement naturel pour une maman de faire ensuite dormir ses propres enfants pendant plusieurs mois à quelques mètres du cadavre en décomposition de leur papa. C'est si beau l'amour maternel lorsqu'il s'exprime.
Quant à l'accident à proprement parlé on est dans une logique similaire : le conjoint aurait été ivre et, de colère contre sa femme au cour d'une dispute conjugale, se serait lui même collé le canon de l'arme sur la tempe, avant de provoquer sa femme en lui disant qu'elle ne serait pas capable d'appuyer sur la détente. Comme par hasard l'arme était chargée... Pas de chance ! La pauvre épouse naïve et innocente aurait alors empoignée l'arme, et comme les armuriers sont des gens totalement incompétents lorsqu'ils créent une arme alors forcément le seul fait de saisir l'arme a fait partir le coup...
Et pour justifier tous les mensonges qu'elle aura servi à la famille du défunt pendant les vaines recherches du corps, elle dira avoir subi des violences sexuelles pendant sa jeunesse ce qui aurait provoqué une dissociation après avoir tué son mari.
Une affaire qui nous fait surtout penser que comme moyen de défense parfois il est plus simple et judicieux d'éviter de prendre les gens pour des cons.
Verdict en appel : 10, ans de réclusion criminelle (3 ans de prison avaient été prononcés en première instance).
Une source :
20 Minutes.
8 mai 2019, La Rochelle : Lily-Rose sera mieux chez son père.
La vidéo diffusée sur le Net avait fait le buzz : la voix d'une petite fille, attribuée à la petite Lily-Rose, mais dont on ne voyait jamais le visage. Les paroles disaient : « je ne veux pas qu'il pose son sexe sur mon sexe ». S'en étaient suivis des signalements auprès de la police, les clichés sur les hommes forcément pédophiles et sur les saintes mères avaient fait le reste. Une jolie fable fut ensuite rapidement élaborée sur le Net, relayée et amplifiée par les médias les moins scrupuleux : celle d'un papa évidemment méchant et pervers que forcément la petite fille ne pouvait que dénoncer...
...Sauf que, encore une fois, en cherchant un peu au delà des aprioris sexistes on découvre que la vérité va au delà des jolies fables bien stéréotypées sur le méchant et si pervers sexe masculin des papas.
Revenons 9 ans en arrière. Après la naissance de la petite Lily-Rose, le couple se déchire. La mère vivant en Martinique obtient naturellement sa garde et le père vivant à La Rochelle un droit de visite et d'hébergement. Les trois premières années le père ne verra sa fille que deux fois, et ceci sur une durée totale d'à peine un mois et demi. Les six années suivantes il n'y aura plus moyen pour lui de la revoir : la mère trouvera tous les prétextes possibles pour ne pas la lui présenter, entre autre l'accuser de multiples attouchements pendant cette période où pourtant il a été démontré que le père et sa fille n'ont pu se voir. La mère déposera une plainte contre le père, mais l'incohérence de ses allégations mènera à un classement sans suite et la mère sera condamnée à 9 mois de prison ferme pour non présentation d'enfant et dénonçiation calomnieuse. La petite fille sera donc confiée au père.
C'est là qu'intervient la fameuse vidéo tournée le 17 avril 2019. Il y est subtilement suggéré que suite à cette décision de justice le père était venu récupérer sa fille. Pourtant, en étudiant la vidéo de plus près, on se rend compte que l'on y entend des mots sans jamais y distinguer le visage de la petite fille, ni même quelque chose qui permettrait d'identifier avec certitude qui parle et dans quelles conditions. Quelques jours plus tard le père dénoncera cette vidéo : « Ma fille est instrumentalisée depuis sa naissance, et ce que vous voyez ici sur ces images, en fait ce n’est que le résultat de cette instrumentalisation. » Il précisera : « Je n’ai jamais pu souhaiter un anniversaire, un Noël, une fête des pères : je n’ai rien pu partager avec ma fille depuis sa naissance. »
Suite à l'émotion suscitée par la vidéo, une enquête est diligentée : la petite fille est présentée à un collège d'experts psychiatres et psychologues qui ont pour mission de comprendre si et pourquoi elle tiendrait de tels propos. Le 24 avril la petite Lily-Rose devait rentrer en Martinique chez sa mère, mais l'expertise confirmera aux yeux de la justice une mère potentiellement instable et pouvant représenter un danger pour sa petite fille. En attendant la décision du juge aux affaires familiales la justice placera donc provisoirement la petite Lily-Rose chez son père à La Rochelle où depuis elle a repris l'école.
Verdict : Finalement, hier, au vu des éléments en sa possession, le juge aux affaires familiales a décidé de placer l'enfant chez son père, à La Rochelle, avec uniquement un droit de visite accordé à la mère pendant les vacances.
Une source :
France Info.
8 mai 2019, Eragny : Pour lui faire peur, elle prend un couteau... Et le tue.
C'est la version présentée par cette femme de 29 ans qui a tué son conjoint dans la nuit de samedi à dimanche derniers. Pendant une dispute conjugale, elle aurait pris un couteau pour lui faire peur. Il se serait alors avancé et elle aurait porté un seul coup, fatal, au cou de son conjoint de 35 ans. Elle annoncera avoir été violentée et avoir déjà porté plainte. Sauf que...
... La version de la famille et des témoins est très différente : « Elle l’a déjà menacé la semaine dernière. Elle disait qu’elle allait le tuer ». Le fils aîné de la victime aurait été témoin de la scène : « Elle est passée à l’acte. Elle l’a tué. Ce n’est pas un accident, pas un geste de défense. » La mère de la victime déclare aussi que : « Il a eu le temps de le dire à son fils qui a tout vu et qui est traumatisé d’appeler les pompiers, et il s’est écroulé. Il a lutté toute la journée contre la mort. Il a subi 4 heures et demie d’opération. »
La conjointe, incarcérée depuis les faits, est décrite comme une personne souvent alcoolisée et violente. « Il avait peur d’elle et n’en dormait plus. Il était au bout du rouleau. Il appelait à l’aide. »
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
Le Parisien.
7 mai 2019, Saint-Etienne : Elles auraient profané 62 tombes.
Nouvelle démonstration que, contrairement aux clichés sexistes que le néo-féminisme diffuse dans notre société, le penchant pour la bibine et la connerie humaine n'ont véritablement aucun sexe prédéfini : trois jeunes femmes de 14, 17 et 19 ans ont reconnu avoir profané plusieurs dizaines de tombes du cimetière Valbenoîte, à Saint-Etienne, dans la soirée d'hier. A ce jour cela concernerait au moins 62 tombes : les croix et plaques funéraires ont été brisées, les pierres tombales renversées. Les trois damoiselles étaient dans un état avancé d'alcoolémie.
Encouru : 1 an de prison et 15 000 Euros d'amende, portés à 2 ans de prison et 30 000 Euros d'amende si la profanation a été réalisé en raison de la religion réelle ou supposée des victimes.
Une source :
Le Progrès.
5 mai 2019, Val-de-Briey : En retard pour confier sa fille au père, elle fonce sur lui au volant de sa voiture.
« Je ne savais pas que la voiture était une arme ». C'est ce qu'elle plaidera au tribunal face à un président médusé. Il rétorquera que : « Ça ne change rien au problème, surtout que des témoins vous ont entendu dire que vous ne le louperez pas la prochaine fois… »
Cette mère s'était présentée avec 50 minutes de retard au rendez-vous qu'elle avait avec le père de leur fille, pour la lui confier. Lorsqu'elle arriva enfin, le père osera tapoter sur sa montre pour marquer son mécontentement. La mère prendra ce geste comme une provocation et foncera alors sur son ex-conjoint.
L'avocat du père notera concernant la prévenue que « À l’époque, Madame était une vraie furie. Tous les six mois, il y avait une nouvelle procédure de sa part devant le juge pour enfant, pour récupérer la garde de la petite. Le 15 septembre 2013, Madame a tout de même essayé de coincer Monsieur entre le pare-chocs de la voiture et un pot de fleurs, alors qu’elle conduisait avec sa fille sur ses genoux. »
Verdict : 1000 € d’amende avec sursis, 700 € de dommages et intérêts au père victime.
Une source :
Le Républicain Lorrain.
4 mai 2019, Blois : Elle avait tué son mari parce qu'il la trompait.
Le corps du mari de madame avait été retrouvé dans la Loire à Amboise. L'autopsie avait démontré qu'il n'était pas mort noyé mais que son visage cyanosé avait subi des « coups portés du vivant de la personne. » L'analyse de son sang avait mis en évidence la présence de fortes doses d'alcool et d'antidépresseurs susceptibles de diminuer ses capacités de se défendre face à ses agresseurs.
L'avocat général dira de l'épouse qu' « elle a voulu faire disparaître les traces de son crime et livré différentes versions pour contourner les obstacles et brouiller les pistes. » Il évoquera une femme qui présentera successivement 19 versions différentes, puis une vingtième à l'audience.
L'épouse avait découvert que son mari avait une liaison avec une autre qu'elle. Sa fille aînée de 24 ans a aussi été condamnée pour recel de cadavre et modification de scène de crime. Le jury ira au delà des réquisitions de l'avocat général qui demandait 20 ans de réclusion criminelle pour la mère.
Verdict : 25 ans de réclusion criminelle.
Une source :
La Nouvelle République.
3 mai 2019, Arras : Une mère ivre frappait son fils de 10 ans.
Un grand tabou existe en France : celui des femmes qui battent leurs enfants. Notre société aux fondements judéo-chrétiens est incapable d'admettre qu'une mère puisse volontairement frapper son propre enfant : la main qui frappe ne pourrait pas être celle d'une femme. Rares sont donc en France les médias qui osent combattre activement ce tabou sociétal, d'autant plus qu'ils sont continuellement abreuvés par le discours manichéen ultra-féministe qui s'évertue à amplifier la théorie fumeuse et sexiste misandre du « Femmes = Gentilles, donc Méchants = Hommes ».
Mais ne jetons pas la pierre à ces médias : au nom de la bien-pensance néo-féministe, et tel un véritable lavage de cerveaux opéré au sein des équipes de rédaction, ils sont continuellement incités à taire les violences quotidiennes subies par les enfants à partir du moment où leur tortionnaire est une femme, qui plus est leur propre mère. Nous profitons donc de nos lignes pour féliciter une nouvelle fois Jean-Marc Morandini pour son émission Crime & faits Divers, La Quotidienne sur NRJ12 : à chaque fait divers où un enfant est battu ou tué volontairement par sa mère cette émission libre ose dénoncer ce véritable déni sociétal sexiste, le qualifier du mot de tabou.
Une liberté que l'animateur a déjà payé très cher...
Cette affaire-ci est celle d'un enfant fréquemment frappé à la nuque par une mère alcoolique. Une mère qui évidemment osera prétendre à la barre que son excès de boisson était exceptionel, alors qu'elle fut interpellée chez elle il y a à peine 5 jours (le 28 avril dernier) en état d'ivresse. A en croire son propre fils elle aurait même conduit la voiture familiale en pareil état entre Arras et Berck-sur-Mer, c'est à dire sur route départementale et sur plus de 90 kilomètres. Le procureur qualifiera les mensonges de la mère de déni.
Verdict : 4 mois de prison avec sursis, obligation de soins, .
Une source :
La Voix du Nord.
2 mai 2019, Beaumesnil : La seconde épouse aurait tué son mari, puis brûlé et découpé son cadavre.
Le mari, un septuagénaire à la retraite, avait disparu depuis deux ans. Suite à cette disparition sa première épouse avait de bonne foi récement lancé les recherches dans l'objectif de pouvoir récupérer les parts de la maison qu'ils avaient toujours en commun. Très rapidement l'enquête a pointé du doigt non pas cette épouse-ci, mais la seconde ainsi que son amant. C'est lors de leur garde à vue que l'amant avouera son rôle, sa maîtresse lui emboîtant le pas.
A ce stade de l'enquête il semblerait qu'avant d'être abattu il y a deux ans, le mari avait décidé de quitter sa seconde épouse pour partir en Corse refaire sa vie. Dans un premier temps elle-même aurait quitté le foyer conjugal pour se rendre sur Paris et rencontrer un autre homme. Un jour, elle décide de retourner à la maison près d'Evreux pour récupérer des affaires. C'est ce jour là que, seule, elle aurait alors abattu son mari en lui tirant dessus avec un fusil à canon scié.
Et c'est là que l'amant intervient, avec une version qui donne envie de se mettre à sa place pour mieux appréhender les choses. Imaginons : vous êtes l'amant, vous êtes à Paris, et vous ne savez pas que votre maîtresse a tué son mari. Elle vous appelle et vous demande de venir la rejoindre, elle prétend que son mari serait absent. Vous vous y rendez. Une fois sur place vous découvrez le cadavre du mari. Vous invitez donc votre maîtresse à se dénoncer auprès la justice. Pour ce faire, que lui suggérez-vous ? De composer ensemble le 18 ou le 112 ? De l'accompagner à la gendarmerie ? Non : vous chargez les restes du corps dans la voiture, puis vous-même rentrez sur Paris. Au lieu de se rendre à la gendarmerie votre maîtresse ira tenter de brûler le corps, mais n'y arrivant pas elle le découpera pour le faire disparaître.
Les recherches du cadavre sont en cours. Elles ont menés les enquêteurs à creuser dans le jardin de la maison et à effectuer des recherches en forêt. L'épouse est poursuivie pour assassinat et atteinte à l’intégrité d’un cadavre, l'amant est poursuivi pour recel de cadavre et non-dénonciation de crime.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité pour l'épouse, 3 ans de prison et 45 000 Euros d'amende pour l'amant.
Une source :
Paris Normandie.
28 avril 2019, Cognac : Cette prédatrice du Net aurait attiré chez elle le quadragénaire avant de le torturer et de le tuer.
Pour les néo-féministes c'est l'histoire d'une pauvre gentille et innocente femme de 38 ans, merveilleuse mère de 3 enfants, forcément soumise au méchant Patriarcat. Un ange parfait, aux idées pures et à l'esprit immaculé, qui aurait décidé de chasser sur le Net se rendre innocemment sur les réseaux sociaux pour piéger un homme victime inviter chez elle un salopard de mec de 42 ans forcément pervers et obsédé sexuel, car c'est bien connu que tous les mecs le sont.
Mais c'est à partir de cet instant que le néo-féminisme se fourvoie dans sa conception manichéenne de la femme forcément parfaite et de l'homme forcément pervers, mais tentons de nous astreindre ici à continuer de respecter strictement le point de vue néo-féministe de cette affaire. Ainsi :
Une fois piégé reçu avec courtoisie chez elle, il subira nombre d'humiliations, tortures, sévices sexuels d'actes d'amour, d'abnégation et de bienveillance féminines jusqu'à succomber malencontreusement décéder dans une véritable scène de massacre d'altruisme féminin. Filmés et diffusées sur le Net, les images permettront à la police de localiser l'appartement de la tortionnaire sainte présumée innocente ainsi que son identité. Mais elle n'aurait pas été seule : pour infliger les sévices actes d'amour elle aurait été aidée par un complice ami de coeur, de plus un couple constitué d'une femme et d'un homme sera aussi poursuivi pour non-dénonciation de crime. Le corps de la pauvre victime du salopard de mec sera quant-à lui retrouvé très pas assez abîmé dans un bois près de Matha en Charente-Maritime. Quant à la prédatrice mère parfaite elle est heureusement injustement poursuivie pour homicide volontaire, précédé, accompagné ou suivi d’actes de torture et de barbarie.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité Une peine qui sera forcément injustement trop élevée pour une femme injustement soumise à un patriarcat dirigé par une bande de machos pervers obsédés sexuel sauvages dégénérés (etc).
Une source :
France Soir.
25 avril 2019, Châteauroux : Elle violentait régulièrement son époux et avait fini par le poignarder.
En France une victime sur 3 de violences conjugales est un homme, pourtant les médias s'obstinent à ne faire leur Une que sur des affaires où c'est une femme qui est battue. Nouvelle démonstration de ce choix discriminatoire sexiste opéré par les médias : aucun excepté La Nouvelle République n'a mentionné ce nouveau drame.
Dans ce couple où la consommation d'alcool à fortes doses était quotidienne, monsieur subissait régulièrement les assauts violents de son épouse. En début de mois cela finit mal : elle frappe son conjoint avec un couteau, ce qui vaudra à la victime une ITT de 15 jours. A son interpellation la femme violente se rebellera contre les forces de l'Ordre.
Verdict : 3 ans de prison dont 1 an avec sursis, mise à l’épreuve comprenant une obligation de soin, de trouver du travail, interdiction d’entrer en contact avec la victime. Un mandat dépôt a été émis à l'issu du verdict.
Source :
La Nouvelle République.
23 avril 2019, Narbonne : Déjà battu et poignardé par sa femme, il a été retrouvé dans une marre de sang.
Lorsqu'une victime de violences conjugales porte plainte puis qu'elle est retrouvée baignant dans une marre de sang, le néo-féminisme aime à se montrer indigné devant tous les micros et toutes les caméras, ceci avant même le début de l'enquête... Exception faite, bien évidemment, si cette victime est un homme : dans ce cas c'est motus et bouche cousue. C'est si beau l'Egalité Femmes-Hommes version néo-féministe...
Il y a une semaine à peine ce mari de 35 ans avait porté plainte contre sa femme qui l'avait poignardé au poignet avec un couteau : l'issue d'un couple où madame avait pris l'habitude de tenir son époux au bout d'une laisse psychologique à coups de menaces et de griffures. Ce jour là elle était allée trop loin et l'hospitalisation avait mené à une journée d'ITT.
Or, hier soir vers 19h, les voisins du couple alertent les secours : l'épouse déambule dans la rue avec ses vêtements couverts de sang. Une fois sur place les forces de l'Ordre découvrent près d'elle un couteau, son mari allongé dans la cuisine baignant dans une marre de sang avec une multitudes d'entailles au thorax et aux poignets. D'abord porté d'urgence au CHU de Narbonne puis à Montpellier ses jours ne sont plus en danger.
Il dira avoir voulu se suicider, mais au regard des blessures, des circonstances dans lesquelles a été trouvée sa femme et des antécédents de violences conjugales de celle-ci sur son conjoint, la police soupçonne fortement que la mari couvre sa femme. Elle a été placée en garde à vue. N'oublions pas qu'en France un cas déclaré de violences conjugales sur trois concerne un homme et que seulement 3% d'entre eux osent sortir du silence. De plus, contrairement aux victimes de sexe féminin, aujourd'hui en France aucune structure d'accueil, d'écoute ou d'hébergement pour victimes de violences conjugales n'est spécifiquement consacrée aux hommes battus.
Encouru : 5 ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Source pour l'événement du 22 avril :
L'Indépendant ;
Source pour l'événement du 15 avril :
L'Indépendant.
20 avril 2019, Alès : Ivre au volant, elle cause un accident avec à bord ses enfants en bas-âge, puis les manipule à la barre du tribunal.
Une mère, donc forcément une personne exemplaire ! Qui a pour seule priorité le bien-être de ses enfants, donc qui JAMAIS! n'aurait l'idée perverse de les instrumentaliser ! Rien que le fait d'oser imaginer le contraire relève d'un blasphème aux racines issues du méchant Patriarcat, Grrrr Satan !... Bon, ça c'est la jolie fable à l'eau de rose soutenue par les clichés de genre du gentil néo-féminisme. Mais lorsqu'on quitte la planète des bisous-noursonnes et qu'on reprend pieds sur Terre dans la vraie vie, on découvre hélas encore une fois que la réalité est trop souvent aux antipodes des contes et légendes ultra-féministes.
A 4 heures du matin cette mère tenait le volant de la voiture familiale avec ses deux enfants en bas-âge à bord... Et 3,80 gramme/Litre d'alcool dans son sang. La voiture finira dans le fossé, tout le monde s'en sortira heureusement indemne. A la barre elle affirmera n'avoir été qu'exceptionnellement en état d'ébriété... Sauf que ses propres enfants expliqueront au juge que question soirées alcoolisées leur mère n'en n'était pas à son coup d'essai. Pour se défendre elle tentera alors d'accuser le père d'avoir influencé ses enfants pour les forcer à dire cela, bouh le méchant papa ! C'est un homme, donc dans l'inconscient collectif il est forcément le gros vilain-méchant-pervers-salaud de l'histoire. Sauf que ce genre de fable commence à être archi-connue par les tribunaux : loin d'être naïve la juge rétorquera donc : « Madame, le fait d’avoir réussi à conduire avec un tel taux laisse entendre que vous consommez plus que vous ne le dites ». Traduction : il faut arrêter de prendre les gens pour des cons.
Une nouvelle démonstration que le cliché sexiste misandre de l'homme forcément méchant est ancré dans l'inconscient de notre société : à la barre certaines femmes jugées croient toujours pouvoir mentir en l'invoquant. C'est dû au fait que jusqu'à peu l'affabulation misandre à tendance féministe marchait encore pas trop mal comme stratégie de défense. Mais cette époque semble en bonne voie d'être révolue, les magistrats oeuvrant pour faire comprendre aux prévenues que dire la vérité à ses juges ça paie quand même mieux.
Verdict : 6 mois de prison avec sursis, obligation de se soigner et de suivre un stage de sensibilisation à la sécurité routière.
Une source :
Objectif Gard.
16 avril 2019, Vaulx-en-Velin : Elle jette son enfant par la fenêtre du 8ème étage ?
Pour les Jeux Olympiques 2020 le Comité International Olympique a annoncé cinq nouvelles disciplines : le karaté, le surf, l'escalade, le skateboard et le baseball-softball. L'actualité quotidienne des femmes parfaites nous laisse toutefois supposer qu'une sixième discipline exclusivement féminine sera bientôt intronisée : le lancé de gosses. Le silence du CIO à ce sujet nous laisse supposer qu'il réfléchit probablement sur le type de performance à réaliser en fonction de la hauteur d'étage : battre un précédent record de temps de survie de l'enfant après impact ? Ou bien battre celui du nombre de litres de sang déversé sur la chaussée en un temps donné ?
La probable future athlète a été placée en garde à vue, son fils de 6 ans est décédé des suites de ses blessures peu de temps après son arrivée à l'hôpital. Son second enfant, une petite fille de 8 ans a été témoin de la scène. Traumatisée, elle a été confiée à la protection de l’enfance.
Encouru : réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
Lyon Mag.
14 avril 2019, Chapelle-en-Serval : Elle invoque l'altruisme pour poignarder ses enfants.
C'est devenu très tendance dans le milieu néo-féministe extrémiste : tuer ses enfants puis prétendre l'avoir fait pour leur bien. Stoppée dans sa furie par son conjoint, cette mère en train de poignarder ses enfants lui affirmera agir ainsi pour ne pas vouloir « qu'ils aient une vie aussi difficile que la tienne ».
Or cette mode dite du suicide altruiste impose qu'ensuite la maman, véritable modèle de générosité et de bienveillance, mette en scène son propre suicide. Et c'est là que l'on se rend généralement compte que certaines mères ont une perception de l'altruisme et de l'abnégation en priorité tournée vers la sauvegarde de leur propre petite personne égoïste. Dans le cas présent le procureur de la République indiquera que celle-ci se serait ensuite planté un coup de couteau... Dans la cuisse. Ça c'est du suicide !
La petite fille de 19 mois succombera de ses blessures, sauvé in-extremis son frère de 5 ans survivra.
Encouru : réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
Closer.
11 avril 2019, Montpellier : Après avoir tenté de tuer son fils de 9 ans, elle raconte une fable à la barre.
Si Dieu créa la femme, depuis quelques années le néo-féminisme extrémiste créa pour celles parfaites (mais un chouïa criminelles) le Guide Tacite pour la Criminelle en Herbe qui projette de se débarrasser d'un mari ou d'un enfant un peu trop gênant. Parmi les excuses bidons à sortir devant un jury pour se déresponsabiliser on trouve dans l'édition 2019 le prétexte du suicide altruiste : une innovation qui consiste à se débarrasser d'une personne trop gênante de son entourage et de raconter ensuite qu'on l'a tué pour son bien. Si si ! Mais aux yeux du néo-féminisme cet argument n'est forcément valable que lorsqu'on est une femme pour l'invoquer : c'est bien connu, les hommes ne sont génétiquement pas dotés de facultés bienveillantes comme l'altruisme, l'empathie etc. Ce sont des sauvages constamment mus par leur sexe. Et donc, pour que le chant du pipeau sonne mieux aux oreilles du tribunal, il faut qu'ensuite la criminelle simule sa propre tentative de suicide.
Cette mère avait donc bien commencé par suivre le conseil de prendre des toxiques, « avec l'idée que cela lui permettrait d'avoir le courage de passer à l'acte » notera l'avocat général Jean-Christophe Tixier. Sauf qu'après avoir frappé plusieurs fois son fils à la tête avec un chevron pendant qu'il dormait, cette mère prétendra avoir voulu ensuite se donner la mort... Avec une fourchette ! Lucide, le procureur dira que « ce n'est pas un suicide altruiste, c'est un meurtre égoïste ». Donc conseil pour les éditions futures des guides néo-féministes : arrêtez de prendre les gens pour des cons, même si certaines de vos recrues le sont.
Le mobile du massacre de ce jeune garçon par sa maman fut établi : elle ne voulait pas que le père dispose de son droit à la garde alternée.
Verdict : 20 ans de réclusion criminelle.
Une source :
France Bleu.
10 avril 2019, Millau : La nounou avait secoué le bébé.
Une nounou de 66 ans qui pensait qu'en secouant un bébé cela pouvait l'éteindre... Ce qui n'est pas forcément faux d'ailleurs : en le secouant suffisamment fort certaines personnes ont même réussi à l'éteindre définitivement.
Mais le bouton ON/OFF de ce bébé ci semblait bloqué ; donc qu'à celà ne tienne : après l'avoir secoué pendant 5 bonnes minutes la nounou l'avait ensuite jeté sur la table à langer, heurtant sa tête. Forcément en le redressant, il perdra l'équilibre ; manque de chance il tombera ensuite sur le carrelage en se heurtant de nouveau la tête avant de vomir... Décidément les bébés c'est maladroit, ça ne tient pas debout et ça se cogne la tête n'importe où ! On en viendrait à se demander pourquoi dans l'usine à bébés on leur met une tête ? Gageons que dans un futur proche une nounou aussi lucide que celle-ci se rendra compte qu'un bébé sans tête c'est forcément moins de soucis.
Aujourd'hui l'enfant semble aller mieux, toutefois en la matière les séquelles neurologiques peuvent se déclarer bien plus tard.
Verdict : 36 mois de prison, dont 24 avec sursis, obligation de soins et indemnisation des victimes.
Une source :
La Dépêche.
9 avril 2019, Bordeaux : l'infirmière experte en néo-natalité avait invoqué le déni de grossesse et laissé son bébé mourir.
Si invoquer le déni de grossesse est devenu un moyen de défense à sortir à toutes les sauces, désormais les oreilles des magistrats sont rodés à cette fable. Heureusement on ne les y prend plus ! Ainsi lorsque cette mère invoque ce moyen concernant un bébé né vivant et mort bien plus tard d'un problème respiratoire, l'avocat général dira : « Le déni de grossesse ne doit pas être un déni de Justice. Sa qualité d'infirmière spécialisée en néonatologie me fait dire qu'elle ne pouvait pas ne pas savoir qu'elle était enceinte et en train d'accoucher », « Elle connaissait les gestes pour venir au secours de cet enfant, qui n'était pas mort-né mais bien vivant. Elle ne pouvait l'ignorer. »
Rappelons que selon le docteur Anne Tursz, pédiatre épidémiologiste de l’INSERM et spécialiste du sujet, les avocats auraient une tendance systématique à lier le néonaticide au déni. Cela poserait une suspicion d'assassinat sur les personnes atteintes d'un véritable déni, autant que ce perçu pourrait servir d'outil judiciaire pour blanchir les femmes conscientes d'être enceintes et commettant un néonaticide. Selon cette spécialiste le vrai déni est une pathologie psychiatrique rarissime et non un concept opérationnel.
Si la combine du déni-de-grossesse a fonctionné un temps, désormais le néo-féminisme extrémiste va peut-être devoir arrêter de prendre les professionnels du droit pour des idiots.
Verdict : 3 ans de prison ferme.
Une source :
France 3.
4 avril 2019, Nantes : Elle introduit un piment dans le vagin de sa fille et lui tond le crâne.
Pour le néo-féminisme c'est une évidence : seul un homme pourrait torturer sa fille en s'en prenant à son vagin. Espèce de sale pervers ! Car les mères sont des femmes, donc des saintes, mues par l'empathie, la compréhension, la sagesse, l'abnégation... Alors que les hommes sont génétiquement sadiques et obsédés par le sexe. Salops de mecs va !
Sauf que...
Parce que sa fille avait eu des relations sexuelles avec un garçon cette mère de 44 ans a eu l'idée géniale, merveilleuse, exprimant la quintessence maternelle féministe et altruiste envers un enfant... D'introduire un piment dans le vagin de sa fille de 14 ans et de la tondre. Objectif : qu'elle n'ait plus de relation sexuelle avec des garçons. Sans oublier que l'adolescente avait aussi eu droit à supporter nombre de coups de ceinture infligés dans un sous-sol. C'est si beau l'amour maternel, n'est-ce pas ?
Le procureur pointera aussi une défaillance sociétale grave : « Si les autorités avaient agi autrement, ces faits n’auraient jamais eu lieu : trois signalements, de plus en plus alarmants, avaient été faits par le CHU au parquet ». La présidente du tribunal conclura : « On est au-delà des violences, on est dans les sévices. »
De plus nous notons que l'introduction d'un objet dans un sexe est susceptible de caractériser un viol, c'est à dire un crime passible de la Cour d'Assises. Evidemment si un homme avait commis exactement le même acte alors toutes les associations féministes auraient été vent debout pour hurler Au viol ! d'un enfant par son sadique de père. Là c'est la mère, donc forcément c'est moins grave et ça ne mérite que la Correctionelle et du sursis. C'est si beau l'Egalité Femmes-Hommes à la française n'est-ce pas ?...
Verdict : 3 mois de prison avec sursis, obligation de suivre un stage de « réflexion sur son rôle de parent ».
Une source :
Actu.fr.
29 mars 2019, Montpellier : Elle massacre un homme de 91 ans avec un haltère.
On vit une époque formidable, aujourd'hui en France, lorsqu'on est une femme et que l'on a besoin de se débarrasser d'un homme trop gênant. Depuis l'Affaire Jacqueline Sauvage on dispose d'opportunités inédites ! Par exemple on sait que pour prétendre au stricte minimum d'une peine il suffit de dire que le type nous a agressées, en n'oubliant pas évidemment de s'assurer qu'il ne puisse plus témoigner du contraire à la barre. Bah oui : en France les cadavres d'homme sont désormais réputés avoir tort devant tout tribunal face à la sainte parole d'une pauvre gentille parfaite femme (une femme tout de même un chouilla criminelle, mais chut ! Il ne faut pas le rappeler sinon gare aux foudres féministes).
C'est ce à quoi nous fait penser cette nouvelle affaire : une sainte gentille et parfaite pauvre femme de 48 ans qui assassine un monsieur qu'elle présente évidemment comme un gros méchant pervers de... 91 ans. Oui : qui a dit que la libido des hommes diminuait avec l'âge ? Certainement pas nous, certainement pas elle non plus mais probablement pas avec le même objectif...
Elle aurait eu des dettes à lui rembourser et il en aurait profité pour la faire chanter dans le but d'obtenir une fellation, puis l'aurait agressée en lui touchant les fesses. De quoi évidemment justifier de le massacrer de 17 coups d'haltère. Oh ! Et comme par hasard la criminelle pauvre gentille femme avait aussi falsifié des chèques appartenant à la victime au gros méchant vieux salop de pervers. Bah oui : dans un pays où le meurtre d'un homme est devenu un acte héroïque et salvateur pour la société alors le dépouiller de son argent c'est un peu comme être Mère Thérésa.
Encouru : 30 ans de prison.
Une source :
Le Midi Libre.
28 mars 2019, Amiens : Elle avait pris pour habitude de battre ses trois filles.
Des « violences récurrentes, même quotidiennes » selon le procureur : coups de bâton, gifles... Les enfants de 5,7 et 9 ans devaient même tenter d'esquiver divers objets que dans une rage folle leur mère leur lançait dessus. Et cette mère parfaite n'en n'était pas à son coup d'essai : bien avant que le père porte plainte contre elle pour ces nouvelles violences sur leurs enfants, elle avait déjà fait l'objet d'un rappel à la loi et devait même suivre un stage de parentalité.
C'est l'école qui alertera de récidives : l'une des filles s'y était rendue avec un oeil au beurre noir. L'avocate de la tortionnaire dira de cette mère qu'il s'agissait d' « une femme débordée »...
Les trois filles seront finalement confiées à leur père.
Verdict : 4 mois de prison avec sursis, 600 euros de dommages et intérêts à donner à la cadette, et 300 euros à chacune de ses deux autres filles.
Source :
Courrier Picard.
27 mars 2019, Arras : La « Thénardier » enfin condamnée.
Absente à la barre, cette mère y fut décrite tel le personnage de Victor Hugo. Passant ses journées devant la télévision et son ordinateur à s'empiffrer et fumer, cette mère traitait sa fille aînée de 11 ans comme une esclave, la contraignant à faire toutes les corvées ménagères, la cuisine pour tout le monde sauf elle-même faute d'argent, les courses et à s'occuper de la fratrie : ses deux soeurs et le petit dernier né de père inconnu. Cette véritable Cosette contemporaine était décrite par le voisinage comme ayant des poux plein la tête et sentant mauvais. Les enfants étaient tous déscolarisés.
Séparée de son conjoint depuis 4 ans, la mère refusait au père son droit d'hébergement des enfants pourtant acquis suite à une décision de justice. Excédé, un jour il forcera la porte du logement et découvrira un véritable taudis jonché de détritus et d'excréments. Il donnera l'alerte.
Désormais les enfants vivent chez leur père.
Verdict : 1 ans de prison avec sursis, retrait de l'autorité parentale sur tous ses enfants, dommages-intérêts pour le préjudice moral : 1500 € pour l’aînée, 1000 € pour chacun des trois autres enfants, 300 € pour le père des trois premiers enfants.
Source :
La Voix du Nord.
26 mars 2019, Rennes : La nounou avait cassé le bras de leur bébé.
Le père devra d'urgence emmener son nourrisson de 5 mois aux urgences pédiatriques. Quant à la nounou, elle plaidera moultes versions - dont évidemment l'accident - avant de reconnaître les faits en ces termes : « J’étais dans un état d’énervement. J’ai retourné l’enfant et j’ai joint les deux bras fortement dans son dos », « je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête, j’étais dans un état de fatigue ».
Il semblerait qu'elle n'en n'était pas à son coup d'essai : plusieurs de ses clients avaient déjà alerté les secours suite aux agissements de cette nourrice.
Verdict : 2 ans de prison avec sursis et interdiction définitive d'exercer un emploi dans la Petite Enfance.
Une source :
Ouest France.
25 mars 2019, Villers-Outréaux : Elle sort dans la rue pour poignarder son compagnon.
Il s'agirait des conséquences d'une dispute conjugale, d' « un coup de sang » de l'agresseuse. Elle se serait emparée d'un couteau de cuisine avant de sortir devant le domicile conjugale et de frapper son conjoint à l'omoplate. Elle a été placée en garde à vue.
L'homme victime a été transporté à l'hopital, ses jours ne seraient pas en danger.
Encouru : 3 ans d'emprisonnement et 45 000 € d'amende.
Une source :
La Voix du Nord.
23 mars 2019, Dainville : Elle percute son ex-mari avec la voiture, le traîne sur 10 mètres puis l'écrase.
L'homme, un médecin de 63 ans spécialisé dans la chirurgie esthétique, père de 6 enfants, a été pris en charge dans un état critique par le CHRU de Lille. Il y décèdera des suites de ses blessures.
L'homme faisait le plein à la station service Leclerc de Dainville, la Lexus de sa femme se serait alors garée près de lui. Il aurait alors engagé la conversation avec la conductrice, avant de se mettre devant le véhicule. Elle aurait alors foncé sur son ex-mari pour le percuter, le traîner puis l'écraser, avant de prendre la fuite. Quelques temps plus tard elle se serait présentée d'elle-même au commissariat de police, accompagnée de son avocate.
Encouru : 30 ans de réclusion criminelle.
Une source :
France 3.
22 mars 2019, Neufchâteau : La mère aurait poignardé à mort ses deux enfants de 4 et 10 ans.
C'est ce vers quoi se dirigerait l'enquête qui a été ouverte mercredi suite à la découverte des corps sans vie de Manon et de Maxence par le SAMU. Le procureur a précisé qu'ils ont été trouvé en état de rigidité cadavérique, enroulés dans des couvertures sur un lit ; ceci présumerait que le décès des deux enfants ait eu lieu plusieurs heures avant leur découverte.
C'est la mère qui avait appelé les secours en précisant que ses enfants étaient décédés. Il a été constaté sur elle plusieurs plaies en même temps qu'elle indiquait vouloir mourir. Après un passage aux urgences de l’hôpital de Neufchâteau, elle a été dirigée vers une unité psychiatrique pour une hospitalisation d’office.
Parlant du médecin légiste chargé de trouver les causes des deux décès, le procureur Nicolas Heitz a indiqué aujourd'hui que « il a relevé des coups portés au niveau de la gorge. » « Il apparaît que les orifices d’entrée qui résultent des coups de couteau au cou et à l’abdomen sont plus nombreux chez le garçon que chez la fille. Le petit garçon présentait des plaies de défense aux mains. ».
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source :
Vosges Matin.
21 mars 2019, Draguignan : Elle enfermait ses enfants pour partir en week-end.
Ce sont ses trois enfants âgés de 5, 14 et 15 ans qui avaient appelé les secours au 119. Dépêchés sur place les policiers s'étaient retrouvés face à une porte close sans que les enfants ne puissent leur ouvrir : ils n'avaient pas la clef. Contactée par téléphone la mère en week-end chez un ami à Toulon avait alors expliqué enfermer ses enfants pour ne pas qu'ils puissent sortir. Elle finira par révéler la cachette du double des clefs : dans une trappe sous la baignoire. Cela faisait 6 mois que la mère avait pris l'habitude de les enfermer ainsi chaque week-end, portes et volets de baie vitrée verrouillés.
Les enfants ont demandé à être placés chez leur père qu'ils n'avaient pas revu depuis 5 ans.
Verdict : 1 an de prison avec sursis.
Source :
Var Matin.
20 mars 2019, Avignon : Figure du banditisme Corse, elle avait tenté d'escroquer la CPAM après une tentative d'assassinat.
Les ultra-féministes diront que le mafieux Corse est forcément un homme, sauf que concernant cette famille-ci la fille avait repris les actifs du père : un pilier de la « Dream team » assassiné à la Kalashnikov en 2010. Elle-même avait reçu trois balles qui lui avaient « explosé le genou et ses doigts de pied, et arraché le mollet ».
L'attaque avait eu lieu sur le trajet domicile-travail, et la CPAM avait été saisie pour le versement de prestations. Sauf que de faux bulletins de salaires avaient été produits sur une période de 6 mois, avec des montants variant de 4300 € à 4800 € mensuels.
Son procès pour fraude verra l'utilisation de moyens de visio-conférences : elle comparaissait depuis la prison où elle est déjà incarcérée pour une autre affaire.
Verdict : 9 mois de prison, 7550 € de dommage et intérêts pour la CPAM et 600 € de frais de justice.
Source :
La Provence.
19 mars 2019, Mesnil-Saint-Père : Elle aurait tué son mari d'un coup de couteau à la gorge.
C'est la fille du couple qui aurait alerté les secours avant-hier, mais une fois sur place les pompiers n'ont pu que constater le décès de l'homme âgé de 58 ans.
Dans un premier temps hospitalisée, son épouse a aujourd'hui été mise en examen pour "meurtre sur conjoint" et placée en détention. L'autopsie a confirmé que le décès est du à un coup de couteau à la gorge.
Encouru : 30 ans de réclusion criminelle.
Source :
Le Parisien.
18 mars 2019, Le Mans : Des néo-féministes vandalisent la maison de poupées sexuelles...
... Parce qu'aux yeux du néo-féminisme victimaire une femme violée voire massacrée ça permet de passer à la télé, alors qu'un homme qui trouve un équilibre qui lui convient sans embêter personne c'est surtout une occasion loupée de pouvoir pleurer toutes les larmes de son corps féministe devant les micros et caméras pour obtenir audience auprès des ministères et recevoir des subventions. Au yeux des néo-féministes vaut-il donc mieux que cet homme devienne un violeur : son drame et celui de sa victime serviront au moins à radicaliser encore plus la juste cause.
Si cette logique ultra-féministe concerne les personnes à la tête du mouvement, celles au cortex cérébral encore plus réduit sont baignées par les clichés de genre : à leurs yeux les possesseurs de poupées sexuelles seraient forcément des hommes, alors que le directeur du magasin vandalisé cette nuit avoue que grand nombre de ses clients sont des femmes. Les tags retrouvés sur la devanture du magasin démontrent cette ignorance ainsi qu'une profonde méconnaissance de la diversité des articles proposés par l'enseigne. Ainsi, on retrouvera tagués « Les femmes ne sont pas des objets », « Ni à vendre, ni à prendre, on n'est pas des poupées »... Alors qu'une fois les stores levés on découvre proposées à la vente autant de poupées féminines que masculines.
Nouvelle démonstration faite que le néo-féminisme autant dans ses propos que ses actes dessert la cause des femmes en les faisant passer pour des idiotes ramollies du bulbe.
Encouru : Peine de Travail d’Intérêt Général et amende de 3750 euros.
Source :
Le Maine Libre.
14 mars 2019, Saint-Brieuc : Elle insulte et crache sur la directrice d'école...
... Et remet ça sur la Présidente du tribunal le jour de son procès, ainsi que sur l'ensemble des migistrats présents, et fait un doigt d'honneur à la plaignante. Sans compter les insultes sur les gendarmes l'ayant interpellée à l'école et son comportement en détention provisoire à la prison de Rennes où elle s'était aussi rendu coupable d'outrage sur le personnel pénitentiaire et avait mordu sa co-détenue.
Le tribunal la condamnera à de la prison ferme avec mandat de dépôt, mais tout le monde à l'école et dans son entourage craint déjà la sortie de cette mère certainement modèle et parfaite aux yeux du néo-féminisme.
Verdict : 2 mois de prison ferme avec mandat de dépôt.
Source :
Ouest-France.
13 mars 2019, Castres : Ivre, elle avait frappé les pompiers venus sauver la vie de son conjoint.
L'homme s'était blessé grièvement suite à une dispute, et c'était elle qui avait appelé les pompiers. A l'arrivée des secours il avait déjà perdu 2 litres de sang. C'est alors qu'une pompière penchée sur l'homme sera violemment saisie par le cou, la jeune femme en état d'ébriété la projetant ensuite au sol en criant « Dégage de mon mec ». Un autre pompier portera secours à sa collègue, lui aussi sera agressé : mordu et insulté. Il qualifiera son agresseuse de femme au « regard de tueuse ».
Il sera établi qu'elle était sous l'emprise de l'alcool à hauteur de 2,5 g/Litre de sang.
Verdict : 6 mois de prison avec sursis, 800 euros de dommages et intérets pour chaque pompier blessé et 300 euros ceux outragés.
Source :
La Dépêche.
13 mars 2019, Pau : Jusqu'alors satisfaite par un contrat sado-masochiste tacite qui les unissait, elle l'avait brusquement rompu en poignardant son conjoint à mort.
Aujourd'hui, le Saint Graal d'une femme tueuse, contrainte à la barre d'un tribunal de répondre de ses crimes, c'est d'être assimilée à Jacqueline Sauvage : l'ignorance publique généralisée des détails de l'affaire de la fameuse tueuse au fusil Beretta, les mensonges et les fantasmes instillés par la mouvance féministes-ultra avaient réussi à emporter l'opinion publique jusqu'à faire pression auprès d'un Chef d'Etat.
Or dans l'affaire que conclut aujourd'hui les Assises de Pau, l'expert psychiatre Thierry Della notera que « Le ciment de ce couple est la violence et l'alcool », « si ce n'était que de la souffrance, elle serait partie ». Loin d'être contrainte par son mari à rester, elle trouvait dans son couple ce dont elle avait besoin et acceptait en retour un mari décrit par les témoins comme n'étant « pas un fou furieux mais quand il pétait les plombs, on entendait des cris ».
A la limite du sado-masochisme, « elle ne paraissait pas soumise, ni apeurée » diront les témoins, « un mélange de souffrance et de satisfaction » pour le psychiatre.
On comprends mieux pourquoi la Défense échouera à faire passer l'accusée comme une pauvre femme battue : avec la violence, la drogue et l'alcool « ils se colmatent entre eux » confirmera l'expert.
Il en ressortira que si certes le conjoint avait besoin d'être violent avec les femmes, elle l'avait accepté dans une forme de contrat tacite visant à être elle-même pleinement satisfaite. Le Procureur Général précisera donc : « C’est un homme qui frappe les femmes : oui il est détestable, mais c’est une victime. C’est choquant mais ça n’en fait pas une victime au rabais. » Bienveillant, il se tournera vers la tueuse : « Je fais le pari que vous pouvez redevenir une jeune femme normale qui vit sans violence, sans alcool, sans drogue », que ce meurtre « doit être puni sévèrement certes, mais, nous, nous faisons le pari que l'on peut vous rendre meilleure à la société ».
Verdict : 10 ans de prison, assortis d’un suivi socio-judiciaire de 3 ans.
Source :
Sud-Ouest.
13 mars 2019, Limoges : Connue pour être violente et alcoolique, elle tuera son conjoint de 7 coups de couteau...
... et se préoccupera d'abord de passer la serpillière pour nettoyer le sang, puis de prendre une douche pendant que son compagnon agonise. Elle appellera ensuite les pompiers en sous-estimant la situation : au cours du procès il fut établi que son conjoint aurait pu être sauvé si elle avait fait état des réelles blessures aux Secours. Le Procureur l'interrogera sur ce point : « vous avez appelé les secours environ trente minutes après les coups. N’aviez-vous pas intérêt à ce qu’il meure pour ne pas être contredite ? »
Elle avait l'habitude de consommer de l'alcool et était décrite « violente, dominatrice, manipulatrice, jalouse et possessive » ; dans le passé déjà à 4 reprises son conjoint avait été admis à l'hôpital pour des coups de couteau qu'elle lui avait assené. Lui était connu pour sa maîtrise de soit et son calme, la prévenue tentera pourtant de tromper le tribunal en invoquant des violences qu'elle prétendra avoir subi avant le drame, tactique dont la malhonnêteté et l'absence de fondement seront démontrés.
Le procureur qualifiera la prévenue de « mante religieuse, un ogre qui dévore tout ce qu’il y a autour d’elle, elle dévore les sentiments, le patrimoine ».
Les jurés iront au delà les réquisitions du Procureur de la République qui demandait 20 ans de prison : une année de plus sera infligée à la tueuse pour bien souligner que la victime était conjoint de son exécutrice.
Verdict : 21 ans de réclusion criminelle.
Deux sources :
France 3,
Le Populaire du Centre.
(NB : Nous souhaitons remercier Jean-Marc Morandini pour son émission Crime La Quotienne du 11 mars sur NRJ 12 traitant de ce drame : il eut le courage de qualifier de véritable tabou l'omerta des médias au sujet des violences conjugales subies par les hommes des mains de leur conjointe. Cet omerta peut facilement être illustré par la chaîne M6. Effectivement chaque jour lors du journal de 19h45, M6 aime se gargariser des condamnations concernant les hommes violents sur leur conjointe, ceci dès le soir des condamnations prononcées. Or le soir du 13 mars 2019 pas un mot fut tenu par cette chaîne sur le verdict prononcé par les Assises de Limoges contre cette femme tueuse. M6 : bel exemple à nos yeux de l'omerta que qualifiait courageusement Monsieur Morandini du mot de "tabou". Quant-à nous nous soupçonnons un sexisme misandre assumé par l'équipe de Rédaction de la chaîne M6, sexisme très probablement issu des groupuscules ultra-féministes TRES influents auprès de cette chaîne ).
7 mars 2019, Melun : Firmin, bébé non désiré par sa mère : elle le jettera par la fenêtre du 5ème étage.
Firmin, c'est l'avocate générale à l'audience qui baptisera de ce prénom cet enfant non désiré, né un 11 octobre (Saint Firmin) sans identité, détesté par sa mère.
A 22 ans, la prévenue se savait enceinte, ce qui exclue tout déni. Au lieu d'avoir le geste solidaire de confier le nouveau-né à l'Etat pour que des parents en manque d'enfant puissent l'adopter, elle préfèrera le balancer par la fenêtre du 5ème étage de son immeuble comme elle se débarrasserait d'un sac poubelle. Né en parfaite santé, il succombera aux blessures de la chute.
Les deux familles des géniteurs se battront pour ne surtout pas avoir à supporter les frais de l'inhumation de son corps.
N'ayant aucune association pour plaider sa cause, seuls le juge Régis de Jorna et l'avocate générale Pauline Petit auront un peu de compassion pour cet enfant à l'audience. Nous ne pouvons que nous incliner face à eux : ils furent les deux seuls vrais parents que notre monde lui offrit.
Verdict : 5 ans de prison, dont 2 ferme (aménagés en semi-liberté), assortis d’un suivi socio-judiciaire.
Source :
Le Parisien.
4 mars 2019, Charleville-Mézières : Elle falsifie des chèques et escroque « des mecs pas très malins ».
C'est comme celà qu'elle qualifiera à la barre les deux hommes qui lui auront accordé leur confiance en lui avançant de l'argent liquide, plusieurs milliers d'euros, contre des chèques qui s'avèreront sans provision. Un peu plus tôt elle avait « trouvé » un chéquier dans le hall de son immeuble et l'avait entre autre utilisé pour régler des dettes. Ce chéquier avait été déposé à même le sol par le postier : son propriétaire, nouvel arrivant dans l'immeuble, n'avait pas reçu la clef de sa boîte aux lettres des mains de l'agence.
Petit détail : le casier judiciaire de la prévenue comportait déjà 14 mentions.
Verdict : 10 mois de prison.
Source :
Radio 8 FM.
3 mars 2019, Grenoble : Elle frappe et séquestre sa voisine de 72 ans.
Les personnes néo-féministes aiment beaucoup présenter la violence et l'ivresse sous les traits d'un homme : c'est si commode les clichés misandres... Manque de bol pour elles aujourd'hui c'est une femme de 24 ans alcoolisée à hauteur de 0,68 mg/L et armée d'une bouteille de vin à la main qui s'est rendue chez sa voisine de 72 ans pour la frapper au visage et la séquestrer. La victime ensanglantée réussira à appeler la police et sera prise en charge par les pompiers ; vue la gravité des blessures le médecin prononcera 10 jours d'ITT.
Placée en Garde à Vue l'agresseuse expliquera avoir fui de chez elle et ne pas trouver de meilleur point de chute que chez sa voisine. Les néo-féministes ne manqueront pas, encore une fois, d'y percevoir la fuite d'une pauvre femme en détresse agressée par un méchant homme pervers sadique obsédé etc... Sauf que, petit détail, la personne qu'elle fuyait était une femme : son amie. Le refus de la voisine d'accueillir l'hystérique armée de sa bouteille aurait été l'élément déclencheur des violences contre la septuagénaire.
Encouru : 5 ans de prison et 75000 Euros d'amende.
Source :
France 3.
28 février 2019, Saint-Martin : Maman avait frappé sa fille à coups de câble électrique.
Parce que sa fille de 13 ans avait publié sur Facebook des photos d'elle en petite tenue, cette mère de famille avait trouvé judicieux de l'amener à percevoir son erreur en la frappant à coups de ceinture. La violence de ses gestes fut telle que la ceinture se brisa, la mère s'emparant alors d'un câble électrique pour continuer d'infliger le supplice.
Suite à la plainte déposée par la victime, le médecin constatera plusieurs traces de coups récents, ainsi que plusieurs autres plus anciens. L'enquête permit de découvrir des actes de maltraitance sur les six autres enfants de cette femme : pour les punir elle les faisait mettre à genoux en plein soleil dans la cour.
La présidente du tribunal commentera : « On a l’impression d’être au 19ème siècle, voire au 18ème ». La fille ayant permis de découvrir cette situation familiale demandera à pouvoir ne plus retourner chez sa mère et à pouvoir rejoindre son père.
Verdict : 2 mois de prison, 6000 Euros de préjudice moral et physique.
Source :
Soualiga Post.
25 février 2019, Blois : Indécise, elle poignarde son compagnon à la gorge.
Elle n'avait pas su choisir entre son compagnon et son amant... Du coup, lorsque l'amant l'appella au téléphone, le conjoint n'apprécia pas de découvrir l'infidélité. Une dispute éclata, elle se finira avec une lame de 8 centimètres enfoncée dans la gorge du compagnon, précisément dans la vertèbre cervicale, alors qu'il était assis dans sa voiture...
Evidemment la conjointe prétendra que l'homme serait venu s'empaler tout seul sur la lame... Mais ça ne prendra pas. Le procureur, Frédéric Chevallier, parlera d'un « geste d’une violence importante », « ce qui arrête le couteau, c’est l’os et cet os, il est abîmé. »
Verdict : 4 ans de prison, dont 3 avec sursis et mise à l’épreuve pendant 2 ans, obligations de travail et d’indemniser la victime, interdiction d’entrer en contact avec lui.
Source :
La Nouvelle République.
19 février 2019, Feneu : La mamie ivre est suspectée d'avoir tué sa petite fille de 2 mois et demi.
En France les personnes néo-féministes aiment beaucoup surfer sur la vague des clichés misandres, particulièrement sur celui qui définit la personne qui boit et qui frappe comme étant forcément un homme. C'est si commode les clichés : ça permet de créer de jolies fables où il n'y a que des gentilles femmes et des méchants hommes, des contes facile à faire gober à leurs adeptes un peu limités du bulbe.
Manque de bol pour elles, aujourd'hui c'est une mamie qui a été placée en garde à vue après que l'on ait retrouvé chez elle le corps meurtri de sa petite fille d'à peine 2 mois et demi. Les experts noteront plusieurs ecchymoses et des fractures du crâne, excluant l'hypothèse d'une chute mortelle. A l'arrivée de la police la grand-mère qui gardait le bébé depuis déjà deux jours présentait une alcoolémie de 2,38 g/Litre de sang. Elle a immédiatement été placée en garde à vue.
Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité.
Source :
La Dépêche.
19 février 2019, Saint-Nazaire : Elle laisse sa fille de 2 ans et demi déambuler seule dans le quartier.
Cette mère alcoolique avait pris pour habitude d'abandonner sa petite fille dehors, la laissant ainsi livrée à elle-même pendant plusieurs heures. Un jour la petite s'était même introduite chez une voisine pour pouvoir s'occuper à jouer à la balançoire. La voisine avait tenté de ramener l'enfant chez sa mère mais cela s'était avéré impossible à cause de la présence de deux chiens.
La mère défaillante sera condamnée pour délaissement de mineur compromettant sa santé et sa sécurité. Elle avait déjà été condamnée à plusieurs reprises pour conduite en état d'ivresse.
Verdict : 2 mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve pendant 2 ans, obligation de soin concernant son addiction à l'alcool.
Source :
Actu.fr.
13 février 2019, Montpellier : L'AVS faisait manger des tartines au Lexomil.
Selon les néo-féministes, qui dans les faits exploitent les clichés de genre tout en prétendant les combattre, contrairement aux hommes les femmes seraient forcément patientes, enclines à l'empathie, au bon sens... Ce serait génétique. Sauf que, pour « être tranquille » cette Auxiliaire de Vie Sociale exerçant dans l'Hérault avait élaboré sa propre recette : faire avaler à ses clients des tartines recouvertes de confitures et d'anxiolytique. Une amie de sa cliente avait retrouvé pas moins de 8 comprimés sur une seule tartine.
La victime qui avait été immédiatement hospitalisée survivra, une analyse toxicologique conclura à un empoisonnement massif.
Verdit : 3 ans de prison avec mandat de dépôt et interdiction d'exercer auprès de personnes vulnérables.
Source :
RTL.
11 février 2019, Nancy : Les barbares de Verdun, avec à sa tête Laétitia, le Parquet fait appel.
Les "barbares de Verdun". Sous cette appellation se cachent 7 personnes dont l'organisatrice des tortures est une femme : Laétitia.
Leur victime, Cassandra, avait été conduite chez ce couple de jeunes femmes dans le centre de Verdun. Elle y tombera sous l'emprise de ses bourreaux. Séquestrée, battue, violée avec des objets dans les parties génitales, contrainte de manger des croquettes pour animal, forcée de plonger dans les eaux glacées de la Meuse...
Pendant le procès, L'avocat général demandera à la propre mère de la tortionnaire : « Pensez-vous que Laetitia soit capable de torturer ou de violer quelqu'un ? »
Réponse de la maman : « Torturer oui, mais violer non !
- Donc, ce qui s'est passé ne vous étonne pas ?
- Non pas du tout ! »
Fin janvier 2019 les peines prononcées furent de 18 ans de réclusion criminelle pour les deux personnes les plus impliquées (Laëtitia et Manuel), 15 ans pour la troisième (Caroline), alors que 30 années de réclusion criminelle avaient été requis. Face à l'extrême clémence du verdict en comparaison de la gravité des actes commis, ce lundi 11 février le Parquet Général a décidé de faire appel.
Et comme d'habitude, étant donné que la personne organisatrice de ces atrocités est une femme, nous constatons un extrême silence de la part de la sphère néo-féministe. Car n'oublions pas que malgré l'actualité, aux yeux du néo-féminisme toutes les femmes sont parfaites, innocentes, forcément victimes et totalement incapables de perversité. Donc lorsqu'une femme organise et commet des viols et des actes de tortures, si la victime est un homme alors c'est forcément de sa faute à lui, et lorsque la victime est une femme alors... Chut !
Procès en appel requis par le Parquet général.
Source :
France Bleu.
8 février 2019, Le Mans : Elle avait commandité l'exécution de son ex-mari.
Très probablement aux yeux du néo-féminisme le nouveau modèle de la perfection féminine... Suite à un différend portant sur le partage de biens, la pension alimentaire à verser aux enfants du couple et la restitution d'un fichier compromettant, madame avait fait appel à deux de ses amis - un homme et une femme - corses pour se rendre chez son ex-mari et s'occuper de son cas de manière définitive... Il fut ainsi retrouvé mort des tirs de trois balles de gros calibre.
Adepte de l'échangisme, madame aura désormais tout le loisir de faire profiter de ses fantasmes les partenaires de sa nouvelle vie : pour avoir commandité cet assassinat elle a été condamnée à 5 années de réclusion criminelle de plus que celui toujours en vie des deux exécutants de ses basses besognes. Effectivement, la seconde exécutrice quant à elle fut retrouvée décédée chez elle quelques jours avant le début du procès. Mort naturelle ou suicide ? Mystère...
Verdict : 15 + 5 = 20 ans de réclusion criminelle.
Source :
Paris Match.
8 février 2019, Chartres : Elles draguaient les hommes d'un soir pour les plumer au petit matin.
Trois femmes et une mineure ont été jugées aujourd'hui pour avoir entraîné plusieurs hommes dans de véritables guet-apens. Le procédé consistait à séduire ces messieurs au cours de soirées, puis de passer la nuit avec pour le lendemain matin disparaître discètement en n'oubliant pas au passage de subtiliser la voiture, les carnets de chèque, la carte bancaire et son code, quitte à assommer la victime à coup de bouteille.
L'arnaque fonctionnera jusqu'au jour où l'une des envoûteuses sera arrêtée au volant de la Volkswagen Scirocco subtilisée à leur seconde victime. La perspicacité des policiers permit de faire le recoupement entre les différentes affaires.
Verdict : des peines de prison de 4 mois ferme à 4 mois avec sursis furent prononcées suivant le degré d'implication de chaque malfaitrice et le contenu de son casier judiciaire. Des amendes de 500 à 1000 € furent aussi prononcées.
Source :
L'Echo Républicain.
7 février 2019, Auxerre : Deux fraudeuses pas très fute-fute.
Hier et aujourd'hui le tribunal correctionnel d'Auxerre a reçu deux nouvelles démonstrations que l'égalité Femme-Homme est parfaitement acquise en matière de stupidité. La première des deux affaires traitées voyait une jeune femme falsifier le chèque de solde-de-tout-compte de son ex-employeur : un léger coup de stylo et voici que 113 Euros s'étaient transformés en 1113 euros. La seconde affaire traitée concernait une sexagénaire qui avait acheté pour 700 Euros d'articles sur Internet, mais une fois la commande expédiée elle avait fait opposition au prélèvement sur sa carte bancaire.
On se demande comment l'une et l'autre ont pu croire une seule seconde que leur tentative de fraude ne serait pas découverte.
Verdict : 1000 € dont 500 avec sursis pour l'As des faussaires, 3 mois de prison et 500 € d'amende pour l'autre flèche.
Source :
L'Yonne Républicaine.
7 février 2019, Thionville : mère et fille avait frappé une automobiliste pour une queue de poisson.
On connait tous le cliché de l'automobiliste à qui on vient de faire une queue de poisson, qui sort de son véhicule en se retroussant les manches en préambules de violences, un cliché qui présente forcément cet automobiliste comme étant un homme... Bah oui : en France c'est bien connu qu'au volant comme ailleurs c'est la testostérone (donc forcément les hommes) qui grimpe d'un coup lorsqu'elle se retrouve au volant, qui plus est en situation de frustration. Les oestrogènes françaises, elles, sont forcément la quintescance de la sérénité, de la raison, du flegme etc. Sauf que...
Apparement suite à une queue de poisson, cette femme parfaite sort de son véhicule et s'en va forcer la portière de l'autre conductrice. S'en suivent des coups et des insultes en direction de l'habitacle. C'est si beau les pics d'ostrogènes à l'oeuvre n'est-ce pas ? Surtout lorsque la fille de la conductrice frustrée s'en va rejoindre sa mère pour se mettre elle aussi à taper sur une victime totalement coincée et prisonnière dans son véhicule. Des déchainements de coups de poings, de coups de pieds et cheveux tirés s'en suivirent... Il fallut pas moins de trois personnes pour maîtriser les pulsions de frustrations des deux furies.
Evidemment, malgré de nombreux témoignages recoupant ces faits, la défense niera. La mère ira même jusqu'à affirmer que c'était elle et sa fille qui avaient été agressées par la plaignante : « Elle est plus fluette que nous et pourtant elle nous tenait chacune dans une main. ». De plus la mère affirmera que c'était son mari qui conduisait... Elle n'osera tout de même pas aller jusqu'à accuser son mari d'avoir été l'auteur des violences, ce fut mieux pour elle.
Verdict : 8 mois de prison avec sursis pour chacune, 3 000 € de dommages et intérêts à payer solidairement à la victime.
Source :
Le Républicain Lorrain.
7 février 2019, Brive : Mamie condamnée une seconde fois pour harcèlement.
Pour avoir commis des faits similaires à ceux qui l'avaient menée devant le tribunal en janvier 2018, cette grand-mère âgée de 72 ans comparaissait en récidive aujourd'hui même. Insultes et appels téléphoniques malveillants... Le harcèlement était redevenu le quotidien subi par sa voisine.
Verdict : 1 an de prison donc 6 mois avec sursis, 2 ans de mise à l'épreuve.
Source :
France Bleu.
6 février 2019, Toulouse : elle avait tué son fils adoptif de 2 ans en le secouant...
...sans oublier quelques gifles au passage, parce que c'est bien connu que frapper son enfant au moment du bain est un remède contre l'incompétence maternelle. Sa ligne de défense : elle était exédée par les pleurs de l'enfant et n'assumait pas sa présence alors qu'elle venait de l'adopter quatre mois plus tôt au Portugal. L'enfant avait perdu connaissance suite au flot de maltraitances et était mort le lendemain à l'hopital.
On ne répètera jamais assez aux futures mères : un enfant est un être vivant sensible, ce n'est pas un gros jouet avec un bouton ON/OFF. Etre mature peut donc aussi consister à s'interroger sur ses propres limites avant d'engager un pauvre innocent dans un projet trop souvent égoïste. Quand on n'en n'est pas capable, on se contente de continuer à jouer avec des poupées Barbie : en cas d'erreur ça fait forcément moins de dégâts.
Verdict : 7 ans de prison.
Source :
20 minutes.
2 février 2019, Grasse : « Cruella » en prison.
Pour les néo-féministes, les marâtres n'existent que dans les contes... Voici une nouvelle preuve que hélas certaines sévissent aussi dans la vraie vie.
Cruella, selon ses propres dires, c'est comme celà que cette mère était appelée par ses deux filles de 7 et 9 ans. Et on peut les comprendre : coquard, hématomes, ecchymoses, griffures et érosions étaient devenu le quotidien des deux enfants, sans compter les cheveux tirés, gifle et mains autours du coup d'un premier épisode où la mère était ivre. Un témoin de la scène alertera un agent de sécurité en ces termes : « Une dame fracasse sa petite, elle est en train de l’étrangler ! ».
Les médecins parleront d'un cas avéré de maltraitance.
Verdict : 2 ans de prison dont 16 mois avec sursis, mise à l’épreuve pendant 3 ans avec maintien en détention, obligation de soins et d’indemniser les victimes.
Source :
Nice Matin.
1er février 2019, Haute Loire : elle avait noyé son bébé après avoir accouché.
Elle avait dit à son gynécologue avoir fait une fausse couche... Sauf qu'elle avait accouché d'un bébé vivant et en parfaite santé mais que n'en voulant pas elle l'avait noyé puis enfermé dans un sac poubelle.
Evidemment comme excuses on trouvera des problèmes financiers, et évidemment le compagnon forcément intenable et qui forcément n'aurait pas voulu de l'enfant. Ben voyons... On aurait toutefois aimé entendre ce conjoint s'exprimer librement à la barre. Mais bon, on sait depuis l'affaire Jacqueline Sauvage que moins un homme est en capacité de pouvoir s'exprimer à la barre, plus son silence représente une aubaine pour toute femme criminelle de lui faire porter le chapeau d'un peu tout et n'importe quoi si cela permet d'embrouiller des jurés et d'atténuer la peine prononcée.
Le pire c'est qu'en France cette arnaque institutionnalisée dans les prétoirs marche du tonnerre, jusqu'à être devenu le principal moyen de défense à disposition de toute femme criminelle. Et dire que certaines personnes osent ensuite parler de Patriarcat...
Verdict : 5 ans de prison dont 1 avec sursis.
Source :
France 3.
30 janvier 2019, Tours : mamie avait assassiné sa petite fille de 32 coups de couteau.
Comment imaginer qu'une grand-mère puisse faire une chose pareille ? A 6 mois la petite fille avait d'abord été assommée par sa grand-mère alors âgée de 56 ans avant d'être frappée mortellement à coups de couteau. Les experts ont compté 32 plaies sur son corps, dont 16 pénétrantes et une mortelle à la carotide.
Le père découvrira le massacre en rentrant chez lui le soir, la mamie ne trouvant comme autre excuse que de lui dire : « Tu vas m'en vouloir, j'ai fais une bêtise. »
Verdict : 30 ans de réclusion criminelle.
Source :
La Nouvelle République,
RTL.
28 janvier 2019, Vezin-le-Coquet : Elle manipule ses voisins pour accuser son conjoint de violences conjugales.
Où a-t-on entendu que toute femme qui se prétendait victime de violences conjugales disait forcément la vérité ? Celle-ci aura fait usage du principe de la torpille en restant éloignée du tribunal tout en téléguidant ses voisins pour les utiliser comme faux-témoins. Mais ce jour-ci un éclair de lucidité et de bon-sens frappera la chambre correctionnelle, amenant les voisins à se repentir : « Nous ne voulons pas envoyer un innocent en prison ».
Ainsi, à la barre, la voisine qui se présentait comme témoin avouera « J’ai fait une fausse déclaration. C’est mon amie qui m’a dit qu’il la tapait et qui m’a demandé d’appeler les gendarmes. Quand ils sont arrivés, elle ne voulait plus les voir. » Le compagnon de la voisine confirmera : « C’est notre amie qui nous a manipulés. Elle ne supporte pas la solitude, c’est elle qui boit et qui s’agrippe à lui pour l’empêcher de partir au travail pour la semaine. » Des propos qui confirment la version du mari accusé à tort : « C’est elle (sa femme) qui boit, elle qui m’agresse en premier (...) A chaque fois, elle me dit qu’elle va changer. Mais j’ai vendu mon appartement à Rennes. Je ne veux plus la voir. » Le voisin concluera : « Elle m’a dit que si je ne disais pas ce qu’elle m’a demandé, je pourrais perdre la garde de mes enfants. Elle en est capable. C’est elle qui fait peur. »
Verdict : Relaxe du mari accusé à tort.
Source :
Ouest France.
25 janvier 2019, Nantes : son fils de 19 mois frappé, sa fille de 2 mois secouée...
... Mais la mère parlera d'une chute. C'est incroyable cette manie qu'ont les bébés à tomber ou à s'auto-infliger des traumatismes graves et irréversibles lorsque leur mère est seule présente à la maison avec eux... Gageons que les néo-féministes qualifieront bientôt ce phénomène de syndrome, dont la particularité sera bien évidemment de ne pouvoir être invoqué que par des mères : c'est bien connu que les pères sont violents, eux.
Petite précision quant à ce dossier : le petit garçon décèdera d'un oedème cérébral, la petite fille est depuis devenue polyhandicapée. La version de la chute sera contredite par un collège d'experts au regard des constatations médico-légales : "cette thèse ne tient pas !".
Verdict : 15 ans de réclusion criminelles. La mère a depuis fait appel de ce verdict.
Source :
20 minutes,
23 janvier 2019, Ardennes : elle avait tué son bébé en le secouant.
Au moment de la commission des faits sa petite fille de 4 mois connaissait des problèmes de santé, pleurait continuellement et ne buvait pas son biberon. Excédée la mère l'avait attrappée sous les aisselles et l'avait secoué vivement : « Arrête ! Tu vas laisser maman dormir ? » Le bébé avait tout de suite arrêté de pleuré, il a été retrouvé mort le lendemain matin des suites d'un traumatisme crânien et de nombreuses hémorragies.
Verdict : 5 ans de prison avec sursis, suivi socio-judiciaire de 10 ans, comprenant une obligation de travail ou de formation et une obligation de soin.
Source :
Radio 8 fm.
22 janvier 2019, Saint-Pierre-du-Mont : sur LeBonCoin, elle percevait l'argent mais n'envoyait pas les objets.
Déjà condamnée à cinq reprises pour escroquerie, elle avait précédemment rodé la technique en vendant des jouets sans jamais les expédier aux acheteurs. Cette fois-ci elle avait vendu un téléphone pour 200 euros, avait perçu la somme et s'était retenue d'envoyer le précieux objet à l'acquéreur. Condamnée aujourd'hui pour ce fait, elle devra se présenter de nouveau en février et mai prochain au tribunal pour d'autre faits d'escroquerie.
Verdict : 2 mois de prison ferme.
Source :
Ouest France.
20 janvier 2019, Rennes : Elle volait les sacs à mains des mamies, jusqu'à la mort d'une de ses victimes.
C'est une aide-soignante de 31 ans qui a été aujourd'hui condamnée pour avoir entraîné la mort d'une vieille dame dont elle avait tenté de voler le sac à main. L'agresseuse n'en était pas à son coup d'essai : héroïnomane et enceinte de 7 mois, elle avait agressé pas moins de 5 vieilles dames de 80 à 90 ans pour pouvoir financer son addiction à la drogue. Celà fonctionna quatre fois, jusqu'à cette mamie de Douarnenez qui tombera pendant l'attaque et décèdera de ses blessures.
Verdict : 7 ans de prison.
Source :
20 Minutes.
19 janvier 2019, Epinal : Elle avait endormi ses enfants avec des somnifères puis avait poignardé sa fille à trois reprises à la gorge.
D'après le manuel de la parfaite néo-féministe les femmes sont toutes des personne sensées, aimantes, elles ne feraient jamais de mal à leurs enfants car seuls les hommes, évidemment méchants par nature, sont capables de tels gestes. Bouh ! Méchants hommes !
Sauf que après avoir été éconduite par son mari pour une autre qu'elle, cette mère avait élaboré le projet de tuer ses enfants puis de se suicider. Elle avait donc fait des recherches sur le Net pour savoir comment atteindre la carotide. Maman avait ensuite administré de puissants somnifères à ses trois enfants de 10 à 16 ans puis avait commencé à tuer ses enfants en commençant par sa fille de 13 ans qu'elle avait poignardé de trois coups de couteau à la gorge. Les hurlement de la fille avait contrecarré les funestes projets de la mère qui s'en était alors allée prévenir les secours.
Les experts psychiatres n'étant pas parvenu à se mettre d'accord sur l'état de la prévenue au moment des faits, les jurés ont donc décidé de prononcer l'irresponsabilité pénale. Maman est donc repartie libre du tribunal pour s'en retourner chez elle auprès de ses chers enfants car grace à ce verdit tout le monde sait désormais qu'elle est incapable de leur faire du mal.
Verdict : Acquitté pour cause d'irresponsabilité pénale.
Source :
Europe 1,
Le Figaro,
France Bleu.
18 janvier 2019, Evreux : à 3 ans il est le souffre douleur de sa mère alcoolique...
... Une mère dont la profession est AVS : Aide à la Vie Scolaire. Elle tentera d'exploiter le cliché sociétal sexiste misandre de l'homme forcément violent pour rejetter la faute sur son nouveau compagnon... Mais ça ne prendra pas auprès des juges. 20 ecchymones seront trouvées sur le corps du petit graçon, l'une d'entre elles ayant mené la mère à justifier une chute à l'école mais des témoignages confirmeront une origine relevant de maltraitance.
Le procureur notera : « Le listing des ecchymoses est impressionnant et il est très rare de voir cela, même sur des adultes. Les examens montrent un énorme bleu et de nombreux témoignages prouvent les violences habituelles. Un voisin a également confié que les enfants n’étaient pas changés et que des excréments maculaient les murs. »
Les voisins confirmeront : « Elle était bourrée du matin au soir et le petit garçon était son souffre-douleur. Dès qu’il faisait quelque chose, elle s’énervait et tapait. »
Le père complètera : « Elle tentait parfois de l’étouffer avec un coussin et elle l’a poussé dans l’escalier avec les pieds. »
Verdict : 2 ans de prison dont un an avec sursis, mise à l’épreuve de 2 ans, obligations de soins, de travail et d’indemnisation. Interdiction d'exercer une activité professionnelle avec des mineurs pendant 5 ans.
Source :
Actu.fr.
17 janvier 2019, Nantes : mamie allumait des incendies et crevait des pneus de voiture.
Nouvelle démonstration faite qu'en matière de bêtise humaine l'Egalité Femmes-Hommes est atteinte, et sans dicscrimination liée à l'âge.
Mamie sera condamnée à de la prison ferme mais ne sera pas incarcérée si elle se soumet aux obligations de suivi socio-judiciaire et de soins inclues au verdict. Elle a de plus l'interdiction de revenir à Châteaubriant pendant 3 ans, ville où elle avait commis ses méfaits.
Verdict : 1 an de prison ferme, 3 ans de mise à l'épreuve renforcée, 70 000 € de dommage et intérêts.
Source :
Actu.fr.
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